Des africains sur ce forum ?

ce n’est pas pertinent étant donné la licence Duniter Ğ1 et ses paramètres de sécurité de la toile de confiance.

Si c’est faisable dans le respect de la toile de confiance du fait de la position de @Sarauniya-joan qui va se déplacer visiblement sur ce continent, elle-même députée de la Diaspora Africaine.

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La règle de distance minimum vis à vis des membres référents ne le permet pas.
(Avec ou sans députation)

Je ne comprends pas ce qui te permet d’affirmer cela…
Les liens (humains) entre l’Afrique du nord et la France sont multiples, idem pour l’Afrique centrale.
Il suffit que les personnes qui sont sur le sol français se rapproche au maximum du centre de la toile et de multiples liaisons peuvent très bien être établis vers ces régions tout en respectant les règles de la toile de confiance.

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En faisant de simples calculs et constats vis à vis de la réalité, il apparaît logique de realiser que la monnaie libre Duniter ğ1 ne permettra pas son développement durablement dans des communautés nombreuses et éloignées de la métropole.

La Toile Duniter ğ1 peut permettre de visualiser le fonctionnement et d’expérimenter le réseau afin d’aider au développement d’un fork de Duniter .

Ça démarre pourtant très bien dans les îles comme à la réunion ou dans les Caraïbes…

Et bien sa position justement lui permet d’avoir des réseaux de contacts sur place qui sont très certainement largement capables d’apprendre, de s’approprier l’outil et d’en faire la promotion localement.
De plus comme le dit @Tchois :

Les liens (humains) entre l’Afrique du nord et la France sont multiples, idem pour l’Afrique centrale.

Non, très sincèrement je pense que le développement de la Ğ1 en Afrique est tout à fait possible au même titre que ce qui se passe dans les îles, même si en terme de densité de population c’est le grand écart…
Et même plus, je pense que dans certains pays du continent ils sauront peut-être même plus largement apprécier les « valeurs morales » qui se dégagent de la June.

Après tout ça n’est que mon avis personnel, qui n’engage que moi, tu as le droit de ne pas être d’accord et je le droit de penser que tu as également tort… :slight_smile:

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La réunion, la Martinique et la Guadeloupe sont des petites communautés (equivalentes à 3 grandes villes de métropole) qui sont très proches de la métropole socialement.

il ne s’agit pas d’un avis personnel mais d’un constat.
Les pays non limitrophes ne pourront pas utiliser la monnaie libre Duniter Ğ1 durablement.

d’ou l’interet de commencer à proposer de travailler sur un fork de Duniter Ğ1.

J’ai quelques contacts avec l’Afrique, j’ai des amis là-bas notamment. Il y a des valeurs de solidarité et d’échange là-bas que j’apprécie. C’est particulier de revenir après deux ans dans un pays aussi lointain et de se sentir chez soi malgré les barrières linguistiques.

Je ne comprends pas non plus cette affirmation, et pourquoi demander à des gens qui sont motivés de redémarrer tout à zéro, et de faire un travail difficile, alors qu’il y a des possibilités de trouver des développeurs en Algérie, au Maroc, au Rwanda, ou ailleurs en Afrique.

Si le problème est technique il serait chouette qu’il n’y ait pas de confusions et qu’on en parle de manière technique.
Je pense, et c’est mon avis, qu’il serait dommage que des gens motivés pour démarrer la monnaie libre dans leur pays soient découragés.

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Expérimenter le réseau Duniter Ğ1 et travailler sur un fork informatique est tout le contraire de redémarrer tout à zéro.

L’encouragement né de l’expérience partagée et de l’accompagnement technique à l’autonomie afin que le développement soit solide et durable.

nb: les valeurs personnelles de solidarité, d’appréciation de ceci ou de cela sont indépendantes du développement d’une monnaie libre qui est neutre sur les valeurs de chacun.

Ah oui bien sûr. Tout à fait d’accord. Et sI la communication est bien faite là-bas, cela peut aller très très vite d’autant plus qu’il y a beaucoup de développeurs qui n’attendent qu’à travailler. Une fois formés au fonctionnement duniter, ils démarreront au quart de tour. Mdr !

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Bonsoir, je pars au Maroc début février. J’ai un réseau dense de personnes engagées dans l’agroécologie, la permaculture. J’interviens comme consultant en développement organisationnel pour le Riam [http://reseauriam.org/], qui sont des passionnés d’initiatives alternatives (amap, etc…). Je pourrais faire un exposé sur la June et catalyser un premier noyau d’intérêt. Egalement à Rabat j’ai des amis geeks qui gèrent un fablab. Donc on pourra avancer.

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Je peux t’envoyer les contacts que j’ai en Ouganda (permaculture, et autre).

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Je ne connais pas du tout le fonctionnement technique des blockchains et du système duniter. Mais je sais que les jeunes africains sont tout à fait compétents pour faire le nécessaire. Je vois que les avis sont partagés. Alors quand je serai sur place, en liaison avec vous, je verrai comment mettre en place ce qui est le plus judicieux. Pour l’heure, ce qui est important selon moi c’est de présenter la monnaie libre à mes compatriotes.

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Je partage votre avis depuis plus de 20 ans, la n’est pas la question.

Quand est ce que vous commencez à organiser des sessions avec des développeurs et non développeurs?

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Ah, là pour le coup cette fois-ci cette je partage cette remarque intéressante…
Effectivement, même en métropole par ailleurs, un rapprochement entre les développeurs et les utilisateurs, les communicants, etc serait très intéressant. :+1:
Ne pas resté chacun sur ses compétences et compréhensions (ou pas) de la June, de la blockchain et de tout l’écosystème que comporte ce formidable outil !

Il n’y a plus qu’à ?

Bonne journée à toutes et à tous, amicalement. :slight_smile:

Les compétences informatiques concernant le maintient de blockchain semblent se trouver sur le continent africains surtout en Tunisie et au Maroc , constitués de personnes en grande partie franco-phones.

ah oui je veux bien. Merci

Vous connaissez quelqu’un au Maroc ou en Tunisie qui peut nous aider dans ce domaine, parceque nous voulons vraiment avoir une monnaie libre en DRC d’abord nous pouvons avancer petit A petit dans d’autres pays africains et mon équipe et moi sommes prêt pour l’auto-financement.

Bjr Josue,
Le terme de «nous » voulons n’est pas la bonne porte d’entrée dans la monnaie libre puisqu’elle est en premier lieu un développement individuel personnel.

Les étapes selon moi sont clairement :

  1. Rencontrer soi même les membres et techniciens de la ğ1 notamment aux RML , à l’universite d’été et hackaton.

  2. Conferencer dans votre localité afin d’éveiller d’autres.

3.aider techniquement au déploiement avec l’existant : réseau sms et tontines etc.

Je ne connais pas super bien l’Ouganda, ce n’est pas mon pays et je n’y étais que deux mois et demie.

J’y ai vu des gens hyper compétents, à Kampala où je logeais chez mes amis, et ailleurs. Mais je n’ai pas pu beaucoup discuter d’informatique à l’époque quand j’y étais, et je ne connaissais pas la June à l’époque et pour cause c’était en 2016!

Ce que j’ai observé, c’est un système de paiement en passant par les petits commercants, beaucoup de commerce dans les rues (et j’espère que ça va, qu’il n’y a pas eu trop de restrictions de ce côté!), et des personnes qui auraient besoin d’un paiement par sms et de bornes comme dit plus haut.

Des paysans qui ne sont pas dans une situation facile, en particulier ceux avec qui on a discuté dans les zones reculées (on était au bord du lac Victoria près de Nkokonjeru). Là-bas les gens des villages mutualisent les panneaux solaires de certains.

Est-ce qu’il y a dans vos contacts des informaticiens? Est-ce que vous avez expliqué le concept de dividende universel et de retour à la moyenne?
Comment cela est perçu?

Désolé pour toutes ces questions, c’est pour comprendre le comment.