La monnaie libre en Guadeloupe

Comment imaginer créer des ambassadeurs?

(j’adapte mes propositions suite au split du post avec le Canada)

Une idée spontanée et un peu folle de méthode:

  • monter des groupes de discussions et des présentations pour récolter les contacts qui seraient intéressés par un échange entre antilles et metro.
  • établir une liste de logements payable en Ğ1 ou en paiement mixte €+Ğ1 et la référencer ici
  • que des membres metro référents viennent vous visiter en Guadeloupe. Qu’ils paient généreusement en Ğ1 les logements. Qu’ils certifient s’ils trouvent que l’hôte va respecter la licence.
  • que des Guadeloupéens viennent en France profiter de leurs Ğ1 pour se loger.

Ca demande un gros investissement en transport aérien de part et d’autre de l’Atlantique. Je le vois comme un idéal sans trop y croire. Mais d’ici là, que nous construisions des échanges et liens à distance sera forcément une bonne chose.

Plus réaliste, une autre stratégie pourrait être celle-ci:

  • identifier des personnes qui ont déjà des liens entre les 2 territoires et présent actuellement en metro (créer une liste de personnes à contacter afin de faciliter les rencontre).
  • les sensibiliser à la question de la monnaie libre.
  • les inviter, comme émissaires, à rencontrer les membres lors des nombreux événements.
  • qu’ils deviennent membres, et du coup relais de la toile de confiance.
  • à leur retour, laisser la toile de confiance se rapprocher de vous, les inviter pour les récompenser de leur démarche.
  • qu’une masse monétaire libre non négligeable arrive sur des portefeuilles des résidents, par la vente de service ou de biens par correspondance .
  • que des liens se créent grâce au commerce de services à haute valeur relationnelle. Le commerce peut être excellent vecteur d’échanges de savoirs, de cultures, de langue, de relations humaines.

Si vous connaissez des structures qui pourraient recevoir des présentations, on sera quelques uns à aimer présenter et à se motiver à découvrir un nouveau public.

On peut envisager aussi la vente par correspondance de produits guadeloupéens en France payés en Ğ1 (j’ai bien une petite idée), frais d’expédition compris ou non. Il faut le voir d’abord sous la forme d’un soutien de valeur à la communauté déjà en place, un investissement généreux, un cadeau, et aussi comme une marque de démonstration des liens qui se construiront.

Bien entendu, vu la lenteur du processus décrit, il faut bien s’assurer qu’il y ait plus de 5 ambassadeurs avant de lancer les certifications sur le territoire guadeloupéen.

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