La valeur économique vient du travail

VP = Σ(coûts de production) = Σ(VEmatière première) + Σ(VEB)
B (comme besoin) étant l’ensemble des marchandises dont le travailleur a besoin pour survivre dans de bonnes conditions et pour perpétuer son travail. (approximation subjective)

Exemple : le boulanger salarié fabrique 100 baguettes avec de la farine et un four à gaz. La VP totale des 100 baguettes sera la somme du prix de la farine utilisée, du gaz consommé et d’une fraction de son salaire (salaire calculé pour lui permettre de louer un appartement, acheter de la nourriture et aller au cinéma).
On peut remonter la chaîne, car le prix de la farine est la somme du prix du blé et du salaire du meunier. Etc.

D’accord, mais on parle d’économie dans une société, pas de mécanique. Cependant la même règle semble pouvoir s’appliquer : une machine produit un travail à la place d’un être humain. On ne la paie pas en monnaie car elle n’en ferait rien. Ses besoins de survie, de perpétuation du travail et de bonheur sont de l’électricité et de l’huile. N’ayant (probablement) pas de conscience, on ne se préoccupe pas de son bonheur.

(Je lis les autres réponses et y réponds juste après)