Passer la seconde sur l'économie de la june en ajoutant une règle sur les certifications

Effectivement @RomainKornig je fais un amalgame volontaire. Pour la raison suivante: il y a un lien entre être connu par moi juniste actif et être actif.

Si une personne fait l’effort d’être assez liée aux junistes actifs, c’est que cette personne est elle-même active.

Un inactif en vente, c’est à dire un non-exposant / non-producteur vient rarement donc est trop peu connu.

Alors, arguer de l’excuse qu’on ne se connait pas bien, n’est pas faux. Alors que la base est l’absence de production. Mais pour ne pas brouiller les pistes en donnant trop de raisons, je m’arrête à cet aspect principal. Étant donné que si la personne est perspicace, elle se dit je vais venir plus souvent et je vais apporter des choses car cela va de soi.

Il faut savoir dire les choses avec tact. Une vérité dans la gueule est signe de conflits. Alors moi il m’arrive de demander à quelqu’un pourquoi rien n’est apporté. Il m’arrive aussi de parler assez fort à un ami et de dire que dans chaque gmarché chaque visiteur a un devoir: proposer quelque chose pour les autres. Je pense que des oreilles trainent et que ce commandement ne restera pas longtemps lettre morte.

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Ca me parait normal qu’avec des petits groupes locaux de 10-50. personnes, l’offre ne rencontre pas la demande.
Les Gmarchés ont été le principal moyen de communication pour la June. Ils ont l’avantage de montrer que les outils fonctionnent et permettent de rencontrer des Junistes pour être certifié.

Une cryptomonnaie ne prend de la valeur que lorsqu’environ 100 000 personnes l’utilisent.
Il y a alors beaucoup plus de possibilités d’offres.

Il me parait important de développer de nouveaux supports de communications.
Etant moi-même à la retraite de puis six mois, je sais que 400 000 papy boomers partent en retraite chaque année dans notre pays. Une bonne partie ont besoin d’un revenu complémentaire, tous ont des compétences à partager. Une action dans ce sens pourrait être envisagé.

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Quelle action ? Comment ? Par qui ?

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Proposition d’un Plan de Communication pour Faire Connaître la Monnaie Libre aux Nouveaux Retraités Français

1. Comprendre le Public Cible

  • Les besoins: Compléter les revenus, trouver du sens dans la retraite, s’intégrer dans une communauté.
  • Les craintes: Le changement, la complexité, la perte d’autonomie.
  • Les canaux de communication: Presse spécialisée (retraite, finances), radios locales, associations de retraités, événements locaux, réseaux sociaux (Facebook, groupes dédiés).

2. Objectifs de la Campagne

  • Faire connaître: La notion de monnaie libre et ses avantages.
  • Créer de l’intérêt: Montrer comment la monnaie libre peut répondre aux besoins spécifiques des retraités.
  • Inciter à l’action: Encourager les retraités à se renseigner davantage et à participer à des initiatives locales.

3. Messages Clés

  • La monnaie libre, une solution pour un complément de revenus.
  • Un moyen de soutenir l’économie locale et de créer du lien social.
  • Une démarche citoyenne et solidaire.
  • Facile à comprendre et à utiliser.

4. Plan d’Action

4.1. Partenariats

  • Associations de retraités: Organiser des ateliers, des conférences, des tables rondes sur la monnaie libre.
  • Mairies et communautés de communes: Promouvoir la monnaie libre lors d’événements locaux (forums des associations, marchés).
  • Commerçants locaux: Les inciter à accepter la monnaie libre et à communiquer sur leur engagement.

4.2. Supports de Communication

  • Guides pratiques: Des brochures simples et claires expliquant les principes de la monnaie libre et les démarches pour y participer.
  • Vidéos témoignages: Des retraités racontent leur expérience avec la monnaie libre.
  • Site internet dédié: Un espace en ligne pour trouver les informations nécessaires, les événements locaux et les groupes d’entraide.
  • Réseaux sociaux: Créer des pages et des groupes dédiés sur Facebook, Twitter et LinkedIn pour faciliter les échanges et le partage d’informations.

4.3. Événements

  • Ateliers découverte: Des sessions pratiques pour apprendre à utiliser la monnaie libre.
  • Cafés citoyens: Des moments d’échange pour discuter des enjeux de la monnaie complémentaire.
  • Marchés locaux: Organiser des stands pour présenter la monnaie libre et permettre aux retraités de l’échanger.

5. Suivi et Évaluation

  • Mesurer l’impact: Nombre de personnes ayant assisté aux événements, nombre de nouveaux utilisateurs de la monnaie libre, retours qualitatifs.
  • Adapter la stratégie: Ajuster les messages et les canaux de communication en fonction des résultats obtenus.

Exemples de Slogans

  • « La monnaie libre, une retraite plus riche et plus solidaire. »
  • « Donnez du sens à votre argent en soutenant l’économie locale. »
  • « Rejoignez le mouvement et devenez acteur de votre territoire. »

En conclusion, cette proposition de plan de communication vise à positionner la monnaie libre comme une solution pertinente pour les nouveaux retraités, en répondant à leurs besoins de complémentarité de revenus, de lien social et d’engagement citoyen. Il est essentiel de mettre en place une stratégie de communication à long terme, basée sur des partenariats solides et des actions concrètes sur le terrain.

Pour aller plus loin, il serait intéressant d’explorer les possibilités offertes par les nouvelles technologies (applications mobiles, plateformes en ligne) pour faciliter l’utilisation de la monnaie libre et renforcer les communautés d’utilisateurs.

Souhaitez-vous approfondir un aspect particulier de ce plan ?

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Ils existent.

Quand commences-tu ?

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j’ai commencé il y a 20 min :rofl:, après, j’ai des méthodes de travail contraignantes, j’aime bien quand on sait qui fait quoi, quelles sont les échéances, et je suis ouvert aux autres cryptomonnaies et à l’IA, ce qui rebutent beaucoup de bénévoles.
Mais une fois que les objectifs sont fixés, j’ai toujours vu qu’un groupe de travail se métait en place pour les atteindre :wink:
En Janvier, je participe au MOOC Biorégions organisé par l’Archivel du vivant. Une nouvelle occasion de faire la promotion de la monnaie libre

J’ai fait le même constat…
Il s’est avéré que le mélange des marchés de producteurs de nourriture, et de service a provoqué des problèmes lorsque les offres de l’un ne correspond pas au besoin de l’autre.

La monnaie sert à calculer la valeur, mais il faut un système suffisamment étendu et homogène pour y opérer efficacement…

Pour donner de la valeur à la June, il faut s’en servir dans les échanges porteur de valeur.

Les processus transformateurs comme préparer des conserves à partir de produits que le producteur a en excédent.

Il s’agit alors d’optimiser la mise en œuvre de plusieurs actions: collecte de pots, collecte des produits, préparation, cuisson, appertisation. Ou utiliser eau et sel pour réaliser une lactofermentation.

Ce genre d’entreprise (qui ne gère pas la vente) peut occuper 2 ou 3 personnes, et nécessite un espace numérique pour s’organiser. C’est ici que l’utilisation de NextCloud devient intéressante pour réaliser des visio, partager des documents et des agendas.

Arrive alors la comptabilité… Du temps passé par chacun, des dépenses € (toujours nécessaires), et celle en DU (qui est automatiquement comptabilisée en Ğ1 sur blockchain)

C’est là que l’introduction du Ẑen est intéressant pour créer une comptabilité € en blockchain.
Il se produit plusieurs effets secondaires lorsqu’on « tokenise » sa comptabilité.

  1. Elle est ouverte et publique
  2. elle devient facilement auditable par tous les participants, ce qui renforce la transparence et la confiance au sein du projet.
  3. Elle permet de standardiser les échanges entre les différentes parties prenantes, même si elles utilisent des monnaies ou unités de compte différentes.
  4. Elle encourage l’innovation et la création d’écosystèmes collaboratifs où la monnaie libre (Ğ1) et les euros peuvent coexister harmonieusement.

Application concrète de la méthode :

  • Étape 1 : Évaluer les apports communs en Ẑen
    Chaque co-créateur contribue au projet de manière tangible (véhicule, matériel, matières premières) ou immatérielle (temps, compétences). Ces apports sont monétisés en Ẑen, selon leur équivalent en euros.

  • Exemples d’évaluation :

    • Véhicule pour transport : 3000Ẑen.
    • Cuisine et boutique louées : 500Ẑen/mois.
    • Charges courantes (eau, électricité, gaz) : 100Ẑen/mois.

Étape 2 : Calcul des coûts récurrents et projection de capital minimum

On additionne les coûts pour une période donnée (1 an, 3 ans, 7 ans).

  • Exemple pour une année :
    • Charges mensuelles fixes (local, charges) : 500+100=600 Ẑen/mois
    • Coût annuel : 600×12=7200 Ẑen
    • Ajout du véhicule : 7200+3000=10,200 Ẑen

Ce montant correspond à ce que l’entreprise permet de mettre en commun pour maintenir une activité. On pourra le diviser en plusieurs parts pour permettre de calculer le prix d’une obligation. Par exemple pour 32 actionnaires, on obtient 318.75 Ẑen

La mise sur le marché !!

Maintenant que nous savons combien ça va coûter de maintenir notre entreprise à flot, il faut savoir si elle est utile et utilisée. C’est à dire est-ce qu’elle va vendre ses produits…
Le plus simple est de se servir du G1Forfait, qui utilise le DU comme jeton associé à un forfait variable de prix en Ẑen.

Pour le commerçant et le client cela revient à faire « moitié prix pour tant de DU ».

Une fois l’estimation de vente faite dans les différents forfaits, on va savoir de combien de jetons Ẑen on va avoir besoin au total. Avec le modèle MadeInZen, on en a prévu 66 650 …

Ce modèle est en cours de mise en route sur Sagittarius, une des 3 stations qui démarre le protocole et permet d’avoir des comptes NextCloud et de profiter d’une 'IA qui peut créer des images, et générer des textes…

ForfaitSagittarius

UPlanet & Made In Zen

Pour effectuer cette comptabilité €/Ẑen, nous mettons au point le coeur logiciel et matériel nécessaire à équiper l’entreprise qui souhaite émettre ses jetons au travers d’une toile de confiance technique et un choix pour l’auto-hébergement. Cette entreprise elle-même va emmètre des jetons qui sont distribués lors de la formation des nouveaux auto-hébergeurs…

Si vous voulez convertir ou créer votre entreprise de cette façon, rentrons en contact…

@chrisaiki :

Déjà il faut qu’il y ait une demande exprimée. Je me demande bien dans quelles régions une liste de nos demandes a été faite. Pour ce qui est des communautés que je fréquente, il n’y a eu aucune tentative de liste.

Supposons qu’une telle liste se fasse localement, ce qui est facile à faire. On se base là-dessus et on l’appelle LA DEMANDE. Si cette demande n’est pas hors-sol, j’ose espérer que la majorité de cette liste pourra être honorée, soit rapidement soit quelques mois après. Je parle bien d’un groupe de dix à cinquante personnes.

Sur quelle base @chrisaiki part-il du point de vue défaitiste que cela ne sera pas réalisable?

Je crois que notre point faible est la communication. On n’ose pas dire ce que concrètement on aimerait trouver dans un gmarché en biens et services.

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oui, c’est une bonne idée de créer une liste de demandes, à Annecy, @Elfe74 travaille sur une liste d’offres.
Je suis d’accord vec toi, que si le besoin est exprimé, il a de bonnes chances de se realiser.

Pour le groupe d’Annecy, j’aimerai avoir un local dans une maison en paille (ou en bois!) pour nos réunions mensuelles, alimentée 100 % en ENR.

J’aimerai aussi avoir un.e chargé.e de relations internationales payée en Junes pour EducDAO, l’Université décentralisée.

Et vous, quels sont vos demandes?

Pratiquement tout le monde recherche de l’alimentation.
-Du pain
-Des oeufs (facile à faire avec de la récup)
-Des légumes/des fruits
-Du fromage
-De la viande
-Du poisson
-Confitures

Ensuite viennent tous les objets de consommation,
-Lessive
-Savon
-Éponges
-Produits d’entretiens ménagers

Dans les services :

-Garagistes
-Thérapeutes (On a la chance d’en avoir quand même pas mal y compris en distanciel.)
-Couture
-Métiers du bâtiments

Déjà si sur votre secteur vous assurez une partie de ces postes là forcément l’économie en june va exploser par effet levier. (Sous réserve que vous mettiez des prix corrects et respectez l’offre et la demande pour fixer vos prix, sinon vous allez faire collapser l’économie de votre secteur.)
Voici la bonne méthode pour vendre au bon prix :

Il n’y a pas besoin de tout faire, mais déjà commencez à faire des propositions. Organisez vous montez un réseau de troc etc.
Exemple : Vous prenez de la farine à une épicerie (par exemple 5kg) En échange vous lui fournissez 2kg de pain au levain.
Donc elle est gagnante et vous aussi puisque grâce à votre activité de boulangerie (votre temps) vous obtenez de la farine.

Ensuite il faut prendre une spécialité et s’y tenir, de manière à gagner en coût de productivité. Si vous vous organisez pour faire des fournée de 50kg de pain, votre pain reviendra moins cher que si vous le faite par 1kg.

Il faut aller dans le réel, mettre la théorie en application. Sinon ça reste un potentiel inexploité. Les conditions parfaites ne seront jamais là pour vous.
Allez on se bouge… :smiley:

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Bonjour
Ou pourra-t-on exprimer nos demandes ? Moi ce serait beaucoup de l’aide rénovation jardinage.

Bravo pour votre investissement magnifique mais a priori emprunt de naïveté. Demander à des producteurs de vendre en junes leurs produits de première nécessité n’est-ce pas mettre la charrue avant les bœufs quand on veut changer de système monétaire ? Je m’explique :

Quand on commence à réfléchir sérieusement aux problèmes de la monnaie, de l’économie etc., on se rend très vite compte que nous vivons dans un monde très, très complexe. Tellement complexe que la quasi totalité des ramifications d’échanges nous sont purement et simplement invisibles.

Le producteur de carottes n’a certes et peut-être pas besoin de grand-chose pour produire ses légumes (quoi que ça reste à discuter), mais en tout cas il a des tas d’autres besoins (se chauffer, s’habiller, se loger, se déplacer, se nourrir d’autre choses que des carottes etc.) qui sont eux couverts par des €.

Ces besoins-là sont complexes et aujourd’hui peu accessibles localement. Cette complexité est totalement inaccessible à des communautés locales de 50 ou 100 personnes comme l’a dit @chrisaiki .

Aussi est-il judicieux à cet instant de « draguer » du producteur local outre celui qui est très militant et qui a une foi absolue dans le projet ? Ne serait-ce pas plus judicieux de lui faire appréhender la june par le côté personnel et non pas professionnel afin d’éviter ce rejet dont tu parles ?

N’est-il pas nécessaire que nous attendions d’atteindre une masse critique (localisée du moins) de junistes avant de tenter de séduire du « pro » ? Ou au moins attendre un effondrement économique…

Avant de passer par du « pro », pourquoi ne pas s’intéresser au monde associatif qui lui est bien plus adapté à cet instant à ce genre de monnaie ? Pourquoi n’ai-je encore jamais entendu parler d’une association qui aurait au moins en partie expérimenté la june ?

Moi-même qui milite pour la monnaie libre, j’évoque le sujet avec des pincettes quand j’en parle à des producteurs en leur disant bien dans quoi ils s’engageraient s’il venaient à adopter la monnaie libre, même en partie.

Je lance une expérience de pensée dont j’aimerais moi-même connaître le résultat. A votre avis à tous, combien faut-il de personnes pour produire un livre à grande échelle ? Entre :

  • Les « producteurs » d’arbres
  • Les bûcherons et leurs outils complexes eux-mêmes fabriqués à grande échelle
  • Les transporteurs avec leurs engins eux-mêmes fabriqués à grande échelle
  • Les imprimeurs avec leurs machines fabriquées à grande échelle
  • Les ingénieurs qui produisent toutes ces machines, ainsi que les machines qui fabriquent ces mêmes machines
  • Les techniciens qui produisent et réparent ces mêmes machines
  • Les écrivains dont c’est le métier et qui sont par définition supportés par le reste de la société qui produit, sinon ils ne pourraient pas écrire

Je n’ai aucune idée de la réponse mais je tente quelque-chose : à mon sens il faut au moins 15 000 personnes pour produire un livre à grande échelle, ce petit objet assez archaïque alors pour le reste…

C’est pour ça qu’avant de parler d’économie circulaire on peut encore attendre un peu…

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@Amaury :

Un Gmarché est comme son nom l’indique un marché en monnaie libre G1. Laisser d’autres monnaies telles que le point JEU ou pire L’EURO y circuler n’est vraiment pas une bonne chose.

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bonjour à toutes et à tous
une piste non négligeable pour ceux et celles qui se dise que la june n’est pas fait pour vivre de façon frugale:

bon visionnage à toutes et à tous a+

Bonjour,

Totalement d’accord pour ce qui est d’aborder des pros, l’offre de produits et services en junes étant trop léger.

Pour ce qui est d’associations expérimentant la ML, il y en a. En tout cas, la nôtre (créée cette année) et hébergée sur une ferme de 14 hectares, 2 500 m² de bâtiments ce qui permet d’expérimenter, produire, réparer, apprendre…
Nous avons déjà un atelier bois avec charpentier menuisier, un atelier boulange (four à pain), viennoiserie, chocolats, glaces en bio, levain avec un artisan pro, un atelier mécanique auto/moto avec un pont, atelier informatique, 3 hectares de fruitiers, labo de transformation, petit potager, volailles et oeufs. Et projets de fablab, répare-cassé, maraîchage, conserverie, achats groupés, boutique dépôt-vente, évènements réguliers culturels, festifs, Gmarchés…
Le propriétaire est membre depuis plusieurs années, moi idem et nous sommes une quinzaine de junistes et membres, la plupart depuis cette année.

Objectif de produire, réparer, échanger en ML tout en utilisant les € pour les frais incompressibles (en attendant de s’autonomiser : eau, électricité…) et surtout assurer le budget d’équipements (machines, outils nécessaires au développement des activités…) que nous ne trouvons pas en ML. Sans compter la remise en état des locaux, via la récup dans la mesure du possible.

L’idée d’annuaire d’offres et demandes (exemples des SEL) est aussi prévue : services, produits, matériels, matériaux, apprentissages… L’annuaire permet de clarifier toutes les possibilités de chacun, parfois « on » oublie même ce que nous savons et pouvons proposer et en voyant une liste fournie, ça peut aussi réveiller nos possibles !

Expérience en cours, à ses tous débuts. A suivre (47300 Villeneuve/lot).

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@DidierS47 :

Il manque une chose: la personne morale qui représente le lieu doit avoir son compte portefeuille, dissocié des comptes créateurs monétaires individuels.

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Absolument génial, bravo à vous ! Pourvu que ça dure, tout ça a l’air très bien pensé !

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Comment faites-vous pour organiser le collectif sur place ?
Utilisez-vous le DU ou la G1 entre vous ?

En 2022, nous avons réalisé l’expérience « Terraformation Forêt Jardin » réunissant les participants dans un contexte Libre (techniques DIY « réplicable »). Nous avions effectivement créé un compte pour le lieu. Et organisé « le jeu 321_DU » pour gérer le quotidien et les évolutions du projet.

Il ressort de cette expérience que le DU (une fois généralisé) nous projette dans une société du « Bien Commun », où chacun verse 3, 2 ou 1 DU par jour au lieu selon qu’on soit visiteur ou que l’on participe à son entretient ou améliorons ce Commun.

Pour mieux définir la frontière entre « Libre » et Non Libre" nous avons découvert que nous aurions du créer un « pacte d’actionnaire »… Dans notre cas, le frère de la Juniste qui avait prêté cette forêt à l’usage de cette expérience (un actionnaire en €) a répudié le « prêt à l’usage ».

Afin de dépasser ce problème, nous avons eu l’idée de créer des parts de capital.
Avec le pacte d’actionnaire « 1/3 cash, 1/3 maintenance, 1/3 progrès ».
Ainsi le « Lieu » devient émetteur de jetons (Ẑen), il en distribue à tous les participants selon « la valeur € » qu’il mettent au Commun.

Ce logiciel « Made In Zen » de « gestion de portefeuilles » sert actuellement à mettre en commun « Sagittarius » une machine de l’essaim d’auto-hébergeurs, pour lequel nous émettons 32 obligations de 436 Ẑen à ceux qui financent un « appartement pour smartphone de 128Go »… Ce logiciel tourne au G1FabLab, il est prévu pour être utilisé pour d’autres projets d’entreprise Libre propriétaire de son Immobilier…

@DidierS47, ou d’autres… Voudriez-vous tester la « tokenisation » ?

Idées :

  1. Il semble y avoir un intérêt important pour une Epicerie Libre de la part des agriculteurs que j’ai pu rencontrer

Un exemple ici : Les Épiciers Libres
Le fait de se faire livrer change tout car cela concentre les flux malgré que nous soyons très dispersés en France

  1. A court et moyen terme, la solution serait peut-être de focaliser davantage sur la June comme la seule capable de garantir une unicité de l’identité, de manière décentralisée, sans biométrie et au code libre

Sa combinaison avec Monero (comme moyen de paiement libre intraçable par défaut, comme les espèces) dans un bi-portefeuille serait une sacré révolution citoyenne