Effectivement, les clefs ne sont pas intéressantes humainement aujourd’hui car rien ne les différencie d’une autre.
Ici, l’idée est de donner une partie compréhensible, 2 caractères en début de clef afin de les rendre humainement reconnaissable, donc plus uniquement à destination des machines. Et cela deviendra important lorsqu’il existera d’autre monnaies interconnectées
Donc, non, ce n’est pas juste la couleur des coussins, mais bien un marque qui permet d’un simple coup d’œil de voir si la voiture est une Renault ou une Peugeot (vous pouvez aussi utiliser les marques de votre choix).
Ceci dit, toutes les clefs auront le même préfixe, peu importe le nombre choisi. Donc il suffira aussi de connaître ce préfixe. Je trouve, et cela n’engage que moi, qu’il est plus sympa d’avoir un préfixe parlant plutôt qu’un préfixe quelconque.
C’est comme pour les adresses de sites web : elles commencent par http:// et on peut les reconnaître à ça. (ou les numéros de téléphone avec 06 ou +033, etc)
Si quelqu’un dans un marché indique son adresse G1 sur un écriteau, on verra directement que c’est probablement une adresse G1, et non une suite de caractères insensée.
La conception (UX) des logiciels de paiement et autres devrait éviter d’obliger l’utilisateur à faire ça (en utilisant un protocole plus strict de machine à machine, qui puisse être reconnu automatiquement, par exemple avec un préfixe supplémentaire g1://), mais on ne sait jamais.
Une solution à quel problème ? Actuellement c’est possible mais si on améliore nos outils de notre côté, la répression pourrait devenir très difficile et coûteuse. Mais une telle décision demanderait à l’état d’assumer encore plus d’autoritarisme.
Je suis certains que ça ne le dérangerait pas. C’est pas lui qui paye. Anonymiser les transactions rendrait les choses complexes. Je ne sais pas si c’est prévu ainsi.
Elle est drôle cette réponse venant de votre part, vous qui critiquez le comportement de certains sur ce forum (peut-être à juste titre). Du coup vous critiquez les personnes qui agissent de la même façon que vous, intéressant comme comportement
N’importe quoi.
1- La seule chose que j’ai critiqué ici c’est la censure en mode « fragile » et le bannissement.
En aucun cas la confrontation.
2- C’est à Rouillon que s’adressait cette réponse, et à personne d’autre.
Et si je suis à peut près convaincu que Rouillons n’a pas les moyens de comprendre cette dite réponse, j’en suis par contre absolument certain en ce qui te concerne.
Mais comme tu sembles nourrir quelques curiosités goguenarde à ce sujet, qu’il me soit permis d’éclairer ta lanterne, et celle de ce pauvre Rouillons par la même occasion.
Rouillont dit :
« je m’interroge »
je réponds :
« C’est bien de s’interroger. Tu devrais le faire plus souvent !.. »
POURQUOI ?
Et bien tout simplement parce que j’ai eu l’immense chance et plaisir d’écouter ce Thierry Roillons me parler de… moi (sans qu’il sache que c’était moi, dois-je le préciser ? Oui, je le précise, c’est plus prudent). J’ai donc pu mesurer l’ampleur du niveau et la quantité de bêtise qu’il déblatérait sur… moi, j’ai pu lui pauser des questions jusqu’à le repousser dans ses retranchements et le mettre en face de ses contradictions, de ses mensonges, mensonges qu’ils étaient incapable d’étayer… pas la queue d’une fraction de preuve, que des affirmations gratuites ET contradictoires. Ils ne faisait que répéter stupidement et maladroitement ce qu’on lui avait dit.
Je me suis amusé avec lui pendant un bon 1/4 d’heure en mode « dissonance cognitive » avec au bout d’un moment des « heuuu… non mais… heuuuu… non mais en fait c’est bidule qui pourrait t’expliquer… heu… moi je ne sais pas vraiment… heu… » comme seule réponse , jusqu’à ce que le caniche de garde des lives d’éconolibre me loge et me bloque.
Ce genre d’expérience, j’en vie au moins une par semaine, la dernière c’était hier, un mec qui m’a expliqué À MOI le fonctionnement, délétère selon lui, de MA banque…
Tordant.
Le fait d’être anonyme, d’être le Keyser Söze de la june et de faire du bizness avec tout le monde, et donc de parler avec tout le monde, y compris avec des gens qui me détestent, et pour qui je n’ai pas grande estime, je dois bien l’avouer, me permet de toucher les tréfonds de la bassesse ordinaire de l’âme humaine, et c’est follement amusant.
Il y a des gens dignes, heureusement, et honnêtes. Mais ils ne sont pas très nombreux.
Je ferai un jour une vidéo avec le best-off des conversations que j’ai eu avec tous ces gens.
