T’es marrant @elois mais J’ai déjà fais le module Galilée quasi en totalité aux rml 6 (pas publié), je l’ai refait en parti aux rml 7 et rml 10 en abandonnant à chaque fois à cause du maniement des tableurs
qui m’oripille.
De toute façon ce n’est pas le module Galilée qui aiderait ceux qui refusent de faire le petit effort intellectuel de passage du quantitatif au relatif.
L’experience montre au contraire que faire le module n’aide pas forcément à la compréhension.
Je connais une prof d’universite d’économie qui a fait le module Galilée (parce qu’elle maîtrise le maniement des tableurs ) , qui a été certifié comme membre et qui n’a absolument pas compris la monnaie libre puisque ni elle n’en parle, ni elle l’utilise ni elle ne certifi avec (ou presque ) .
Il faudrait lui demander pourquoi cette personne ignore la ğ1 de ses délibérations pourtant permises sur le piédestal universitaire et médiatique.
En tout cas elle ne fait pas partie des galiléens (ceux qui l’ont fini), et puis l’a t’elle fait chez elle ou lors de RML ? (c’est très différent).
Une personne qui maîtrise bien les tableurs peut effectivement s’amusée a appliquer bêtement les consignes du module sans comprendre ce qu’elle fait, tout comme un mathématicien peut refaire les calculs de la TRM sans comprendre le sens de ces calculs, mais ça n’a aucun intérêt…
Le module est un outils, mais celui qui ne veut pas voir, ne verra pas quelque soit l’outils…
Lors des rml , mais je n’ai pas dit bêtement. 
Il faut aussi accepter que des gens comprennent bien la TRM mais n’en partage pas les convictions.
Chacun à le droit d’adhérer ou non à un concept, même si il l’a très bien compris.
C’est sur que concrétiser l’egalite est une conviction difficile à partager pour ceux qui sont conditionnés à développer impostures intellectuelles .
(Chacun a le droit de raconter ce qui arrange ses affaires )
Sympa la vidéo, elle met en avant deux points qui me semblent essentiels :
1/ le crédit oblige sont contracteur, il est évident que si on s’endette, on créer à son niveau un stresse avec une obligation de rembourser + payer les intérêts, donc intuitivement ça correspond à un contrat sur la croissance (économique au sens classique du terme) « Je rembourserai la somme emprunter et en plus je produirai les intérêts (par le travail, donc par ma participation à la croissance) ».
2/ la croissance et l’économie classique repose sur les ressources, sauf que bien que renouvelables (20 million d’années pour le pétrole), elles ne sont pas infinies, et les échelles de temps sont loin d’être celle de l’homme. Aussi un assèchement de ressource, rend la monnaie inutile. L’assèchement semble encouragé par le crédit.
Ce qui pousse à se poser la question des ressources naturelles et de la monnaie libre : ici
Pour le point 1
Pour le point 2:
La seule chose qui puisse rendre la monnaie inutile c’est la disparition de l’humain.
Tant qu’il y aura des humains, c’est qu’il restera des ressources capables d’en perpétuer l’existence. Et tant que sera perpétuée l’existence, il y aura des échanges même sous forme minimaliste de troc ou de don qui sont aux final des formes monétaires non scripturales.
C’est histoire de l’oeuf ou la poule. Je vois mal l’humain ne pas disparaitre en cas d’assechement de ressource.
Je l’ennonce autrement :
Les deux affirmations me semblent correctes.
EDIT : Pour le premier point il me semble qu’on est d’accord 
Elément incontournable de l’équipement des ménages, le crédit à la consommation contribue de façon directe à la croissance économique française.
En France, où la part de la consommation des ménages dans le produit intérieur brut (PIB) est de 56%, les crédits à la consommation représentaient 7,3% du PIB fin 2012. Par ailleurs, le crédit à la consommation contribue pour 25% au chiffre d’affaires de la distribution spécialisée et pour 40% à celui de la vente par correspondance. C’est donc un levier indispensable à la croissance économique française.
Individuellement les deux affirmations sont correctes.
Ensemble, elle disent exactement la même chose. Le "s’ " de s’ échanger désignant l’humain.
Ce sont donc comme la poule et l’œuf deux choses parfaitement indissociables en effet.
La question de la monnaie n’est pas vitale pour l’existence ni de l’humain ni des échanges. Elle n’est que facilitatrice.
En revanche il est évident que son mode de production influence profondément notre comportement et donc son impact sociétal et écologique.
Oui la consommation croissante est indispensable à une économie de la dette. Elle est parfaitement subsidiaire dans une économie libre.
Oui, je pense que pas mal de gens restent sur l’idée que l’offre de monnaie doit être dynamique et fonction de la production ou autre de ne je sais quoi comment (si quelqu’un peut m’expliquer la « logique » derrière je veux bien ! Je vais aller creuser ça). Et que pour eux sans ça c’est pas une monnaie qui marche bien, même si ya pas de privilégiés.
C’est ça, la monnaie n’est pas neutre, elle oblige à une « croissance » tel que définie dans les écoles classiques de pensée économique, c’est à dire une augmentation perpétuelle du volumes des activités marchandes comptabilisés suivant un calcul conventionnel.
Dans les mêmes écoles de pensée économique qui domine aujourd’hui, la production nait seulement du travail et du capital et oublie la physique : la réalité est que le capital n’est qu’une production passée, et pour produire il faut en plus du travail, de l’énergie et des ressources (on peut aussi produire sans capital, mais c’est moins efficace :p). C’est dommage, car l’énergie aujourd’hui vient surtout de l’exploitation de ressources, et des ressources yen a de moins en moins…
Vouloir la croissance c’est vouloir l’augmentation d’un flux. Si le but c’est de calculer la « performance » d’un pays, on devrait plutôt faire comme pour les entreprises, un bilan comptable : les produits et services consommés comptées en positif, les ressources perdues à jamais et le gaspillage comptées en negatif (Mais bon, si je vous dis qu’1 kg de blé de tel variété c’est x points, combien de points en moins si on brule 1 litre de pétrole ?).
Par exemple, Pablo Servigne calcule, concernant la production agricole, qu’avant on consommait 1 unité d’énergie (plutôt en travail humain et animal) pour en produire 3 (consommable par l’homme sous forme de nourriture). Aujourd’hui on en consomme 7 (d’origine fossile) pour en produire 1 (consommable par l’homme). On est de moins en moins rentable en fait !
Non je ne pense pas que cela soit vrai. Si les humains s’échangent, alors il y a des ressources à minima pour la subsistance des dits humains. Et des ressources restantes fabriquées jadis par les humains. Et des ressources immatérielles (économie de la connaissance), et des Ğressources. Je pense donc que cette affirmation est facilement réfutable (je crois que je viens de le faire d’ailleurs…
).
On en revient donc toujours à la seconde affirmation qui elle, bien qu’étant réfutable, ne la pas encore été à ma connaissance…
Je n’ai pas lu tous vos échanges, mais voilà ce qui me vient à la vue de cette vidéo.
Cette vidéo m’intéresse, car j’adore raconter le début des échanges à partir d’une ile…
Je trouve qu’il manque des précisions concernant les échanges de bien et l’utilisation des ressources de l’ile.
Je la compléterais bien en ajoutant un système en monnaie libre.
Pour info, lors d’une rapide présentation de la monnaie libre à mon boulot, j’avais rapidement fait cette image… on y retrouve aussi la banque, les 3 citoyens, et j’ai essayé de laisser la trace des intérêts, en posant la question « avec quel argent le plombier rembourse ses intérêts ? »… mais avec une vidéo, je pense que ça peut être encore plus riche en détails.
Si vous connaissez l’auteur de la vidéo, je veux bien le contacter pour qu’ensemble on l’améliore, à moins qu’il y ait déjà d’autres projets plus aboutis.
