Marrant j’ai eu la même réaction, mais en moins radical.
Je proposais de garder G1, la toile de confiance et les relations humaines qui vont avec, mais en ajoutant des données étatiques difficilement falsifiables sous la forme brouillée de 3 hashs de données privées dans la blockchain via un compte cesium dédié et partagé.
L’idée était que le pseudo anonymat des comptes certifiés était inutile et même dangereux si les gens croient que c’est un vrai anonymat. Ce compte ne devrait servir que pour créer la monnaie et non pas pour faire les transactions de la vie courante.
Les limites techniques de la G1, ne permettent pas d’avoir un nombre illimité de compte, du coup une monnaie par état ne semble pas déconnant.
Cela n’ajoute pas de dépendance forte à un état, puisque que les données utilisées peuvent évoluer sans mettre en péril la toile de confiance.
Je voyais le processus comme un accompagnement des certificateurs pour le calcul de chaque hash avec le futur certifié, les hashs ne devant être gravés dans la blockchain QUE si le membre devient certifié, car la présence des 3 hashs implique l’existence d’un compte membre.
Pour tricher sans violence, il faudrait falsifier 3 documents officiels avec les accès aux sites web associés, donc limité aux organismes d’espionnages FR et par les mécanismes existants.
Pour tricher avec violence, cela ne change rien, mais le contrôle ultérieur est plus facile.