Réponses :
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Le poulailler pour éventuellement assurer la sécurité des poules et des œufs
( cf. la Fable de J. de La Fontaine « La poule et le renard » ) ;
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Élever des chapons pour des dialogues avec les poulardes
( cf. le texte de Voltaire : « Dialogue du chapon et de la poularde » )
Pour te rassurer dis-toi que le chemin est difficile, car tu fais partie de la première génération de précurseurs : Ce sera sans doute plus facile pour les générations suivantes lorsque ton réseau sera un peu mieux développé localement.
Oui c’est effectivement un super résumé de synthèse
Disons que j’ai poussé plus loin en abordant aussi la monétisation des certifications dans la toile de confiance lors de mon argumentaire démonstratif. Non sans compter les autres sujets que j’ai pu lire entre temps et qui m’ont aussi interpellé sur certaines problématiques.
En outre, il y a vraiment une charge de responsabilités qui pèse « sur les épaules » de celui qui donne la certification à autrui.
Au moins on ne pourra pas me reprocher de ne pas étudier ni de ne pas comprendre la licence avant de l’accepter ( ) :
C’est vraiment un détail, mais quelle différence faites vous entre étudier et comprendre? Pour ma part étudier c’est en connaitre de mémoire l’essentiel. Mais j’avoue avoir certifié des personne qui l’on accepté, lue et comprise dans les grandes lignes. Et j’imagine que je ne suis pas le seul… Avons nous déjà observé la nécessité de ne certifier que des personnes qui l’on vraiment étudiée et en ont parfaitement compris la teneur? J’ai vraiment envie l’avis des gens qui liront ce post.

C’est d’autant plus vrai que de manière récurente les gens témoignent un enthousiasme incroyable qui s’estompe rapidement. …/… Tout ça pour dire que c’est assez récurent même chez les gens qui ont passé le cap des certifications.
Et de fait, c’est aussi l’exemple que « la ğratuité » ne résoudra possiblement pas le problème.
Bref : Gardons le moral ¯\ _ (ツ)_/¯
@+