Salut,
Tout est dans le titre j’ai vu qu’en v2 il y aurait cela
Le G1billet y ressemble déjà beaucoup…
C’est quelque chose qui est de la responsabilité des gestionnaires de wallets (les clients, comme Cesium), indépendants de la mise à jours Substrate.
Il s’agit des dérivations opaques que nous évoquions avec Elois au début de développement de Ğecko, mais qui ne sont plus à l’ordre du jour pour le moment.
Il est probable que cette fonctionnalité soit développé seulement si une demande s’exprime sur ce sujet.
Je n’ai pas prévu d’ajouter ça tout de suite à Ğecko, mais d’autres outils le feront peut être avant.
Le but de cette fonctionnalité étant d’opacifier les transactions d’un wallet, on génération une nouvelle adresse (dérivation) pour chaque transaction émise et reçus.
Ce pourrait être une option à cocher pour un wallet en particulier, qui pourrait cumuler d’autre fonctionnalité pour renforcer l’opacification, comme l’usage d’un service de Ğmixer, ou autre chose.
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La transparence de la june est une grande force. Je ne sais pas si c’était intentionnel au départ ou si c’est par facilité technique.
Pas de corruption ou de détournement possible pour des cagnottes. Pas d’hypocrisie sur la richesse réelle. C’est important pour une monnaie décentralisé qui n’a pas de « police » que les malfaiteurs soient eux même dissuadés d’agir.
Tout le monde peut vérifier qu’il n’y a pas d’erreur etc. Ça contribue a instaurer la confiance dans la june.
De plus aller voir les transactions des autres permet de retrouver une personne si on n’a pas ses coordonnées.
J’espère que ça restera transparent comme actuellement car c’est très bien. 
Petite citation de Sun tzu pour se faire plaisir :
« Le meilleur savoir-faire n’est pas de gagner cent victoires dans cent batailles, mais plutôt de vaincre l’ennemi sans combattre. »
Je te rejoint totalement sur le génie de la transparence dans la justice sans police (la véritable justice) et pourtant je crois que c’est tout à fait compatible avec l’option d’anonymiser ses transactions là où c’est sain de le faire.
Il convient de choisir en fonction de la situation.
Pour une association qui prend des dons, par exemple: à moins que ce fût clairement explicité au préalable (dans les cas où il est préférable de faire ainsi pour protéger des contributeurs à l’association), il devrait y avoir une réaction allergique immédiate de la communauté si elle voit des transactions sortantes qui ne sont pas traçables.
Et pourtant dans de nombreux cas la non-traçabilité a toute sa place, parce que la transaction ne regarde personne d’autre que l’émetteur et le récepteur, que ni l’un ni l’autre ne souhaite que la transactions soit faite aux yeux de tous (entre deux amis proches par exemple, qui n’ont pas besoin du regard public pour l’assurance du bon déroulement de leurs échanges) et qu’il est malsain de rendre des comptes (ce que l’on fait de fait en rendant ses transactions publiquement traçables) à des personnes qui ne sont pas concernées (par exemple, aux collaborateurs de mafias en toute sortes qui cherchent en permanence à prendre pouvoir sur les individus, en cherchant à s’immiscer entre les gens partout où n’est nullement leur place).
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