𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗠𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶𝗲 𝗟𝗶𝗯𝗿𝗲 𝗚̆𝟭 𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻 𝘁𝗲𝗹 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗮𝗶𝗻 𝗳𝗲𝗿𝘁𝗶𝗹𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘁𝗼𝘂𝘁𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗿𝘁𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗿𝗼𝘆𝗮𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗲́𝘀𝗼𝘁𝗲́𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗽𝘀𝗲𝘂𝗱𝗼-𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝘁𝗶𝗳𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 ?
𝟭. 𝗨𝗻 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗲𝗮𝘂 𝗳𝗲𝗿𝘁𝗶𝗹𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹’𝗶𝗿𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹
La Ğ1 attire une communauté alternative, avec une forte proportion de personnes critiques vis-à-vis du système financier classique, ce qui est plutôt sain… Mais qui dit rejet du système en place dit aussi porte ouverte aux théories les plus farfelues. Dans ce genre de milieux, les frontières entre réflexion critique et crédulité totale peuvent s’effacer dangereusement.
Rejet des institutions = attirance pour des ‘vérités alternatives’.
Autonomie et spiritualité = mélange de critiques légitimes du système et plongée dans l’ésotérisme.
Auto-légitimation = absence de filtres rationnels, puisque tout le monde peut prétendre être thérapeute, guide spirituel ou inventeur génial.
En clair, le marché Gchange n’est pas qu’un espace d’échange monétaire, c’est aussi une foire aux miracles où des praticiens de l’invisible viennent monnayer du vent.
𝟮. 𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗹𝗮 𝗾𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 ‘𝗰𝗿𝗼𝘆𝗮𝗻𝘁𝘀’ 𝗱𝗼𝗶𝘁-𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗱𝗲́𝗯𝗮𝘁𝘁𝘂𝗲 ?
Pourquoi pas les croyants religieux ou ceux qui ont une spiritualité personnelle… Mais une catégorie bien spécifique de ‹ croyants › :
Ceux qui transforment leur croyance en commerce : vendre du ‘soin quantique’, de la ‘médecine vibratoire’ ou de la ‘guérison énergétique’ avec une tartine de jargon pseudo-scientifique, c’est tromper des gens souvent vulnérables.
Ceux qui profitent de l’absence de régulation : dans la Ğ1, pas de lois ni d’ordres professionnels pour encadrer les pratiques de soin ou les formations proposées. Résultat : n’importe qui peut vendre n’importe quoi, sans le moindre contrôle.
Ceux qui propagent l’obscurantisme : le rejet du ‘système’ devient vite un rejet de la science, des faits établis et de toute pensée critique. Et là, on tombe dans un marécage où tout et son contraire peuvent être affirmés sans preuve, simplement au nom de ‘l’intuition’ et du ‘ressenti’.
En résumé, ce n’est pas un combat contre la foi ou la spiritualité qu’il nous faut mener, mais contre la manipulation mentale et commerciale qui prospère dans la Ğ1 sur la crédulité des autres.
𝟯. 𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗽𝗼𝘀𝗲𝗿 𝗰𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗾𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗚̆𝟭 𝗲𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 ?
Parce que dans la Ğ1, ces vendeurs de rêve se sentent intouchables. Ils peuvent profiter du côté ‘communauté alternative’ pour imposer leurs dogmes sans la moindre résistance. C’est pourquoi nous devons faire ce qu’aucune institution ne fait ici : du fact-checking, du démystifiage, avec une bonne dose de moquerie bien acide.
Les croyants ésotériques pullulent dans la Ğ1 parce qu’ils pensent être en terrain conquis. Nous devons leur rappeller brutalement qu’il reste des esprits critiques… et qu’ils ne pourront pas tranquillou vendre leurs élixirs quantiques sans se faire démonter en public.
𝟰. 𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗽𝗼𝘂𝗿𝗰𝗵𝗮𝘀𝘀𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 « 𝗰𝗿𝗼𝘆𝗮𝗻𝘁𝘀 » 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗚̆𝟭 ?
𝗣𝗮𝗿𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗹’𝗼𝗯𝘀𝗰𝘂𝗿𝗮𝗻𝘁𝗶𝘀𝗺𝗲 𝗴𝗮𝗻𝗴𝗿𝗲̀𝗻𝗲 𝗹𝗮 𝗺𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶𝗲 𝗹𝗶𝗯𝗿𝗲 !
Il ne s’agit pas d’une simple chasse aux illuminés en mal de spiritualité. Non, le problème est bien plus profond et toxique.
Les annonces d’escrocs ésotériques sur Gchange et l’envahissement de la monnaie libre par des zinzins ne sont que les symptômes d’un mal plus grand : 𝘂𝗻𝗲 𝗱𝗲́𝗿𝗶𝘃𝗲 𝘀𝗲𝗰𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗿𝗮𝗺𝗽𝗮𝗻𝘁𝗲, qui nuit autant à l’image qu’au fonctionnement même de la Ğ1.
𝟱. 𝗨𝗻𝗲 𝗺𝗲́𝘁𝗮𝘀𝘁𝗮𝘀𝗲 𝘀𝗲𝗰𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗺𝗼𝗻𝗻𝗮𝗶𝗲 𝗹𝗶𝗯𝗿𝗲
Les pseudo-thérapeutes, gourous vibratoires et autres prophètes de pacotille ne se contentent pas de polluer le marché de la June avec leurs élixirs lunaires et soins quantiques.
Ils colonisent l’écosystème entier. On n’est plus seulement face à des hurluberlus inoffensifs qui font des câlins aux arbres. Non, on a affaire à un cercle auto-alimenté d’illuminés qui certifient d’autres illuminés, excluant ainsi de facto toute personne sensée.
La conséquence ? Dans certaines régions comme le Vaucluse (84), les Bouches-du-Rhône (13), le Gard (30) et l’Hérault (34), plus de 80 % des membres sont des illuminés complets.
Du simple New-Age vegan connecté aux esprits de la forêt,
Au timbré absolu qui est convaincu que des reptiliens sous-terrains dirigent la Terre creuse (sauf quand elle est plate).
Sans oublier les plus dangereux : ceux qui frisent le délire paranoïaque violent et voient dans la monnaie libre un outil de libération contre un complot intergalactique.
𝙊𝙣 𝙚𝙣 𝙖𝙧𝙧𝙞𝙫𝙚 𝙖̀ 𝙪𝙣𝙚 𝙨𝙞𝙩𝙪𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣 𝙤𝙪̀ 𝙡𝙖 𝙂̆1 𝙚𝙨𝙩 𝙥𝙚𝙧𝙘̧𝙪𝙚 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙚 𝙪𝙣𝙚 𝙨𝙚𝙘𝙩𝙚 𝙙𝙚 𝙙𝙚́𝙨𝙚́𝙦𝙪𝙞𝙡𝙞𝙗𝙧𝙚́𝙨, 𝙘𝙚 𝙦𝙪𝙞 𝙛𝙖𝙞𝙩 𝙛𝙪𝙞𝙧 𝙩𝙤𝙪𝙩𝙚𝙨 𝙡𝙚𝙨 𝙥𝙚𝙧𝙨𝙤𝙣𝙣𝙚𝙨 𝙧𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣𝙣𝙚𝙡𝙡𝙚𝙨 𝙦𝙪𝙞 𝙖𝙪𝙧𝙖𝙞𝙚𝙣𝙩 𝙥𝙪 𝙮 𝙫𝙤𝙞𝙧 𝙪𝙣𝙚 𝙖𝙡𝙩𝙚𝙧𝙣𝙖𝙩𝙞𝙫𝙚 𝙚́𝙘𝙤𝙣𝙤𝙢𝙞𝙦𝙪𝙚 𝙞𝙣𝙩𝙚́𝙧𝙚𝙨𝙨𝙖𝙣𝙩𝙚.
𝟲. 𝗟𝗲 𝘃𝗲𝗿𝗿𝗼𝘂 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗲𝗿𝘁𝗶𝗳𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 : 𝘂𝗻𝗲 𝗺𝗮𝗰𝗵𝗶𝗻𝗲 𝗮̀ 𝗿𝗲𝗽𝗿𝗼𝗱𝘂𝗶𝗿𝗲 𝗹’𝗶𝗿𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗹
La structure même de la monnaie libre, basée sur un système de cooptation via 5 certifications, encourage le phénomène. En théorie, cela garantit que seuls des membres de confiance entrent dans le réseau. En pratique, c’est un cauchemar tribal où seuls les « initiés » se certifient entre eux.
Résultat : les cinglés ne certifient que d’autres cinglés. Les bulles régionales se forment et se ferment, créant des enclaves de pensée où aucune remise en question n’est possible.
Un rationaliste qui tente d’entrer dans la Ğ1 dans ces régions a très peu de chances d’être certifié, s’il n’adhère pas aux délires ambiants.
En revanche, le premier « praticien en rééquilibrage ADN quantique par hypnose chamanique transdimensionnelle » trouvera immédiatement cinq autres crédules pour lui ouvrir les portes du club.
C’est une reproduction sectaire systémique, renforcée par la structure même du réseau.
𝙀𝙩 𝙘𝙚 𝙣’𝙚𝙨𝙩 𝙥𝙖𝙨 𝙪𝙣 𝙝𝙖𝙨𝙖𝙧𝙙 𝙨𝙞 𝙡𝙚𝙨 𝙧𝙖𝙧𝙚𝙨 𝙨𝙘𝙚𝙥𝙩𝙞𝙦𝙪𝙚𝙨 𝙚𝙩 𝙚𝙨𝙥𝙧𝙞𝙩𝙨 𝙘𝙧𝙞𝙩𝙞𝙦𝙪𝙚𝙨 𝙨𝙤𝙣𝙩 𝙫𝙞𝙤𝙡𝙚𝙢𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙖𝙩𝙩𝙖𝙦𝙪𝙚́𝙨 𝙥𝙖𝙧 𝙘𝙚𝙨 𝙜𝙧𝙤𝙪𝙥𝙚𝙨 𝙙𝙚̀𝙨 𝙦𝙪’𝙞𝙡𝙨 𝙚𝙨𝙨𝙖𝙞𝙚𝙣𝙩 𝙙𝙚 𝙧𝙚́𝙩𝙖𝙗𝙡𝙞𝙧 𝙪𝙣 𝙨𝙚𝙢𝙗𝙡𝙖𝙣𝙩 𝙙𝙚 𝙧𝙖𝙩𝙞𝙤𝙣𝙖𝙡𝙞𝙩𝙚́.
𝙊𝙣 𝙖 𝙩𝙤𝙪𝙨 𝙖̀ 𝙡’𝙚𝙨𝙥𝙧𝙞𝙩 𝙪𝙣 𝙚𝙭𝙚𝙢𝙥𝙡𝙚 𝙗𝙞𝙚𝙣 𝙥𝙧𝙚́𝙘𝙞𝙨, 𝙟’𝙞𝙢𝙖𝙜𝙞𝙣𝙚.
𝟳. 𝗨𝗻𝗲 𝗶𝗺𝗮𝗴𝗲 𝗱𝗲́𝘀𝗮𝘀𝘁𝗿𝗲𝘂𝘀𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝘁𝘂𝗲 𝗹𝗮 𝗚̆𝟭 𝗱𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘂𝗿
Le plus gros problème, au final, ce n’est même pas leur délire. Après tout, si certains veulent croire qu’ils peuvent guérir le cancer en activant leurs ‘codes galactiques’, grand bien leur fasse (jusqu’au jour où ça tue quelqu’un, évidemment).
Non, le VRAI problème, c’est l’image désastreuse qu’ils renvoient de la monnaie libre.
La Ğ1 aurait pu être une expérimentation économique intéressante.
Mais elle est aujourd’hui vue comme un terrain de jeu pour fous furieux.
Impossible d’attirer des économistes sérieux, des entrepreneurs, des gens structurés… Ils fuient en voyant le cirque.
Et on peut les comprendre ! Qui voudrait associer son nom à un projet où 80 % des membres sont en roue libre mentale et où le principal usage du réseau est d’échanger des formations en hypnose régressive pour contacter ses vies antérieures ?
𝗖𝗢𝗡𝗖𝗟𝗨𝗦𝗜𝗢𝗡 :
𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗹𝗲𝘀 « 𝗮𝗿𝗰𝗵𝗶𝘁𝗲𝗰𝘁𝗲𝘀 » 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗚̆𝟭 𝗹𝗮𝗶𝘀𝘀𝗲𝗻𝘁-𝗶𝗹𝘀 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 ? 𝗖𝗼𝗺𝗽𝗹𝗶𝗰𝗶𝘁𝗲́ 𝗼𝘂 𝘀𝗶𝗺𝗽𝗹𝗲 𝗶𝗺𝗽𝘂𝗶𝘀𝘀𝗮𝗻𝗰𝗲 ?
On pourrait se dire que les créateurs et développeurs de la monnaie libre ne sont pas conscients du problème.
En réalité, ils le sont. Ils voient très bien que la Ğ1 est gangrenée par les allumés de l’ésotérisme et qu’elle donne une image désastreuse. Ils savent aussi que la courbe de développement est désespérément plate, voire en régression depuis un an.
𝟴𝟬𝟬𝟬 𝗺𝗲𝗺𝗯𝗿𝗲𝘀 𝗲𝗻 𝟴 𝗮𝗻𝘀 !
Et encore, ce chiffre est en chute libre : on repassera bientôt sous la barre des 8000 membres, alors qu’on devrait en avoir 100 fois plus si le concept avait pris.
𝗔𝗹𝗼𝗿𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗻𝗲 𝗳𝗼𝗻𝘁-𝗶𝗹𝘀 𝗿𝗶𝗲𝗻 ?
𝟴. 𝗠𝗶𝗲𝘂𝘅 𝘃𝗮𝘂𝘁 𝟴𝟬𝟬𝟬 𝗰𝗿𝗲́𝗱𝘂𝗹𝗲𝘀 𝗾𝘂𝗲 𝘇𝗲́𝗿𝗼 𝘂𝘁𝗶𝗹𝗶𝘀𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿 ?
La vérité, c’est que les « architectes » de la Ğ1 sont face à un dilemme :
Soit ils assainissent l’écosystème en filtrant les zinzins, quitte à perdre une grande partie de leur communauté actuelle.
Soit ils ferment les yeux et acceptent que la monnaie libre soit un repaire d’illuminés.
Et visiblement, ils ont choisi la seconde option. Pourquoi ? Parce que sans ces 8000 utilisateurs (même si seulement 5000 d’entre eux vendent des soins énergétiques et des baguettes magiques), il ne reste rien.
8000 illuminés, c’est toujours mieux que 500 sceptiques et rationnels qui croient et participent activement au projet, en générant de la richesse. On sait qui sont les plus « riche » de la Ğ1, et ce ne sont pas des gourous zinzins
La Ğ1 est un projet qui n’attire plus les pragmatiques, les économistes, les entrepreneurs, ni même les libristes curieux. Il n’y a donc plus que les allumés pour y voir un « outil de libération » aligné avec leurs croyances mystico-complotistes.
𝟵. 𝗨𝗻 𝘀𝘆𝘀𝘁𝗲̀𝗺𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗰𝘆𝗰𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗾𝘂𝗶 𝗿𝗲𝗻𝗳𝗼𝗿𝗰𝗲 𝗹𝗮 𝗱𝗲́𝗿𝗶𝘃𝗲
Le problème, c’est qu’en laissant faire, le phénomène ne fait que s’auto-renforcer.
Plus la monnaie libre est peuplée d’illuminés → plus elle devient un marché pour des offres ésotériques.
Plus il y a d’annonces ésotériques → plus les rationnels fuient.
Moins il y a de personnes rationnelles → moins il y a d’offres sérieuses.
Moins il y a d’offres sérieuses → plus la monnaie devient un repaire d’illuminés.
C’est un cercle vicieux, un phénomène procyclique qui condamne la monnaie libre à rester un ghetto pour marchands de spiritualité bidon.
𝟭𝟬. 𝗨𝗻𝗲 𝗺𝗼𝗿𝘁 𝗹𝗲𝗻𝘁𝗲 𝗲𝘁 𝗽𝗿𝗼𝗴𝗿𝗮𝗺𝗺𝗲́𝗲
Les chiffres parlent d’eux-mêmes :
La Ğ1 n’a jamais décollé, et aujourd’hui, elle régresse.
En 8 ans, à peine 8000 membres, et encore, en comptant les comptes fantômes et inactifs.
Une offre commerciale dominée par des trucs qui n’ont aucune valeur économique réelle.
Tant que les « architectes » n’auront pas le courage de faire un ménage profond, la Ğ1 restera une monnaie morte-née, un terrain vague où les seuls échanges encore actifs seront des soins quantiques pour « réaligner l’ADN cosmique » et des stages de chamanisme intergalactique.
Et ceux qui voudraient voir la monnaie libre comme un outil économique sérieux devront continuer de regarder ailleurs.
Amusez-vous bien dans les commentaires, ou juste censurez-moi, vous avez l’habitude n’est-ce pas ?