Monnaie libre et Loi PACTE

Quand on ne sait pas on ferait mieux de se taire. Les incohérences pullulent et l’incompétence est manifeste.

Et

Est parfaitement contradictoire. Mais aussi pour être plus précis (et pour les ignorants donc) la GPL (qui est copyleft) pour ne parler que d’elle est un copyright : Licences et Copyright: Protéger vos programmes par la GNU GPL

Ensuite :

Et

Démontre que justement la « monnaie de la France » n’est absolument pas un « monopole ». Il y a ici erreur logique (classique) entre le fait de ne pas pouvoir réaliser de contrefaçon (comme on ne peut légitimement pas appeler « Nike » des chaussures non fabriquées par « Nike », on ne peut légitimement pas appeler des « euros » des signes non fabriquées par le système bancaire euro). C’est tout. Ce point étant plus que général.

Ensuite concernant :

Ne fait qu’illustrer qu’on ne peut pas refuser. C’est ce qu’à très bien réalisé @Mateo lors d’un événement Ğ1 à la question d’un avocat fiscaliste qui lui demandait « mais si je veux acheter ces crêpes en euros et pas en Ğ1, que me répondez-vous ? », @Mateo a parfaitement bien réagi (car il comprend la logique) : « pas de problème bien sûr, c’est 100 Ğ1 la crêpe, ou bien 1000 € la crêpe, vous choisissez bien entendu ».

Ce que tout enfant de 10 ans comprend parfaitement bien : le fait de ne pas pouvoir refuser X, ne dit pas qu’on a pas le droit d’accepter Y, c’est parfaitement idiot (ou encore symptomatique de l’incapacité à comprendre, ce qui peut se pardonner. Mais ne peut pas se pardonner prétendre que l’on sait de quoi on parle quand on démontre pertinemment n’y comprendre goutte.

Cela reviendrait à interdire tout échange, puisque 99% des échanges se font entre des Y et des Z, et 1% à peine avec des X qu’on ne peut pas refuser. Il n’y a guère que certains comptables mal formés (ou peu vifs) qui ne comprennent pas ce point.

Confondre « ne pas pouvoir refuser » avec « monopole », ou encore « exclusivité », ou encore « unicité », est véritablement idiot (il n’y a pas d’autre terme). Mais pis encore, ne fait qu’exprimer une totale ignorance de la réalité observable sous tous ses angles, légitimes, légaux, pratiques, observables, constatables, effectifs etc.

Cela revient à admettre qu’on ne sait pas qu’un peintre vit de sa peinture, sans avoir aucunement la nécessité d’utiliser un X tiers prédéfini, tout comme l’oiseau vit d’air pur et d’eau fraîche, sans avoir aucune sorte de lien nulle part avec X.

Enfin,

Non, la Ğ1 est déclarée comme oeuvre d’art et exposée comme telle, toute autre qualificatif la concernant est une violation du droit d’auteur, et toute violation du droit d’auteur remettrait en question toute l’économie de la culture et de l’Art, et participe d’une violation des droits fondamentaux de disposer de ses oeuvres.

Donc les « pour ma part », « à mon avis », « je pense que », se heurtent in-fine à la dure réalité du droit du Créateur. Qui s’y frotte s’y piquera, et je suis bien aise de piquer là où ça fait mal.

Hommage à la Fontaine de Marcel Duchamp.

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Il y a vraiment besoin de la moitié de mon D.U pour ça ? J’avoue que je ne vois pas en quoi ça consiste ?

comme nous ne pouvons créer ex nihilo nous aurons besoin de garanties un jour donc anticipons j’ ai envie de dire

Bien !… Merci @Galuel : Me voilà enfin habillé pour l’hiver prochain ( :face_with_hand_over_mouth: ). Ceci étant, en plein été, avec la vague de chaleur actuelle, je dois admettre que le col-roulé à manches longues, même en laine de chèvre bio, ça pique un peu, même avec une promo en période de solde ( :smiley: ).

Vu le ton employé à mon égard ( :roll_eyes: ), il me semble donc y avoir mal-donne. C’est regrettable.

Et tu démarres vite dans les tours et fort dans l’hostilité ( :face_with_raised_eyebrow: ). En fait, dès la première ligne.…

Indéniablement l’accueil est chaleureux ! Cela aurait pu être pire ? ( :flushed: )
(Je suppose que je verrais cela avec… Le temps, comme avec la Ğ1)

Pourtant, il n’y a rien de contradictoire dans mes propos, tant que tu les lis dans le bon sens et sans les extrapoler (ni les déformer). En fait, tu vas même comprendre que tu dis la même chose que moi (ou vice-versa), mais d’une autre manière (comme quoi…).

Comme je disais précédemment : « juridiquement la licence copyleft n’existe toujours pas dans le droit. En fait, soit il y a un droit légal ( un brevet, une patente, etc. ) ou il n’y en a pas. »

Il faut comprendre que dans le droit français, il n’existe pas d’opposition juridique entre d’un côté le « copyright » et de l’autre, le « copyleft ».

Apparemment, mon propos t’as choqué, et cela mérite une meilleure explication de ma part sur mon interprétation…

« Le copyleft est un terme général. » Et non pas un terme juridique en matière de droit purement légaliste. Ce n’est pas moi qui le dit, c’est simplement écrit.

Partant de là tu mets en lien la méthodologie de l’APRIL (merci à eux pour leur travail fantastique) pour faire une licence libre GNU GPL. Super ! C’est exactement ce que je dis : juridiquement, la licence copyleft n’existe pas… Elle n’existe pas sans le copyright qui lui est directement associé. Il ne peut y avoir de copyleft sans copyright, c’est un fait juridique largement expliqué (et admis par la communauté du libre). Et c’est toujours comme cela que j’ai compris le copyleft, son concept initial et son interaction avec le droit d’auteur « à la française ».

Là, je te sens sauter partout, et à t’énerver inutilement. Pourtant il n’y a pas de quoi s’emballer. ( :innocent: )

Le copyleft est merveilleux, dans le sens où cette licence libre, aussi louable soit-elle, repose (en France) exclusivement sur une « distorsion » juridique (un biais légal) du droit d’auteur classique (~copyright) et de la volonté du créateur à libérer son œuvre pour la balancer dans le domaine public plutôt que prévu (donc avant terme de la durée de protection pour les œuvres qui est de 70 ans après la mort de son auteur).

(en aparté :, les inventions brevetées sont protégées durant 20 ans à compter du jour de dépôt de la demande, et les marques sont protégées pendant dix ans à compter de leur dépôt, cette période étant renouvelable indéfiniment. Et cela est aussi évidement bien encadré juridiquement : Domaine public en droit de la propriété intellectuelle français — Wikipédia ).

Démonstration ?…

Là on est donc d’accord ou toujours pas ?… Le point de départ du copyleft est et reste le copyright (droit d’auteur en France). Sans droit d’auteur (~copyright), le copyleft est donc juridiquement et légalement inexistant.

Et je sais que tu peux toi aussi comprendre ça, la preuve : http://www.glibre.org/2012/01/hello-world/

En fait, si je m’adapte (tant bien que mal) à ta vision « artistico-scientifique », alors le copyleft est une sorte de Ğ©opyright / ğCopyright. :star_struck: Illumination :hugs:

Et là c’est bien la démonstration pratique que tout copyleft est avant-tout, juridiquement, un copyright légalement modifié par des clauses additionnelles pour libérer l’œuvre dans le domaine public plus tôt que prévu (CQFD :nerd_face: j’ai pas pu résister :grin: ).

Le copyleft n’a pas pour but de rendre une œuvre illégale par rapport au copyright initiale… Il a pour objectif de permettre à une œuvre (déjà « copyrightée » par son auteur) de rentrer plus vite et plus tôt dans le domaine public tout en permettant à cette œuvre d’être dupliquée et éventuellement modifiable / modifiée.

En France, une personne ayant légalement revendiqué son œuvre par l’application d’un copyright ne peut donc jamais renoncer totalement à ses droits d’auteur sur son œuvre. À minima, il reste toujours le droit moral inaliénable dessus. Personnellement, je n’ai toujours pas compris pourquoi la résistance à maintenir ce droit moral inaliénable. J’ai bien un doute, une idée, mais ce n’est pas si clair.

Question en aparté : Comment cela se passe t’il si un auteur change d’avis, pour x ou y raison(s), et décide de rebasculer son œuvre sous le strict droit d’auteur classique, alors que son œuvre était jusqu’alors sous copyleft ? Il en aurait le droit, puisque le droit d’auteur est un contrat unilatéral (même si « copyleftée »). Je ne suis pas certain que la réponse à cette question soit aussi simple.

Quoi qu’il en soit…

Et aussi…

Donc nous y voilà, en France : le copyleft est en définitif un contrat juridique de droit d’auteur (~copyright) avec des clauses moins restrictives que le classique contrat de base légale.

En ce sens, je ne vois donc pas ou mon analyse est incohérente et contradictoire lorsque je disais : « juridiquement la licence copyleft n’existe toujours pas dans le droit (français). En fait, soit il y a un droit légal ( un brevet, une patente, etc. ) ou il n’y en a pas. »

A contrario du copyright, le copyleft rend donc une œuvre libre par le biais de clauses supplémentaires au droit d’auteur initiale, en donnant une obligation à toute personne qui reproduit ou modifie une œuvre « copyleftée » de la laisser aussi libre de copie et de modification. En ce sens, le copyleft ne signifie pas d’abandonner tout copyright, mais seulement de pouvoir laisser le soin à autrui d’améliorer une œuvre ou un travail déjà existant sous copyright, en plaçant l’œuvre plus tôt dans le domaine public.

Voilà c’est certes un peu long, mais j’espère avoir clarifié mon point de vue (même si j’ai bien compris par téléphone, que tu t’en foutais royalement).

Je n’ai certainement pas ton intelligence (tant pis, j’ai aussi d’autres défauts, j’ai appris à vivre avec :pinching_hand: surtout ma femme :+1: en réalité ), après tout je suis Humain (et j’invoque mon droit à l’erreur :pray: ), mais je ne suis pas plus con que la moyenne ( :crazy_face: ), et il me semble avoir compris que la Ğ1 était justement basée sur la moyenne (ou alors j’ai encore mal lu, possiblement).

À mon avis, si la Ğ1 est une monnaie basée sur l’Humain, tu devrais alors être plus empathique et moins hautin avec ceux qui tentent d’adhérer à ta vision de la monnaie libre, de la comprendre, de l’appréhender.

C’est dommage, alors que la Ğ1 semble être inclusif pour tous les Humains, tu sembles être exclusif de certains d’entre eux, comme si tu étais le revers de ta propre monnaie (c’est une image, et possiblement pas la réalité, puisque l’on ne se connaît pas plus/mieux).

Essaie aussi de comprendre que chaque personne a une histoire différente (tout le monde ne peut pas être un révolutionnaire, un héros, ou même un martyr), ce qui n’empêche pas les gens de se rapprocher les uns des autres dans des relations parfois occasionnellement, parfois complexes/compliquées, parfois par simple opportunisme, parfois durablement, ou d’autres fois pour x ou y autres raisons qu’il peut en exister sans faire de généralité.

Suite à notre conversation téléphonique, il y a certains trucs que j’ai mieux compris ( :ok_hand: ) et d’autres toujours pas, du moins pas encore (désolé :unamused: ). Tâche simplement de ne pas en vouloir aux autres personnes de ne pas comprendre ce qui pour toi est une évidence. On a tous nos aspirations et nos difficultés à plus ou moins grandes échelle.

J’espère donc qu’après cette clarification, on pourra ainsi repartir sur une nouvelle et meilleure base que celle où l’on s’est quitté au téléphone.

Cordialement

@+ :vulcan_salute:

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le facteur humain que tu évoques vaguement doit nécessairement être contenu à son strict nécessaire, càd rapports cordiaux sans jugement de valeur, la difficulté principale est lorsqu’ une personne se sent attaquée personnellement tandis que ce sont en réalité ses propos qui sont discriminés en tant que tel et sans projection/interpretation.

réduire le flux , déduire le principe , synthèse de l’ analyse etc… doivent en effet être diffusés avec la monnaie humaine libre, celle qui ne juge pas l’ individu afin de le faire plier, juste la logique simple et vérifiable dans la théorie et les principes, maintenant les faits et vis versa…

…le copyleft tel qu’ android gnu a en effet été vendu par les dépositaires initiaux puis transformé en privateur, c’ est un fait qui initie un principe et qui confirme la théorie, le copyleft est un copyright internationalement

Pourquoi ne pas cesser de dire n’importe quoi ?

Android est sous licence libre et le reste : Android — Wikipédia

Ben si, elle est même triviale. C’est l’oeuvre qui est libre, donc un auteur peut rebasculer une copie de l’oeuvre libre sous un autre copyright, mais uniquement sur 1°) la partie qu’il a lui même codée (certainement pas pour le code d’autres contributeurs), et 2°) pour des futures versions seulement, les versions publiées sous licence libre restant bien évidemment sous licence libre.

Donc pour rebasculer Linux sous licence privatrice la volonté de Linus Torwarld seul ne le pourra pas, il devrait avoir l’assentiment de tous les contributeurs ayant eux-même apporté du code libre, pour démarrer une version copiée de Linux vers une branche non-libre. Dans les faits c’est parfaitement inapliquable. Ca arrive parfois seulement en début de création, quand l’auteur reste seul, il y a eu des cas, mais ça ne peut pas concerner des projets déjà communautaires.

Et donc oui, le copyleft existe, c’est un copyright (Stallman l’a toujours bien expliqué), et donc il reste parfaitement erroné de prétendre qu’il n’existe pas.

C’est exactement comme dire que 0 n’existe pas, ça ne bloque que dans des esprits emmurés dans le déni, mais sinon ça passe très bien, 0 est bien un nombre, il existe, bien qu’il ne numérote que le rien.

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faudra expliquer mieux la licence apache à stallman car je ne fais que relayer ses propos Stallman : Android est-il libre ? | MacGeneration

ps hs/zero n’ est pas un chiffre mais un symbole d’ églité puis aussi des dixaines

ps2/ en même temps n’ importe quel utilisateur se rend bien compte qu’ il y a un truc qui cloche avec les smart phones, les cameras sont hyper sophistiquées mais rien ne les protège physiquement. nous sommes rendus à devoir coller du scotch mdr, c’ est comme vendre un cd sans la boite, au bout de quelque jours de rayures ils perdent tout leur interet

Tu ne relayes rien du tout, tu affirmes n’importe quoi sans étudier la question. Il y a deux licences Apache pour une partie (qui est Open Source, pas libre au sens de la FSF), et GPL (Linux). Le fait d’utiliser un noyau libre au sens GPL n’oblige pas à développer du libre par dessus.

Mais il n’y a pas, nulle part, comme tu l’as écrit péremptoirement : « android gnu a en effet été vendu par les dépositaires initiaux puis transformé en privateur ». Comment est-il possible d’affirmer des choses aussi fausses dans un nombre de mots aussi court ?

Tout d’abord Android n’a rien à avoir avec GNU (méconnaissance du sujet, qu’est-ce que GNU ?), et surtout attribution d’une propriété fausse à un objet non étudié (affirmation fausse, assertion fausse, raisonnement faux, conclusion totalement à côté de la plaque)…

Et enfin donc aucun objet GPL (Linux) n’a changé de Licence.

Donc bref, encore et toujours du n’importe quoi. Ce fil est un ramassis d’idioties, de propagation de fausses rumeurs, bref, de quoi décrédibiliser un certain nombre de ses participants pendant une durée de temps plutôt longue…

Ou comment se griller par la production de faux.

Quand on ne sait pas de quoi on parle, il vaut mieux se taire, ou pour le moins s’abstenir de déclamer des affirmations.

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il n’ a pas été développé gnu/linux avant son rachat ?

Qui est « il » ? Et le « rachat » de quoi ? De quoi parles-tu ?

il y a peut étre une erreur de traduction de ma part mais si je lis le commentaire de stallman, android était gnu/linux

‹ ‹ Google has complied with the requirements of the GNU General Public License for Linux, but the Apache license on the rest of Android does not require source release › ›

par précaution je tiens à préciser qu’ il n’ est nullement insinué ici que duniter pourrait étre vendue car comme vous l’ avez bien noté, la licence ici est ‹ ‹ communautaire › ›

le but est simplement de démontrer qu’ un copyleft est un copyright (bis)

ça a déjà été expliqué plus haut. « the rest of Android » signifie « le reste d’Androïd » :

Ca ne répond pas du tout à la question :

D’où sors-tu un « rachat », pourquoi parles-tu de « rachat » ? Pourquoi ne parles-tu pas de Licornes, ou de Bisons à poils rouges ?

Et qui est « il » ?

Il n’y a pas besoin de le démontrer, ce point est expliqué par Richard Stallman depuis 37 ans, et ça ne répond pas aux questions concernant tes affirmations.

non, ça ne répond pas aux questions dans l’ ordre, la première question était ‹ ‹ quel rapport entre gnu et android › › et j’ ai dût rédiger une réponse didactique afin que le lecteur ne se sente pas laisé.

en effet, le fait qu’ il y ait eu rachat (ou extorction, ou don, je ne suis pas dans l’ intimité) du logiciel android par google a permis un transfert de droit sur la licence tel qu’ avec tout copyright (et donc copyleft) celle ci est passée de gnu/linux à apache , c’ est tout, c’ est ma traduction de stallman et ça revient à ma toute première affirmation, android n’ est pas libre tel que le précise l’ article, seul le noyau inutilisable est resté libre afin de laisser planer le doute.

l’ affirmation initialement fausse était qu’ android était libre…

… android est il libre ? non, source stallman …

laisser le doute planer peut aussi porter tord lorsque certains s’ illusionnait sur des wikipédia et qu’ ils déchantent.

référentiel : armée de troll (cf wikipédia) , subversion contrôlée (cf démocratie réelle)

Pas de rachat donc, nulle part. Et comment tu « rachètes » un logiciel libre ? Personne n’a jamais pu « racheter » un logiciel libre, ça n’a aucun sens.

Non, tu n’as décidément pas du tout compris le sujet. La licence du coeur d’Androîd est GPL (GNU/Linux n’est pas une licence, c’est un logiciel, et GNU n’est pas une licence non plus, c’est un projet), elle est libre et ne peut que rester libre.

Une partie d’Androïd elle, n’est pas sous licence GPL, mais Apache, mais Apache reste une licence libre.

Tu fais des mélanges fondés sur une incompréhension des concepts (mélange entre des licences, des logiciels, des projets, des bananes, des carottes et des licornes à poils verts), et tu tires des conclusions sur des idées qui ne reposent sur rien d’autre que ton imagination.

Sur Debian (logiciel libre, sous licence GPL), on peut installer et faire tourner Skype qui n’est pas libre. Ainsi on peut construire sur une base libre un système dont la surcouche ne sera pas libre, c’est de cela dont il est question.

Il n’y a eu aucun « rachat », et il n’y a pas de « il ».

Continue à creuser.

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ou bien comme je l’ avais dit, j’ ai mal traduit stallman nous parlant d’ android non libre …

… ce qui m’ étonnerait tout de même beaucoup

C’est pourtant le cas, relis bien posément et essaie de comprendre de quoi il parle exactement.

lorsque l’ auteur écrit par exemple ‹ ‹ the gnu général public license for linux › › et que je nomme celà la licence gnu/linux pour parler d’ environnement tel qu’ android même s’ il n’ est maintenant libre qu’ en apparence,

comment le traduire autrement ?

la licence gnu générale et publique pour linux alors !

celle qui était dotée à android avant son transfert, android n’ étant au final qu’ un nom exploitable avec lequel l’ ambiguité pourrait apparaitre si l’ on élude la licence gnu générale et publique pour linux

Houla, non et je pense que ce serait même très dangereux de croire cela.

D’ailleurs, l’auteur et les « administrateurs » (membres) de la Ğ1 risqueraient même des problèmes judiciaires en affirmant une telle chose (cf. art. # L.54-10-4 du Code monétaire et financier).

@Mateo a même présenté une vidéo (dans un autre sujet) qui, à mon avis, illustre le pourquoi de cette impossibilité :

Je comprends @Galuel que tu souhaites que ton œuvre économico-humaniste soit « scientifico-artistique » ou « artistico-scientifique », si cela est ton désire. Et j’entends bien ton argumentation et ta revendication sur ce point.

En plus, le domaine artistique t’offre ainsi une plus grande liberté d’expression que le domaine économique formel et conventionnel où tu te heurterais aux idées des autres économistes (monétaristes) plus orthodoxes.

Du coup, je comprends aussi pourquoi tu rattaches ton œuvre à une licence art libre ( https://artlibre.org/ ). Telle la démarche subversive politico-artistique de Piotr Pavlensky, mais toi, ce serait plus de l’ordre artistico-économicus (et sans le côté porno-nuisible). Là je tente de faire un compliment, et non pas une provocation. J’espère que tu l’entendras ainsi.

Aussi la Licence Art Libre est arrangeante, puisque l’économie classique est rattachée au capitalisme (dont les moyens de production), alors que ton système économique est directement rattaché à l’Humain/Temps : ce qui change fondamentalement la donne en termes de répartition de richesse et de dividende universel à partager équitablement par tous les membres affiliés pour parfaire l’équilibre du système.

Sincèrement c’est bien pensé : tu as été extrêmement prolifique en la matière et créatif dans le domaine, c’est indéniable. Félicitation donc pour cette ouverture d’esprit et de partager collectivement ton œuvre.

Mais… Il demeure un problème qui est très justement souligné par @Mateo :

Au titre de l’article 86 de la loi 2019-486 du 22 mai 2019, le code monétaire et financier est modifié de sorte qu’il est introduit le 2° alinéa de l’article L.54-10-1 qui stipule et précise :

En d’autres termes, pour l’administration fiscale et le code monétaire et financier : la Ğ1 est un crypto-actif, sans aucune ambiguïté. Et cela, peu importe le degré artistique que tu lui attribues. Ce n’est pas moi qui l’affirme, mais un texte de loi, in fine lex.

Je laisse donc le soin à @Galuel de piquer l’État là ou cela fait mal face à la dure réalité du droit du créateur d’auteur de la Ğ1, car d’une part je ne suis pas l’auteur de la Ğ1, et d’autre part, je suis bien incapable de m’attaquer à l’État.

Croire que la Ğ1 est uniquement de l’art face à l’administration fiscale et devant la strict application du code monétaire et financier, c’est un peu utopique et idéaliste, et c’est aussi oublier la réalité de pourquoi les gens utiliseraient la Ğ1 pour des transactions sur ğchange ou ğannonce. Je doute que ce soit uniquement pour le côté artistique des transactions en Ğ1 via internet ?

C’est comme les gravures sur les billets de banque. Que ces gravures soient belles (ou moches), cela n’a plus grand intérêt devant la valeur collectivement et communément acceptée du billet par celles et ceux qui l’utilisent pour faire des transactions.

Autrement expliqué : un billet monétaire de 50 € vaut fiduciairement 50 €. Si un billet de 50 € en vaut 4 fois plus (=200 €), cela n’a de sens que pour les collectionneurs qui en ont déterminé un nouveau prix qui n’est pas celui de la valeur émise (50 €) et pour laquelle le billet a été mis en circulation pour utilisation.

Tout cela car ledit billet aurait alors une valeur monétaire fiduciaire fixe (de 50 €) et une valeur « artistique » variable et indéterminée (de 200 € pouvant éventuellement fluctuer à 300 €, mais ne sera pas en dessous de sa valeur initiale de 50 € - sauf si l’État décide de supprimer le billet de 50 € à 0 €).

Un autre argument sur le côté artistique de la Ğ1…

Les livres des auteurs littéraires ont tous très certainement une valeur artistique. Pour autant, est-ce que les livres de droits ont une valeur artistique ? J’en doute, même si l’écriture de certaines lois relèvent parfois de l’art de la sémantique et de la rhétorique, tellement elles restent absconses.

Non au contraire pas si trivial que cela.

Lorsque IBM a payé la somme record de 34 milliards de dollars pour acheter l’éditeur de logiciels open-source RED HAT, il me semble me souvenir qu’une bonne partie de la communauté du libre a eut la gorge serrée : IBM achète Red Hat - LinuxFr.org

La trivialité à ~34M$… :sunglasses:

Imagine donc IBM propriétaire de RED HAT et des licences open-source de ce dernier, prendre la décision de fermer toutes les licences qui étaient jusqu’à là open-source… Ce n’est plus si trivial là ?

Et il y a eu plein d’autres exemples de rachats ces dernières années : IBM entame l'acquisition de Red Hat pour 33,4 milliards de dollars, pour, contre, indifférent, quel est votre avis sur cette acquisition ?

Non sans compter les rumeurs de « rapprochement » entre Windows et Canonical (en 2007) :

Le genre d’annonce qui fait que la communauté du libre n’est pas insensible à la possibilité de voir éventuellement de l’open-source rebasculer en licence fermée.

Là, cela tourne à un dialogue de sourds.

Non, cela n’a rien à voir, et la démonstration mathématique pour justifier est même confuse et ici inappropriée. Mais cela me rappelle une blague :

Cordialement @+ :vulcan_salute:

c’ est foutage de gueule me concernant et lisez l’ article que vous m’ accusez de méconnaitre pour comprendre qu’ il ne s’ agit justement pas de l’ illégalité d’ une banque centrale mais bel et bien de celle de la production d’ actifs numérique