Qualifier la June d’œuvre d'art, erreur ou coup de génie?

Avis à tous les spécialistes du shadow banning du forum qui se serviraient de la charte en pliant son interprétation dans tous les sens pour dire que la présente publication est " Hors-sujet ". De mémoire, ce n’est pas moi mais @Galuel qui à plusieurs fois fait mention notamment ici que la G1 était une œuvre d’art ! Donc ce n’est pas hors sujet et je lance un post sur ce sujet pour avoir plus d’info.

Maintenant, quand on dit que la June est une œuvre d’art on a rien dit…

Qu’est-ce que ça signifie exactement ?

Les œuvres d’arts sont dans le collimateur du gouvernement (oups… pas de hors sujet là non plus, juste une info comme ça)

Pourquoi vouloir qualifier la June d’œuvre d’art ? Quel intérêt ?

… Coup de génie ou erreur fatale ?

Qu’en pensez-vous ?

D’une certaine manière, c’est une erreur de génie…Ceci étant, il faut saisir le concept.

L’intérêt étant de faire « la nique » au système bancaire classique et à l’administration fiscale (au moins temporairement, tant que cette monnaie de singe ne peut être taxée)…

Mais, il est vrai que c’est déroutant au début.

@+

ni l’ un ni l’ autre, c’ est simplement une oeuvre d’ art sans lien avec une quelconque stratégie, l’ important est que certains présentateurs ne la taxent pas d’ actif numérique mais plutot d’ équivalent à une banque centrale publique dont le code monétaire est libre est qui est universelle

Autant prévenir par avance ma réponse sera décomposée en plusieurs parties (4 maximum). Et pour cela, je vais me servir de la courte réponse de @nessbyz :wink:

Aussi merci de me laisser le temps de rédiger et trouver les références nécessaires pour aller au bout de ma démonstration et de mon explication qui peut éventuellement servir à alimenter les débats plus larges sur le Dividende Universel…

Autant dire « tout et rien à la fois » que cela revient au même.

Si tu ne donnes pas les clés pour décrypter une œuvre d’art, chacun l’analysera comme bon lui semble et/ou du mieux possible… Et lorsque la critique tombe dans la parodie, c’est aussi une forme d’art. Démonstration :

En ce sens, sans explications, la critique artistique d’œuvres restera alors bien souvent ( sinon toujours ) entre les mains habiles et l’esprit aiguisé des seuls experts en art ( = l’élite ).

Résultat une personne qui n’a pas les bonnes références culturelles ( et politiques ) peut éventuellement être déstabilisé ou ne pas ressentir une œuvre artistique. Il n’est d’ailleurs même pas certain qu’elle se pose de questions ( bonnes ou mauvaises ) face à l’œuvre ( peu importe sa qualité, puisque c’est subjectif ).

La compréhension étant suggestive et propre à chacun, elle n’en demeure pas inexistante, mais elle est alors différente d’une personne à l’autre. L’interprétation va donc dépendre de la perception artistique d’une personne par rapport à l’œuvre elle-même…

Et en termes de perception concernant la TRM… C’est la même chose : la notion d’art est variable selon le référentiel utilisé par chacun.

Or la problématique des référentiels ( variables et subjectifs, donc propre à chacun ) est expliquée en guise d’introduction de la TRM, d’une manière astrophysique et non pas avec des notions artistiques. Artistiquement cela n’aide donc pas à la compréhension de la Ğ1 en tant qu’art.

Exemple musical ( morceau choisi délibérément ) – le texte n’est pas anodin, mais il ne vise personne en particulier, c’est pour illustrer le choc culturel et la différentiation artistique qu’il peut exister entre deux espace socio-économique ( puis la suite de la démonstration )…

Tout comme la fracture numérique, le faussé est d’autant plus important que les distances sociales peuvent l’être. Je parle bien de la distanciation socio-économique qui engendre aussi une distanciation physique entre les classes (et même à l’intérieur des classes). De même, que l’évolution d’une personne, de sa naissance à sa mort (espérance de vie de chacun), évolue aussi de génération en génération (donc en fonction du temps de l’Humanité dans son ensemble).

Pour résumer : gros revenus = SDF (Sans Difficulté Financière) = grande maison = large espace vital, alors qu’inversement moyens revenus = HLM et, sans revenu = 0€ = aussi SDF (Sans Domicile Fixe).

Si le terme SDF est le référentiel, il n’a pas du tout la même signification en fonction de la distanciation sociale lorsqu’elle est économiquement mesurée (CQFD :money_mouth_face:). De même il existe aussi une sacrée distance sociale entre l’art de rue (populaire) et les arts nobles.

À ce stade, il est vrai qu’il est encore difficile de placer la monnaie libre ( qui n’est donc pas une monnaie pour son auteur ) dans la conventionnelle classification des arts ( mais là n’est pas le propos ) : Classification des arts — Wikipédia

Et le faussé d’éducation artistique, culturel, scientifique, etc, est d’autant plus important que la distanciation sociale l’est elle-même économiquement. Et là je parle bien de distanciation sociale en terme politico-économique et de toutes les inégalités que cela implique/induit par la suite logique.

D’ailleurs la seule principale discrimination encore en place et quotidiennement appliquée à ce jour est bien la discrimination économique. Toutes les autres discriminations sont interdites, sinon dérisoires.

Exemple : @rimek et moi avons de fortes probabilités d’avoir un bagage artistique commun, musicalement parlant. On analysera alors les autres œuvres avec cette même éducation artistique commune quand bien même nous aurions chacun une sensibilité spécifique à notre vécu (en plus, j’ai aussi un côté « gentil » punk, entre autre… C’est éclectiquement compliqué :crazy_face:)

Ainsi, si certains ici ont un important bagage culturel et artistique très variés, pour d’autres le sac à dos est beaucoup moins lourd (ou plus léger, cela dépend si l’on considère le verre à moitié plein ou à moitié vide).

Bref… Je pense ( à mon petit niveau ) que la monnaie libre pourrait éventuellement faire tomber cette discrimination économique basé sur l’argent-dettes. Mais il est quasi impossible de s’attaquer à l’économie dominante sans en payer le prix et parfois même un lourd tribut.

Pour conclure cette 1ere partie de réponse : Si la monnaie libre est uniquement de l’art, il faut alors voir cette monnaie de singe avec l’œil de Magritte.

@+ :vulcan_salute:

2 « J'aime »

le contexte du libre n’ est pas valable seulement pour l’ oeuvre qui s’ inscrit en gnu modifiable dėmocratiquement donc publique et universelle; vérifiable éléctroniquement …

à ce niveau là l’ éléctron deviendrait un actif numérique

les autres monnaies aussi sont des oeuvres d’ art, privatrices …

Ah oui tout à fait d’accord, les autres monnaies non-libres peuvent avoir un double statut, celui de monnaie ET d’œuvre potentiellement artistique : La numismatique en est la preuve.

Sauf que là, certains rejettent totalement l’idée que la Ğ1 ait ce double statut. C’est un non-sens.

Voyons cela autrement…

Le fait que la FIAT 500 ( la fameuse voiture pot de yaourt fabriquée à la chaîne et en masse depuis les années 60 ) soit exposée comme œuvre d’art ( https://www.autoplus.fr/fiat/500/actualite/Fiat-500-Anniversaire-Exposition-Paris-1517946.html ), n’empêche pas cet objet d’être encore considéré comme une voiture par la grande majorité des personnes.

Tout cela pour dire que même si la monnaie libre Ğ1 est considérée comme une création artistique par son auteur, elle peut à la fois être considérée comme monnaie de singe ( puisque sans valeur réelle ), mais aussi comme crypto-actif, à présent.

L’un n’empêche pas l’autre, bien au contraire.

@+

sur le forum monnaie libre, dire que la june n’ est pas une monnaie c’ est un peu gros non ? je ne sais pas qui serait apte à ne pas te contre dire !

si le but est légiférer sur les crypto privatrices (non-publique) je ne pense pas qu’ il y ait ici un quelconque interet parmi les libristes.

peut être une histoire d’ induction logique qui perturbe le raisonnement.

Genre un Dali monétaire ?… Mais même lui politisait ses œuvres. C’est quand même de Dali qui inventa la méthode paranoïaque-critique ( Méthode paranoïaque-critique — Wikipédia ), comme procédé de création de tous les arts, et donc comme procédé de création de la monnaie libre ( qui n’est donc pas une monnaie pour son auteur )…

OK donc là, on dépasse ce cap ( inventé par Dali ) pour atteindre le stade de la sociopathie-critique ou psychopathie-critique (* c’est du pareil au même* ). Ou alors, il faut voir la Ğ1 comme Joan Miró pourrait la conceptualiser artistiquement ?

Un Jean-Michel Folon de l’économie, peut être ? Mais là aussi, la barre est plutôt haute…

Peut-être est-ce là encore trop théorique ? Quoi qu’il en soit…

Un artiste qui n’assume pas politiquement son œuvre, peut-il être encore considéré comme un artiste aux yeux de ses paires, par la critique, par son public ? et/ou par les utilisateurs de son œuvre ?

Et là quel que soit le domaine artistique, il y a matière, la liste des exemples serait trop longue, et les contre-exemples tout aussi nombreux. Tout le monde et n’importe qui peut s’auto-proclamé être un artiste : Charles AZNAVOUR le chantait très bien, à la fin des 2 derniers couplets de : « Je m’voyais déjà »

Et c’est là où je veux en venir, dans un premier temps…

Parfois, une catégorie du public ne comprend pas l’œuvre d’un artiste : C’est apparemment le cas avec l’aspect artistique de la Ğ1, lorsque l’auteur précise que la monnaie libre c’est de l’art et non de la monnaie.

Mais cela ne veut pas nécessairement dire, pour autant, que le public est totalement ou partiellement con pour comprendre le concept.

Lorsqu’un artiste n’arrive pas à expliquer son œuvre : c’est parfois un problème de communication majeur. Pour d’autres, ce n’est pas un problème de communication de l’auteur ( car il y a beaucoup d’artistes complètement barjos qui resteront toujours incompris ), c’est simplement un problème de « marketing du produit à la bonne cible ».

En fait, si le public doit faire un effort de compréhension, l’auteur doit aussi faire un effort d’explication de son œuvre, et plus encore lorsqu’il s’agit du domaine public libre.

Or la Ğ1 est principalement présenté comme une monnaie libre dans les conférences sur le sujet…

Dans un second temps…

Il me semble que les artistes ont toujours politiquement assumé les mouvements/courants artistiques dans lesquels ils/elles s’inscrivaient/évoluaient. C’est quand même la base artistique d’un auteur.

Que ce soit, par exemples, les mouvements comme le dadaisme, le surréalisme, etc. Et plus encore concernant les situationnistes ( Internationale situationniste — Wikipédia ) dans les années 68tarde : « Il est cinq heures, le nouveau monde s’éveille »

C’est vrai que le grand public connaît mieux la version de Jacques DUTRONC.

Quel serait donc le rapport avec le libre sur ce forum ?… J’y viens…

Cela serait évidemment trop long à expliquer en un seul message. Une démonstration serait possiblement plus percutante…

Exemple, lors de l’UBUNTU PARTY de novembre 2014 à Paris, Benjamin BAYART :star_struck: ( FDN :smiling_face_with_three_hearts:), a fait une conférence intitulée : « L’Internet peut-il casser des briques ? » :rofl: :joy:( toujours aussi excellent cette idée dans le choix du titre, même des années après ) :

Voici le film de « la dialectique peut-elle casser des briques »… Le film est bourré de références et slogans politiques cultissimes : comme quoi, la critique situationniste de l’époque a encore tout son sens aujourd’hui (là c’est plus regrettable politiquement)…

En fait, ce qui est hallucinant est qu’informatiquement parlant, les gens « du libre » (qui sont techniquement excellents) n’ont toutefois aucune culture politique du libre / de la liberté, sinon celle exclusivement distillée par seulement deux grands gurus informaticiens ( Stallman ou Torvalds, qui au demeurant sont géniaux )…

Si cette lacune collective pouvait facilement être pardonnée dans le domaine du logiciel libre ; cette ignorance politico-culturelle sera difficilement excusable dans le domaine économique de la création d’une monnaie libre.

En effet si pour le moment, l’expérience de la monnaie libre peut s’apparenter à une simple théorie artistique (au regard de la faible masse d’utilisation), il en serait tout autrement, si cette monnaie avait elle-même réellement une résonance sociale économique et politique à plus grand nombre / échelle.

En d’autres termes…

Si Benjamin BAYART a fait une conférence intitulée : « L’Internet peut-il casser des briques ? »

Alors possiblement que l’auteur de la TRM, pourrait lui-même faire une conférence intitulée, par exemple : « L’an 01 de la Ğ1 ».

Et pour comprendre le sens politique de l’an 01 : L'An 01 — Wikipédia

@+ :vulcan_salute:

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je ne sais pas si tu te rends comptes de la différence fondamentale et sociétale comparé aux types privatives de créations monétaire qui sont elles aussi des oeuvres d’ art sans que personne ne cherche à comprendre quoi que se soit ?

pour ceux qui aiment le spam https://youtu.be/x05XhMC8mCE

Effectivement, voilà pour le moment comment je comprends la monnaie libre :

La Ğ1 n’est pas une monnaie légale, car elle n’a pas de cours légal : Cours légal — Wikipédia

Ce n’est pas non plus une « cryptomonnaie », car l’État ne considère pas l’émission d’une valeur numérique comme une monnaie mais comme un « simple » actif. En ce sens, le terme de « cryptomonnaie » est un abus de langage ( une vulgarisation ) pour définir un cryptoactif au sens légal et juridique de terme.

La définition d’un cryptoactif a déjà été introduite à plusieurs reprises sur le forum.

La Banque de France a même mis en ligne une vidéo grand public pour mieux comprendre :

Selon cette vidéo explicative de la Banque de France, la Ğ1 ne serait même pas considéré comme un cryptoactif, mais bien plus comme une sorte de monnaie digitale de détail (libre).

Alors que l’expérimentation menée par la banque de Suède s’apparenterait à une sorte de monnaie digitale de détail non-libre ( puisque détenue par la banque qui l’émet ).

En plus, la Ğ1 doit aussi être considéré comme une œuvre d’art… Donc la renaissance de l’International Situationniste par la néo-économique :smiley: ( je connais des situs qui viennent de se retourner au moins 3 fois dans leur tombe, mais à cette époque la définition des libristes était encore inconnue pour elles/eux ).

En outre, comme il n’y a pas de cours de change entre l’€uro et la Ğ1, alors cette dernière peut être considérée comme une « monnaie de singe » : Payer en monnaie de singe — Wikipédia

Mais là, « la monnaie de singe libre » n’a plus le sens négatif que l’État lui confère habituellement, mais au contraire un sens positif pour celles et ceux qui l’utilisent.

Pour le moment voilà ou en est ma réflexion. Et ce n’est qu’une esquisse.

Non non les cryptomonnaies / cryptoactifs privatifs n’ont aucun intérêt : ce sont pour moi de purs produits spéculatifs capitalistes.

J’aurais pensé au début que le BTC et les autres cryptos (dont l’ETH particulièrement) allaient faire exploser l’économie du système actuelle avec en prime le renouveau de la mouvance cyberpunk ( Qu'est-ce que le cyberpunk? ) et Cypherpunk

( Cypherpunk — Wikipédia ), mais j’ai vite déchanté devant l’ultra-libéralisme des crypto-anarchistes construisant eux-mêmes les murs (qu’ils étaient censés détruire) avec les pires traders capitalistes pour construire des énormes fermes de minage… On connaît la suite.

Mais en fait que pouvions-nous attendre de celles et ceux érigeant le « Manifeste Crypto Anarchiste »

de Tim May, comme source de la liberté dans un système de marché anarcho-capitaliste.

Et comme vous le savez les rapports sociaux sont politiquement tendus entre d’un côté les libéraux / libertariens ( Libertarianisme — Wikipédia ), et de l’autre les anti-libéraux / anti-capitalistes, surtout en France ( avec les GJ et toutes les orga révolutionnaires )… Mais aussi au Canada :

C’est là que c’est étrange : autant que le logiciel libre a très bien été accepté par la mouvance « de gauche » dès le début ( de ce que je m’en souviens ) et encore à ce jour ; autant qu’il semble y avoir une résistance idéologique et une méfiance politique par cette même mouvance concernant la monnaie libre.

Le sujet « Egalitaire et libérale. Et si on assumait ? » ( Egalitaire et libérale. Et si on assumait ? )

Une simple question : À ce jour, quel média alternatif libre contient des sujets sur la monnaie libre ?

S’il n’y a pas là une erreur de présentation de la monnaie libre dans la communauté « libriste » ( autre qu’informatiquement parlant ), il doit bien y avoir alors à minima une faute de communication au moins à travers les habituels médias libres et militants.

Possible… Ou possible que je cherche dans la monnaie libre quelques chose qui n’existe pas ?

Et ça, ce serait une raison valable et une excuse suffisante pour ne pas fournir cet effort ? Pourtant, vu la vitesse de développement de la Ğ1, je pense qu’il y a le temps. Et mieux, je suis même persuadé qu’il y a des gens compétents (et dans lesquels les membres ont confiance) pour faire le taf…

??? Dommage que tu le prennes ainsi…

Pourquoi ce blocage idéologique ? Je ne comprends toujours pas…

Mais soit, la Ğ1 sera plus et mieux « assimilé » comme étant monnaie digitale de détail ( libre ) ET une œuvre d’art ( les 2 à la fois ).

Non ce n’est pas la Ğ1 qui serait sa propre banque. Cela voudrait dire que la monnaie serait sa propre banque.

Or, j’ai cru comprendre que ce sont les membres pouvant créer de la monnaie qui serait la banque commune décentralisé pour tous les utilisateurs.

@+ :vulcan_salute:

la G1 dans son ensemble autorise la création et/ou l’ impression de fiducie ; les individus tels des banquiers privés, utilisent l’ emmission à leur guise selon le code monétaire libre/publique/modifiable (gnu).
la dissonance est le principal outil des manipulateurs #doublecontrainte lorsque l’ autorité est abolie point par point, ici la création monétaire, le son de l’ humanité est plus audible or il y aura toujours des interférences #pharmakon #ontologie #être/exister

la monnaie n’ est pas une fin

ce n’ est pas moi, c’ est un pote, ceux de la june qui me connaissent le savent mais lis la trm est sa démonstration ouverte à propos de la propriété terrienne

Désolé je n’ai pas trop lu ce qui est au-dessus.

Mais je réponds à la question:

Je trouve ça bien de le qualifier d’oeuvre d’art. On pourrait meme dire qu’il s’agit d’une oeuvre d’art sociale; ayant pour but d’etre plus malins que les 10000 années de derrière nous.

Maintenant face au risque il n’y a pas que le piratage dans la vie. Et face au risque gouvernemental et médiatique (enfin « le pouvoir », « l’oligarchie », appelons-le comme on veut) pour moi la seule solution c’est de se développer vite et prendre de vitesse les adversaires.

ineressant, jsuis aussi du même avis

pas du tout, les membres co-créent dans le référentiel

la création provient du code publique , démocratique et universel

Super on arrive enfin à des convergences :wink:

Exact, ça me parle. Je vois mieux là.