"Inflation" chez Polkadot

Quand Polkadot se rend compte que sa théorie monétaire est un peu à la ramasse parce qu’une énorme partie de la création vient rémunérer les « stakers ». Ou « comment reproduire le capitalisme ».

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Qui sont les « stackers »?
Ceux qui fournissent la puissance de calcul au réseau ?

@Hugo-Trentesaux :

J’avoue ne même pas savoir ce que c’est que #polkadot. Est-ce encore une autre monnaie?

Je vais pas être précis
Mais allez je réponds quand même

C’est une crypto basée sur Substrate ( Cours du Polkadot (DOT), Graphiques, Capitalisation | CoinMarketCap ) tout comme la v2 de la june.

Il y a d’autres cryptos basées sur substrate

Encointer par exemple, mais qui semble plus une méta-crypto (chaque communauté paramètre selon ses besoins et ça reste local).

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Ceux qui écrivent les blocs sont les validateurs. Le système de confiance de polkadot consiste à mettre de la monnaie en caution pour un validateur, c’est ce que font les stakers. Il risquent de perdre leur mise si le validateur ne remplit pas sa mission, et gagnent une partie de la création monétaire / frais de transaction pour ce « risque ». C’est un système bien pourri à mon avis.

Oui, c’est une autre monnaie, c’est pour ça que j’ai posté dans la catégorie Autres systèmes monétaires. La particularité c’est qu’ils utilisent aussi le framework substrate, et participent à financer son développement. Comme quoi on peut utiliser le même outil (framework blockchain) pour faire du capitalisme (polkadot) ou bien une monnaie libre (duniter-v2).

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Oui, dans une blockchain sans preuve d’Humanité, la confiance est un jeu à l’aveuglette.
Le jeu de la monnaie dette est toujours le même, posséder un outil qui produit de « la valeur » et l’outil qu’est la blockchain porte une valeur immense.

Plutôt que de brader ça, je propose que le temps d’en établir la valeur, on la partage à la légale.

Organisés en structures de 150 portefeuilles maximum, chacun porteur d’un token type « stable coin ». Les logiciels tournent sur de ordinateurs, au moyen de système d’exploitation et matériels plus ou moins libre. Allons plus loin, et réclamons une stack soft et hard Libre. Chacun peut devenir co-propriétaire en achetant des obligations, qu’il peut utiliser et sous-louer comme espace de stockage et assistant IA. Ca fonctionne avec n’importe qu’elle propriété mise en commun évaluée en €.

Pour être sérieux, les machines qui exécutent ces codes libres et fournissent ces « services libérateurs », blockchain, mais aussi NextCloud et IA (autres outils avec énormément de valeur!!) sont reliées par toile de confiance Ğ1 et/ou PGP…

Chaque Ẑen qui compte pour un € est mis au pot commun et deviennent les parts d’une entreprise et un truc qui nous appartient à tous par essaim de 150 :wink:
Présentation du prototype :UplanetZERO: avec FooPGP au prochain Capitole du Libre

le mal contre le mal...

Le capitalisme, contre le Capitalisme.

A l’échelle de la France, au rythme de la dette ce sont 1 640,6 milliards qui ont été converti par la monnaie dette en « monnaie banque », résidu digestif de la « monnaie dette »…

Avec le Ẑen réglé sur 0.1, cela fait plus de 1 Milliard de token en réserve.

Pour respecter la loi, chaque structure ne peut émettre plus de 1 millions d’€ token répartie entre 150 portefeuilles. Cela donne 6 665 €, le prix à investir dans la formation « DRAGON » pour devenir formé et formateur. « Made In Zen » y fédère le premier essaim qui essaime d’autres essaims…

Chaque membre devenant co-hébergeur/co-hébergé


Au rythme actuel de production de Ğ1, nous sommes co-créateurs de 929.390 token/jour soit une capacité de croissance capitalistique d’autant par jour.