Comment exporter la monnaie libre au Quebec ?

Je trouve cela pertinant, d’autant que la zone économique actuelle de la Ğ1 a une population qui a une espérance de vie comparable à celle du Canada.

Ah non non non. C’est pas bon ça.

Comment imaginer créer des ambassadeurs?

Une idée spontanée et un peu folle de méthode:

  • monter des groupes de discussions et des présentations pour récolter les contacts qui seraient intéressés par un échange franco canadien.
  • établir une liste de logements payable en Ğ1 ou en paiement mixte $+Ğ1 et la référencer ici
  • que des membres français référents viennent vous visiter au Canada. Qu’ils paient généreusement en Ğ1 les logements. Qu’ils certifient s’ils trouvent que l’hôte va respecter la licence.
  • que des canadiens viennent en France profiter de leurs Ğ1 pour se loger.

Ca demande un gros investissement en transport aérien de part et d’autre de l’Atlantique. Je le vois comme un idéal sans trop y croire. Mais d’ici là, que nous construisions des échanges et liens à distance sera forcément une bonne chose.

Plus réaliste, une autre stratégie pourrait être celle-ci:

  • créer une liste de personnes locale à contacter afin de faciliter les rencontre
  • identifier des personnes qui ont déjà des liens entre les 2 pays et présent actuellement en France.
  • les sensibiliser à la question de la monnaie libre.
  • les inviter, comme émissaires, à rencontrer les membres lors des nombreux événements.
  • qu’ils deviennent membres, et du coup relais de la toile de confiance.
  • à leur retour, laisser la toile de confiance se rapprocher de vous, les inviter pour les récompenser de leur démarche.
  • qu’une masse monétaire libre non négligeable arrive sur des portefeuilles des résidents, par la vente de service ou de biens par correspondance .

On peut envisager aussi la vente par correspondance de produits canadiens en France payés en Ğ1, frais d’expédition compris ou non. Il faut le voir d’abord sous la forme d’un soutien de valeur à la communauté déjà en place, un investissement généreux, un cadeau, et aussi comme une marque de démonstration des liens qui se construiront.

Bien entendu, vu la lenteur du processus décrit, il faut bien s’assurer qu’il y ait plus de 5 ambassadeurs avant de lancer les certifications sur le territoire canadien.

Il y a bien aussi la stratégie d’une caravane de membres pour porter la bonne nouvelle au monde, mais bon, j’ai toujours l’impression que ça finit en gros n’importe quoi.

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