Le signe ğ ou g brève est distinctif de la Ǧ1 et promue par @Galuel qui le décrit sur le site glibre.
Personnellement, même si je l’avais sans doute déjà vu, c’est la première fois que je l’utilise. Des vacances estivales en Turquie m’ont inévitablement mis dans les yeux ce signe utilisé en langue turque : « Il est notable qu’en turc, le ğ suit toujours une voyelle et ne saurait être la première lettre d’un mot. »
Aujourd’hui, je lui découvre une variante le ǧ (on voit mieux la différence quand les signes sont accolés ǧğ). Il s’agit du g caron ou hatcheck utilisé en langue berbère.
Je le découvre en écrivant ce texte, après avoir lut dans un article de médiapart cet extrait :
… refuser l’«amalgame». Ce mot, développe-t-elle Littré à l’appui, «viendrait du mot arabe « ǧ amâa » qui signifie « réunion »».
Je voulais partager cela avec vous. D’aucun me diront que la culture, c’est comme la confiture, moins on en as, plus on l’étale !