Ğ1 et plateformes de change?

OK…

A mon avis, la complexification des procédés et processus de création sont inhérents à l’usage de monnaie dette. En effet, la compétition en œuvre et la sélection des solutions et méthodes par le créateur monétaire impose de façon certaine un filtrage à l’innovation.

Nous sommes dans le monde du banquier, de l’assureur et du marchand.
Chacun incapable de créer le monde ne font que l’arranger et l’organiser pour conserver leur existence. Combien de brevets ont été passés sous silence ?! Combien de méthodes complexes ont été misent en œuvre pour conserver l’avantage dans ce système compétitif? Combien de subterfuges et de malversations ont été déployées pour que nous n’arrivions pas à comprendre l’arnaque imposée.

Nous sommes dans l’estomac de cette machine !


La Ğ1, et plus généralement les logiciels libres et les connaissances libres forment le socle d’un système qui constitue un « Bien Commun ».

Quand on parle de « plateformes de change », on se retrouve rapidement à penser à celle du « broker monétaire », mais le change est partout, il dépend de la quantité de « valeur relative » à l’échange et des « prix » pratiqués. C’est un réflexe acquis dans le « monde estomac ».

Pour nous en extraire, nous devons arriver à constituer un « corps social » qui arrive à assurer notre propre existence. Alors plutôt que d’entrer par le « marché d’empoigne » des brokers.

Pour mesurer il faut disposer d’une échelle.

On peut se servir de la G1 pour capturer de l’€ et le mettre en « cage » :wink:
Si on découpe en morceaux de 10cts, cela revient à valoriser 1€ le Ẑen mais pas la Ğ1 !!
En tout cas, pas tant que l’émetteur du « stable coin » en dispose… C’est au moment où il en manque qui en cherchera sur le marché en € cette fois… Et son prix de réserve sera de 10€.

Si nous étendons l’usage de notre « blockchain » et dévoilons sa capacité à porter des contrats (ce que permet UPlanet).

Si nous nous dotons d’un moyen d’effectuer de transactions aussi simple que notre concurrent monétaire, nous passons dans le « bien commun » cette activité. Celle de bouger, à notre place, un chiffre sur un compte.

Mais nous avons aussi l’opportunité d’aller plus loin… En étendant l’usage de notre blockchain et en facilitant les transactions, nous pouvons transformer notre groupe en une SCI (Société Collective Immobilière) pour mettre en commun nos valeurs en euros (qui se transmute en Ẑen que nous utilisons à la place). Je ne connais pas les contraintes légales de ce modèle, mais la blockchain ouvre des perspectives nouvelles pour mutualiser nos ressources et construire un « Bien Commun ».