Oui mais dans le cas de la monnaie libre ( ) qui nous intéresse, tu as aussi quelques principes économiques à prendre en considération…
Exemples :
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La monnaie libre est principalement inflationniste de part la formule du dividende universel utilisée. Or les monnaies non-libres peuvent aussi être déflationnistes. Il y a peu de chance de voir la masse monétaire [M] de la décroître, sauf si le nombre [N] de membres créateurs décroît fortement pendant plusieurs années. Le coefficient [c] n’étant pas une variable mais un nombre fixe dans la formule du DU.
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Le DU est directement rattaché aux humains qui sont membres co-créateurs de la monnaie libre Ğ1. Or les monnaies non-libres sont rattachés à leurs activités et à leurs capacités d’emprunt/d’épargne.
Je ne dis pas que cela est bien ou mal, mais dans tous les cas cela a des conséquences directes sur la manière d’aborder les notions économiques et les implications/interactions sociales.
Ainsi tu peux certes spéculer sur le prix du baril de pétrole en $ (pétro$) ou bien en € et pourquoi pas en ou même en ; mais lorsque tu spécules sur le prix de la Ğ1/€ (la monnaie libre en tant que pure produit financier), alors tu spécules aussi sur le nombre N des membres co-créateurs (donc des humains).
Si vous êtes prêt pour spéculer sur la Ğ1 en € (et vice versa), alors c’est bien la monétisation de la dont il est question ?
Et dans ce cas là…
Rien n’empêchera alors de passer à l’étape suivante, à savoir : la monétisation des certifications.
Puisque c’est par le biais des certifications (limité à 100 / membre actif) qu’un individu peut devenir membre co-créateur de DU.
On en revient à certaines questions déjà posées, du genre :
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la monnaie libre ( ) est-elle socialement et économiquement libertaire ou libérale ?
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Est-ce que la confiance est sans valeur monétaire ou bien a-t-elle une valeur absolue ou infinie ?
À ce stade, il me semble utile de citer un autre membre :
@+