Change the Ğame

L’idée de pouvoir continuer à utiliser des « billets papier » alors que l’UNL compte s’en passer est judicieuse.

Enfin j’ai quelques remarques concernant la solution que tu présentes.

  • Lorsque on enregistre le numéro de série d’un « bon au porteur UNL » dans le commentaire d’un virement d’où proviennent les G1? Du portefeuille de celui qui enregistre le « billet »?
  • Vers quel compte ce virement est réalisé? Le tien, celui d’une association?
  • Comment ne pas avoir plusieurs fois le même commentaire (enregistrement du même) dans les transactions?
  • Si tu ajoutes une promesse de G1 valeur à un « Billet de banque », tu dois également en devenir l’encaisseur.

Mais le « Billet » tel que nous le connaissons est une « erreur ».

En effet, il ne s’agit que de la promesse de créditer le solde comptable d’un individu qui présenterai ce billet « à l’orfèvre » qui devrait le détruire. Mais comme créer et distribuer un morceau de papier infalsifiable coûte cher, ce « bon au porteur » n’est plus détruit.

En utilisant la blockchain, il devient possible d’émettre des « portefeuilles ». Pas besoin de commentaire dans les transactions, c’est son créateur (premier propriétaire) qui le charge. Dans ce cas, la « monnaie » est embarquée à l’intérieur du « paper wallet ». 404 | G1SMS

Dans cette version « paper wallet » il n’y pas de nécessité d’encaissement ni de destruction du « G1BILLET » par celui qui le reçoit. Il le signe au verso pour signifier le changement de propriétaire. C’est la série de signatures qui garantit la « sécurité anti-falsification ». Cela permet au billet de contenir une valeur chiffrée réelle, et à celui qui le possède de prendre soin de le décharger avant de le détruire. Il n’a pas besoin d’aller au « guichet » d’un banquier pour cela :wink:

J’ai ajouté de nouveaux usages à ces « portefeuilles »…
En utilisant la transposition de celui-ci dans l’espace de stockage distribué IPFS (https://ipfs.tech), il devient possible d’associer des programmes et des données à ces clefs.

Au lieu de cacher les « secrets » par un scotch à gratter, ceux-ci sont inscrit dans un QRCode protégé par un code PIN. J’ai appelé ce nouveau type de G1BILLET, une G1Card

  • Le programme premier est TiddlyWiki, un logiciel de prise de notes (lui même programmable).

  • Le second programme s’appelle UPlanet, il permet de relier son TW à une section de 0.01° de planète.

  • Le troisième programme se déclenche à 20H12 précise, à l’heure solaire de la longitude où se situe le serveur qui l’exécute. Il scrute les relations entre les clefs TW puis assure la mise à jour et la publication de données communes.

Astroport.ONE réuni ces programmes

UPlanet

La version demo « live dev » est en ligne sur https://qo-op.com
Le prototype a encore besoin de quelques réglages et station IPFS « Astroport » supplémentaires… Et de « retour utilisateurs »

Inscrivez vous et remontez les bug (une adresse yopmail fonctionne si vous voulez rester anonyme). Le TW créé est accessible en écriture par défaut. Pour le passer en lecture seule, imprimez le QRCode du Tiddler AstroID et utilisez le PASS reçu sur votre email sur le lien LOGIN.

Si vous avez quelques compétences en informatique et réseau, une connexion fibre, un PC sous Linux, une Webcam et une imprimante, rentrons en contact :wink:

@rimek je rejoins ta motivation « Change the Ğame », mon objectif est de « terraformer la planète » en « forêt jardin comestible » :wink: et d’aider le Libre et la connaissance à se propager. Nous pourrions essayer d’utiliser ensemble Astroport pour réaliser un programme de « versionning de G1Video » collaboratif par TW interposé ?

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