Les gilets jaunes parlent de la monnaie dette.
Un système pour faire un pas de côté avec la monnaie libre est disponible avec la Gune.
Ce qu’il se passe actuellement est une opportunité formidable pour le déploiement façon exponentiel de la monnaie libre, et participer à l’éducation populaire sur le côté asymétrique de la monnaie dette.
J’ai eu l’occasion sur un rond point de présenter la Gune et des personnes étaient intéressées.
Je ne suis pas encore certifié mais ça viendra en son temps. Mais cela ne doit pas être un frein pour autant.
Etant dans les Alpes Maritimes il n’y a pas beaucoup de membres certifiés pour l’instant.
D’où ma proposition de voir avec des groupes déjà formés dans d’autres régions.
Dans un premier temps présenter plus en détail la monnaie libre, son principe, la toile de confiance, les groupes d’échanges existants actuellement type le bon coin Gune. Dans un second que des gilets jaunes sur place s’inscrivent sur Cesium. puis via une visio à faire sur un rond point par exemple avec un ordi portable et clé 4G, commencer à certifier les nouveaux membres.
Se balader ensuite d’un rond point à un autre pour déployer la monnaie.
Yes, j’en parle aussi sur les ronds points et autre RDV des GJ
Bonjour Greg,
Vous êtes membre certifié ? Avec quelques autres membres aussi certifiés ?
L’enjeux est de se mettre en relation avec un groupe local certifié qui voudrait œuvrer pour le déploiement de la monnaie G1 auprès des gilets jaunes.
Pour ce qui me concerne, je suis sur les Alpes Maritimes
Et si parmi les « gilets jaunes » il y en a 5 malhonnêtes, qui une fois certifiés vont certifier des centaines de robots qui vont créer ainsi de la fausse monnaie, tu fais quoi ?
Salut Guillaume
Oui
Pas rencontré sur les ronds points ici non, on n’est pas encore beaucoup, bien que cela avance tranquillement.
Je me dit pour le moment que cela sème des petites graines et que quand des gens aurons entendu parler de la monnaie libre par différentes personnes ou contextes, elle pourrons faire d’avantage de recherches pour s’y intéresser. Mais je ne me vois pas non plus organiser des inscriptions en masse.
Je pense que l’organisation de rencontre locales, au moins mensuelles, sont un bon moyen de développer le réseau tranquillement.
Stéphane, pourquoi les « gilets jaunes » comme tu dis, seraient plus malhonnêtes que les autres… Au lieu de critiquer sans savoir, va leur parler et explique leur. Peut être que tu te feras même des potes.
C’est une excellente opportunité de tester la monnaie libre à grande échelle, savoir si c’est viable ou pas, et modifier les aspects humains (certification, license etc) si besoin.
Il ne dit pas que des « gilets jaunes » seraient plus malhonnêtes que d’autres.
il souligne seulement, à raison, qu’une dynamique de certifications rapides (en se baladant d’un rond-point à l’autre) va contre le principe de vigilance de la toile de confiance. En tout cas c’est ce que je comprends.
Modifier les aspects humains ( certification, licence etc) n’amènera pas à savoir si la monnaie libre sera viable ou pas, mais à coup sur à ne jamais pouvoir la tester à grande échelle au vu de la perte de confiance engendrée.
En tout cas nous n’avons pour l’instant pas de solution pour conserver la confiance dans la monnaie libre en se passant d’une toile de confiance.
Quand cela sera possible, nul doute que nous aurons grand plaisir à nous en passer.
Ce qui serait contraire à la licence Ğ1 qui inclut la bonne connaissance et la compréhension de la Toile de Confiance.
Ce qui est sûr c’est qu’avec la Toile de Confiance on sait qui a certifié qui. On peut facilement imaginer des scénarios où la communauté qui produit Ğ1 se rend compte qu’un certifieur a certifié des personnes qu’il ne connaît pas, et qui font des opérations de création de faux comptes.
Il est en en effet très facile de couper une branche et de ne pas la laisser repousser pendant 10, 20, 30 ans ou plus.
Salut
À Toulouse, je parle régulièrement de la monnaie libre dans les lives sur Facebooknet sur le terrain.
Et pas mal de monnaie libristes sont dans les manifs.
Mais le collectif MLO en lui même n’est pas vraiment actif sur le terrain avec les gilets jaunes.
Le mouvement des gilets jaunes est un mouvement de grande ampleur à l’échelle de la Nation Française, je ne voit pas de différenciation notable si n’est que les gilets jaunes sont dans l’action… Enfin… En théorie…
En conséquence, je ne pense pas qu’il s’agisse d’une population plus encline que le reste de la Nation Française à utiliser la G1, j’aurais tendance à dire qu’il y as même plus chance de faire mouche en ciblant la France Insoumise que les gilets jaunes tant qu’à faire du clientélisme à grande échelle…
Matograine, tout à fait exact le déploiement se ferait tranquillement, avec une éducation populaire de ce qu’est la monnaie libre, que nous sommes nos propres banquiers, ce qui nous rend hautement responsable de nos actes notamment au travers de la certification des nouveaux membres.
Et de toute façon les règles de la toile de confiance limitent des inscriptions avec validations en masse (délais de 5 jours notamment entre 2 certifications par un membre).
Je profite juste du mouvement qui se passe sur les ronds points où des personnes sont plus à l’écoute qu’au café du commerce. Dans le 06, nombre de membre très très réduit. Il faut bien commencer là où on trouve un gisement de bonnes âmes prêtes à tenter l’expérience monnaie libre.
Un tract, dispo en version editable odt en changeant pdf par odt à la fin du lien.
Il n’invite pas à la certification aveugle et préjudiciable à la confiance, mais dénonce le caractère systémique de défaut monétaire actuel en proposant une solution tout aussi systémique (la Ǧ1) et invite à se rapprocher des groupe locaux pour approfondir l’aventure.
Beau travail! Propre, concis, et la cible est clairement identifiée
Au top merci,
J’imprime et diffuse quand je passe sur les ronds points du 06
Pitié, arrêtez d’utiliser le nom masculin ou féminin de citoyen en tant qu’adjectif !
Vous faîtes une faute de grammaire, et votre phrase ne veut rien dire si on analyse la signification du mot citoyen dans le dictionnaire. Cela fait juste du « démocratico-washing ». Comme le RIC (faute de grammaire), qui existe déjà dans la loi et se nomme plus correctement RIP (ça sent le sapin en anglais).
Merci de votre compréhension.
Dans un monde idéal, ou démocratie serait utilisé pour désigner les organisations collective qui donnent pouvoir au peuple, ou aux citoyens, oui, je serait d’accord pour laisser les mot à leur place, parce-que leur place est respecté par tous.
Quand les notions sont confisquées en utilisant ce qui permet de les penser pour désigner autre chose, alors il me semble important de s’adapter, avec les moyen du bord, en néologisant quand cela permet de réaffirmer une message qu’il est difficile d’expliciter en restant concis et percutant sans cela.
Si quelque-chose est fait par et pour les citoyens, il me semble efficace de la qualifier de citoyen, au moins tant que l’association n’est pas confisquée elle aussi. Qu’est ce qu’une démocratique populaire dans l’imaginaire collectif aujourd’hui ? Un simulacre relevant plus de la dictature que de la démocratie. Pour l’instant le qualificatif citoyen/citoyenne me semble encore porté une dimention de souveraineté populaire, par les citoyen. Si tu as un autre vocabulaire efficace pour désigner cela, je t’écoute.
De manière générale, la langue est quelque de vivant en perpétuel mouvement, s’attacher au dictionnaire n’est pas bon, cela doit rester utile, mais demander la définition précise des mots employés par un locuteur restera toujours nécessaire.
Par contre la grammaire possède des règles précises, lesquelles sont beaucoup plus stables à très long terme que les changements de définition des mots.
Il en est ainsi des règles qui permettent de transformer un nom en adjectif.
Où l’on s’aperçoit et l’on comprend que si on veut trouver l’adjectif dérivé d’un nom, alors un petit effort reste nécessaire quant au respect des règles de transformation qui permettent la distinction.
Ce n’est pas à celui qui écoute de deviner ce que les autres veulent exprimer par « citoyen », en nom ou en adjectif. Mais je vais proposer un autre mot à la fin de ce commentaire.
Évidemment qu’il ne faut pas rester bloqué au dictionnaire, mais faute de comprendre le sens choisi pour ce nom devenu adjectif sans modification, j’attends des personnes qui innovent avec le langage, de m’expliquer le sens qu’ils donnent à cette innovation linguistique.
Pour revenir au texte du flyer :
- La monnaie libre = monnaie des citoyens
- devenons vrai-monnayeurs citoyens
- Créons une nouvelle monnaie, libre et citoyenne
- en rendant chaque citoyen qui l’adopte
- une source inconditionnelle de pouvoir citoyen.
- citoyen arobase 1000i100.fr
- première monnaie libre et citoyenne
- L’heure des citoyens est venue
- nous réclamons un vrai pouvoir citoyen
- L’heure est à la souveraineté citoyenne
- au référendum d’initiative citoyenne
- [monnaie] citoyenne, égalitaire, redistributive
12 occurrences et pas une seule définition de ce nom/adjectif.
Mais si je comprend bien, c’est un hymne au mot citoyen en tant que personne désirant reprendre le pouvoir, c’est à dire l’état, donc pour imposer ses volontés (le législatif) par la violence (l’exécutif armé). Si la monnaie libre est imposée par un nouveau pouvoir étatique, elle ne sera plus une monnaie libre.
Jusqu’ici, nous parlions d’humain, ce qui n’exclut personne et n’implique pas l’état.
C’est très important et pas anodin comme distinction.
Je sais que le flyer part sur de bonnes intentions, et surtout, est honnête et sincère !
Mais j’aurais préféré qu’il utilise le mot humain.
Un tract n’a pas besoin d’être un dictionnaire avec chaque définition pour diffuser un message…
Son contenu s’adapte à la cible qu’il souhaite toucher, contrairement à une démonstration mathématique !!
citoyen — Wiktionnaire, le dictionnaire libre présentent l’adjectif dérivé de citoyen en bas de page
Citoyen | Académie française l’académie française donne aussi un élément de réponses aux plus conservateurs:
Plus à la mode que l’austère Civique, plus flatteur que le simple Civil, Citoyen est mis à contribution pour donner de l’éclat à des termes jugés fatigués, et bien souvent par effet de surenchère ou d’annonce.