Amélioration de la licence Ğ1

Pour les gbank, dans mon imaginaire, ce sont plutôt les tiers de confiance comme g1sms ou g1virement par exemple, qui proposent des services avancés qui seraient impossibles à réaliser aujourd’hui sans eux.

J’en reviens au rôle initial de ce que devrait être une banque, c’est a dire évidemment sans aucun pouvoir de création monétaire, sous quelque forme qu’elle soit.

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Et perso mettre des ğTruc partout, pour ğUtilisateur par exemple, ce n’est pas beau.

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:woozy_face: :dizzy_face:

Tu veux dire aussi comme g1Bien, g1Book

Ou encore comme ğChange ou bien même ğAnnonce : T’es pas cap de répéter ça à @kimamila :rofl:

En tout cas, tu viens de perdre l’occasion de porter le T-Shirt de l’équipe libre des Ğ Apéros :rofl: : Évidement qu’il est beau le ğTshirt :star_struck:

Tu peux remplacer « membre non-certifié » par « utilisateur » avec ou sans [ğ], ou même laissé en l’état, cela ne me dérange pas :wink:

Comme le dit @vit : « Ce fil est dédié aux propositions de reformulations, de restructuration et de mise en forme de la licence Ğ1… Le but de cette initiative n’est pas de modifier le fond de la licence, mais sa forme. » :innocent:

Les propositions de modifications sont donc purement sémantiques et/ou dialectiques.

@+ :vulcan_salute: :g1:

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Pour plus de clarté, Cesium ne devrait pas proposer la création directe d’un compte membre cocréateur, mais uniquement celle d’un compte simple. Ou plutôt la sélection d’un compte simple (voir ici mon avis concernant le vocabulaire). La procédure pour identifier ce compte simple et le transformer en compte cocréateur existe déjà. La phrase d’accueil serait donc « Comment devenir membre de la Ğ1 », car c’est bien ça la première étape, qui permet d’utiliser les Ğ1.

Je plussoie la remarque de pini : il faut dire quelque part que la licence s’applique uniquement aux cocréateurs. D’ailleurs, dans son état actuel, est-ce vraiment une licence ? Je plaide à nouveau pour la séparation de ce qui est technique (formules, variables, fonctionnement des logiciels) et des points sur lesquels ont demande un engagement (ce que j’ai mis dans ma proposition de charte du certificateur). Je trouve déraisonnable de demander aux membres, même cocréateurs, de connaître les détails techniques. Une telle exigence affaiblit l’exigence de respecter ce qui est vraiment important.

Merci d’avoir posé la question du langage inclusif. À mon avis, c’est une réponse (encore) insatisfaisante à un vrai problème. Dans mon métier, je mesure bien les difficultés qui surgissent quand on veut écrire en mode inclusif. Je pense que ce serait une erreur de choisir des mots parce qu’ils sont compatibles. Exemple « identité cocréatrice » ne peut pas remplacer « compte cocréateur », parce que c’est un compte. Et ce compte sera éventuellement identifié comme je le dis au premier paragraphe.

Pour répondre quand-même au vrai problème de la prédominance du masculin, je pense que la meilleure solution serait que les locuteurs du français bâtissent un neutre, qu’on altérerait avec la marque du masculin ou du féminin uniquement lorsqu’il est pertinent de préciser le genre. Exemple : l’institutreu est un instituteur ou une institutrice. Des mots tels iel et (quelle prononciation ?) sont un premier pas dans cette direction. D’ici là, nous sommes contraints de bricoler avec le point médian (alt-0183), en choisissant jusqu’où nous sommes prêts à alourdir le texte.

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Mais cela entraînerait une confusion avec la définition actuelle de membre qui désigne un humain cocréateur.
D’où ma préférence pour le terme « utilisateur »

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C’est vrai. Je me plaçais dans l’hypothèse où on aurait adopté le vocabulaire discuté ailleurs (voir mon premier lien).

La confusion aurait lieu le temps du passage d’une nomenclature à l’autre. C’est pour cela que je propose d’abandonner ce terme de « membre »

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En effet, le concept de membre porte souvent à confusion, il semble plus équitable d’etre membre même en temps qu’utilisateur débutant.

Par contre, pour éviter les erreurs qui causent le plus de problémes il suffirait de n’avoir au départ de Césium que l’option « ouvrir un simple portefeuille » afin d’apprendre à utiliser la June avant de vouloir « co-créer » (l’emploi de l’infinitif permet de rester neutre et évite ainsi les maladresses de genres).
Car beaucoup d’humains qui sont amenés à co-créer ne comprennent absolument pas le fonctionnement ni la responsabilité que cela implique et sont incapables d’expliquer le processus à leur tour (ce que je trouve extrêmement dommageable pour la cohérence de la monnaie libre.)

D’ailleurs, pour ce qui est de la prise en compte de la licence dés la 1ere utilisation, il est pourtant bien indiqué sur le site de Duniter :
" /!\ L’utilisation de la la monnaie Ğ1 suppose l’acceptation de sa licence, dont vous trouverez une copie ci-dessous" On parle bien ici de l’utilisation et pas encore de la co-creation…

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Oui je suis d’accord

Autre idée qui m’a traversé la tête ces derniers jours :
plutôt que des :
« comptes co-créateur de monnaie Ǧ1 »
« comptes co-créateur de monnaie »
« comptes co-créateur de Ǧ1 »
« comptes co-créateur de DU »
des :
« compte monnayeur »
« compte co-monnayeur »

Qu’en pensez-vous ?

Dans mon esprit monnayeur, c’est l’appareil qui fait la monnaie quand on lui donne un billet.
Je n’y vois pas la création de monnaie.

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Ok, pour moi, le faux monnayeur comme le vrai monnayeur sont les personnes qui créent la monnaie :wink:

D’après le Larousse, « monnayeur » est défini comme :

  • Ouvrier qui effectue la frappe de la monnaie.
  • Appareil qui change un billet, une pièce en pièces de monnaie.

La seconde définition est la plus commune…

Je suis d’accord avec Maaltir, c’est comme quand mon ex PDG me présentait comme le « programmateur » de la boîte. Je le corrigeais en lui disant que le « programmateur » c’est le bouton sur la machine à laver, le « programmeur » c’est le gars qui développe des logiciels. :grinning_face_with_smiling_eyes:

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Avec l’adjectif « faux » on comprend mais sans, ça fait la machine. Encore un coup de ce satané langage humain où "a" + "b" ne fait pas "ab"

Vu sous cette angle c’est pas faux non plus.

Je relance de ğBanquier / ğBanquière à… : ğMonnayeur / ğMonnayeuse ( :relaxed: )

@poka : Et Ğérard :joy: C’est possiblement pas ta jéhérassion…

LE LAROUSSE c’est un dico de droite :rofl:

La définition du monnayeur sur LE PETIT ROBERT (un dico de gauche) :

  1. rare Ouvrier, ouvrière qui travaille à la fabrication de la monnaie de l’État.
    faux-monnayeur.

  2. nom masculin Appareil permettant de faire automatiquement la monnaie.
    changeur. — Appareil commandé par l’introduction d’une pièce de monnaie.

Source : monnayeur - Définitions, synonymes, prononciation, exemples | Dico en ligne Le Robert

Pourquoi je dis que LE LAROUSSE est de droite et LE ROBERT est de gauche… Car :

En 1967, lors de la sortie de la première édition du dictionnaire Le Petit Robert, Le Nouvel Observateur écrit : « Enfin un dictionnaire de gauche !3 »

@Attilax : T’as vu il existe même des dicos de droite et de gauche :weary: :rofl:

@+ :vulcan_salute: :g1:

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Et voilà le dictionnaire du peuple, le plus complet et descriptif de tous, le Wiktionnaire :

  1. Celui qui travaille à la monnaie de l’État.
  2. Appareil permettant d’échanger la monnaie.

Tout dictionnaire de gauche (et même ceux de droite en fait) devrait diriger ses efforts vers l’amélioration du bien commun qu’est le Wiktionnaire.

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oui :+1:
Et aussi sur l’encyclopédie libre qu’est Wikipédia :wink:

@+ :vulcan_salute: :g1:

« Tout dictionnaire » en fait…

Ğ suis bien d’accord !
:smiley:
C’est un peu comme mettre du « libre », « non libre » un peu partout, vu de l’extérieure vous passez pour des cinglés sectaires les gars…

« Libre » veut surtout dire que le code est en accès libre, c’est à dire qu’on peut l’auditer, le modifier, le redistribuer.

Pour moi ce sont ceux qui utilisent une appli sans avoir aucune visibilité des processus utilisés et cachés qui sont cinglés et « sectaires » puisque faisant confiance à un « grand gourou » qu’il s’agisse de MS, gogol ou appeul, selon les religions, tout en sachant très bien qu’ils sont espionnés, volés voire censurés s’ils osent ramener leur fraise. Et le fait que ce soit une majorité ne signifie pas qu’ils aient raison de faire une totale confiance à des multinationales qui ne leur veulent aucun bien, très loin de là. Les dérives totalitaires des GAFAM ne sont possibles que grâce à leurs milliards d’adeptes qui les cautionnent, faudrait voir à ne pas l’oublier…

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