le directeur de Biocoop veut créer un « outil motivationnel » pour ses employés…
et un incitateur anti-gaspi pour ses clients.
Il va pour cela convertir une partie de sa « marge » en jetons afin de la « placer » sur les produits qu’il veut « valoriser ».
Si il utilise directement la G1, il ouvre ses produit à un marché qui dispose de liquidés pour liquider son « sur stock », mais qui ne dispose d’aucun « réseau de télécommunication potable », ni d’API pour contrôler facilement ses wallets et l’application de conversion de valeur entre jeton et €…
Quand on utilise un token, on n’achète plus le produit,
on achète le token qui permet d’obtenir le produit.
Sur UPlanet on peut associer l’exécution de programmes aux wallets qui y sont créés (enregistré dans IPFS cele en fait un « smart contract »)… Ces programmes en « BASH » peuvent manipuler n’importe quelles données « Web2.0 » et accéder aux canaux de communication (email par défaut) auquel on raccordera les Stations qui feront tourner l’application.
Avec ce genre de module branché sur un RaspberryPI on peut aussi envoyer des SMS

Ici, ce n’est pas « toute la G1 du monde » qui sera utilisée; mais une petite partie émise sous forme de jetons par BioCoop. Comme des bouts de papiers, qui vont être utilisé pour transférer la valeur « perdue en € » vers un nombre de jeton « J ».
Ici, ils choisissent leur courbe et référence de valeur.
- Panier 1j : 10€ - 1J (envoyé à chaque panier?)
- Panier 2j : 9 € - 2J
…
Ces jetons donnent le droit à des réductions, ou l’accès à certains produits (comme les « points intermarchés »)
Dans ce cas d’usage, la G1 est un support qui apporte gratuitement la traçabilité blockchain à une entreprise qui veut émettre son « COIN »… On peut prendre 1J = 0,1 G1, ou 1J = 1 G1, ou 10 G1… On s’en fout un peu… Ce qui compte c’est qu’il y en ait assez pour correspondre à la valeur mise en jeton par rapport au bénéfice « sauvé ». Et à quoi BioCoop veux coller ces jetons.