C’est toujours le même problème: on fait comment avec les « sans-papiers » (ils ont souvent des papiers en fait, mais pas les bons). Ce serait bien qu’ils puissent participer à la Ğ1.
On fait comment pour les SDF?
On fait comment pour les gens qui ne veulent pas se réferer à des papiers falsifiables? Au final la question est de garantir une monnaie sans faux-comptes, tout en pouvant intégrer des gens quelque soit leur nationalité ou leur situation.
Un État peut créer autant d’identités qu’il le souhaite, et il le fait déjà pour ses missions d’espionnage/contre-espionnage, de protection de civil via changement d’identité…
L’état pourrait, du jour au lendemain, se créer 10 000 identités et donc 10 000 comptes membres, créer 10 000 DU tout les jours, à son profit, il serait privilégié face à la création monétaire, brisant donc la symétrie entre les membres.
C’est bien ça le problème d’une base de donnée centralisée : l’admin peut la modifier seul quand il veut.
Les 5 certifications de la Toile de Confiance Ğ1 constituent un équivalent d’acte de naissance (ou certificat de nationalité) dans la toile de confiance Ğ1.
Mais il n’est pas question de remplacer la toile de confiance…
C’est un outil pour facilité la confiance et ce n’est en rien obligatoire.
Cela se rajoute à la perspicacité des certificateurs.
Si cela facilite la vie pour 99% des gens c’est déjà énorme et évite les fraudeurs du dimanche.
Pourquoi des espions voudraient créer 10000 comptes? Imaginez le temps qu’il faudrait pour se faire certifier 
Grâce à la réflexion en amont qui a mené aux règles de la TdC Ğ1.
Tout à fait.
Alors quid de l’anonymat avec les 3 hashs à 512bits ?
Qu’est-ce que :
?
Je me soucie de valider que les 3 trois hash qui pourraient aider à renforcer la confiance de la toile et l’unicité des comptes certifiés ne mettent pas en péril le propriétaire du compte qui gravent ces hash dans la blockchain.