Bonjour
A propos de la supposition d’un euro numérique(monnaie commune utilisée par 19 pays,à l’échelle de l’union européenne),comme moyen de paiement qui remplace la monnaie scripturale et fiduciaire(pièces de monnaie,billet de banque,chéquiers)
L’argument principal de ces promoteurs serait de lutter contre le travail non déclaré et la fraude fiscale(la TVA par exemple),puisque avec l’argent liquide(pièces de monnaie,billet de banque),on n’a pas besoin de déclarer ces services,auprès des services fiscaux ou l’URSSAF,dans le but de financer la sécurité sociale et les services publics,mais la limite de cette réforme,les banques pourraient savoir,ce que leurs clients dépensent à telle heure,dans les relevés de comptes bancaires,une atteinte à la sauvegarde de nos données personnelles et notre vie privé
Quel conseil pourriez vous donner,pour résister de manière simple et efficace,si cela se met en application?
Merci
Bonne journée
Tiens le retour du poseur de questions, qui ne s’intéresse pas à la monnaie libre.
L’euro est déjà numérique pour sa plus grande partie.
L’euro ne concerne pas la monnaie libre.
ne décourageons pas les personnes qui (se) posent des questions
Utiliser la monnaie libre à la place, aider à la développer et à la répandre. Cela permet d’utiliser moins d’UNL espionnes, donc d’être moins espionné·e.
Sur un autre plan, lutter pour que plus de moyens soient déployés dans la lutte contre la fraude/optimisation/évasion fiscale (qui concerne les très riches et qui représente des dizaines de milliards d’€) plutôt que dans la fraude sociale (qui concerne les pauvres et qui représente maximum quelques milliards d’€). Comme ça, pas besoin de fliquer les pauvres, seuls les riches seraient contrôlés étroitement dans l’utilisation de leur richesse, et tout le monde pourra utiliser quotidiennement des monnaies non-étatiques (comme la G1) sans inquiétude.
Edit: Même dans le cas où la mesure n’est pas mise en place, l’usage de la monnaie libre est bon pour la santé. La vie privée n’est qu’un argument secondaire supplémentaire, ici.