Je suis OK sur ce point, le prix mixte représente une confusion, et fait progressivement apparaître une équivalence fiscale €/ğ1.
Des membres de notre groupe considèrent que si un prix mixte existe, alors il ne doit exister aucun bénéfice sur la partie €.
Toutefois, on peut aussi comprendre l’établissement de prix mixte dans certaines situations ou même pour les professionnels qui doivent rendre un bilan actifs/passifs à l’équilibre pour chaque année fiscale. C’est là où se situe le principale problème, à mon avis.
Sur le groupe telegram de la monnaie libre, il y a une rubrique : Les pros et la G1 :
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L’idée était d’aider les professionnels à se lancer dans la Ğ1, sans nécessairement se mettre en porte-à-faux au niveau de leur comptabilité : c’est pas évident, et il y a plusieurs cas de figure.
Sur les ğMarchés, le problème du prix mixte demeure, y compris pour les non-professionnels.
Sur les ZÉLÉT ( = Zone d’Échanges Locale Éco-Temporaire), on a partiellement résolue le problème de la manière suivante :
L’autre aspect est que sur les ZÉLÉT, les échanges peuvent se faire aussi avec des S.E.L. locaux ou avec le J.E.U. ou en troc. Donc avec plusieurs autres moyens d’échanges alternatifs que la monnaie dette (€).
L’objectif étant de réduire à son strict minima les échanges en monnaie dette (€), car on est sur une zone d’échange alternative.
Au travers des taux de change, les États-Nations se font une guerre économique entre différentes monnaie-dettes ( € $ £ ¥ ¢ etc…), nous sommes l’alternative aux différentes monnaie-dettes, plutôt que de se faire la guerre, il convient de trouver des convergences pour pouvoir nous aussi échanger nos monnaies alternatives. Ce sera pas facile, et on y arrivera possiblement pas au premier coup. Mais si des économistes ont réussi à trouver des convergences et des taux de change entre différentes monnaies dette, on peut aussi tenter de le faire avec des monnaies alternatives.
S’il est possible d’avoir des taux de changes entre monnaies dettes, nous devons être potentiellement capables de trouver des équivalences entre différents moyens d’échanges alternatifs.
Si avec tous ces échanges alternatifs, une personne n’arrive pas à se débarrasser des €, alors il est préférable pour les vendeurs de rejoindre les marchés conventionnels : Là où chaque exposant paie sa place pour son stand, et échangent principalement en MNL-€ (= monnaie dette).
Mais tout n’est pas si évident, surtout avec les professionnels (qui sont légalement contraints par une comptabilité rigide et des règles fiscales strictes) mais que l’on aimerait convaincre de venir sur les ğMarchés ou les ZÉLÉT.