Hello,
Je partage une vidéo qui fait suite à l’annonce de la suppression du liquide et de la numérisation de la monnaie fiduciaire banque centrale. Et je reviens sur le projet de banque de change que j’avais proposé, avec une nouvelle idée.
L’idée de pouvoir continuer à utiliser des « billets papier » alors que l’UNL compte s’en passer est judicieuse.
Enfin j’ai quelques remarques concernant la solution que tu présentes.
- Lorsque on enregistre le numéro de série d’un « bon au porteur UNL » dans le commentaire d’un virement d’où proviennent les G1? Du portefeuille de celui qui enregistre le « billet »?
- Vers quel compte ce virement est réalisé? Le tien, celui d’une association?
- Comment ne pas avoir plusieurs fois le même commentaire (enregistrement du même) dans les transactions?
- Si tu ajoutes une promesse de G1 valeur à un « Billet de banque », tu dois également en devenir l’encaisseur.
Mais le « Billet » tel que nous le connaissons est une « erreur ».
En effet, il ne s’agit que de la promesse de créditer le solde comptable d’un individu qui présenterai ce billet « à l’orfèvre » qui devrait le détruire. Mais comme créer et distribuer un morceau de papier infalsifiable coûte cher, ce « bon au porteur » n’est plus détruit.
En utilisant la blockchain, il devient possible d’émettre des « portefeuilles ». Pas besoin de commentaire dans les transactions, c’est son créateur (premier propriétaire) qui le charge. Dans ce cas, la « monnaie » est embarquée à l’intérieur du « paper wallet ». Ğ1BILLET | G1SMS
Dans cette version « paper wallet » il n’y pas de nécessité d’encaissement ni de destruction du « G1BILLET » par celui qui le reçoit. Il le signe au verso pour signifier le changement de propriétaire. C’est la série de signatures qui garantit la « sécurité anti-falsification ». Cela permet au billet de contenir une valeur chiffrée réelle, et à celui qui le possède de prendre soin de le décharger avant de le détruire. Il n’a pas besoin d’aller au « guichet » d’un banquier pour cela 
J’ai ajouté de nouveaux usages à ces « portefeuilles »…
En utilisant la transposition de celui-ci dans l’espace de stockage distribué IPFS (https://ipfs.tech), il devient possible d’associer des programmes et des données à ces clefs.
Au lieu de cacher les « secrets » par un scotch à gratter, ceux-ci sont inscrit dans un QRCode protégé par un code PIN. J’ai appelé ce nouveau type de G1BILLET, une G1Card
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Le programme premier est TiddlyWiki, un logiciel de prise de notes (lui même programmable).
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Le second programme s’appelle UPlanet, il permet de relier son TW à une section de 0.01° de planète.
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Le troisième programme se déclenche à 20H12 précise, à l’heure solaire de la longitude où se situe le serveur qui l’exécute. Il scrute les relations entre les clefs TW puis assure la mise à jour et la publication de données communes.
Astroport.ONE réuni ces programmes
La version demo « live dev » est en ligne sur https://qo-op.com
Le prototype a encore besoin de quelques réglages et station IPFS « Astroport » supplémentaires… Et de « retour utilisateurs »
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@rimek je rejoins ta motivation « Change the Ğame », mon objectif est de « terraformer la planète » en « forêt jardin comestible » et d’aider le Libre et la connaissance à se propager. Nous pourrions essayer d’utiliser ensemble Astroport pour réaliser un programme de « versionning de G1Video » collaboratif par TW interposé ?
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C’est pour ça qu’il y a une date limite dans le système eurojunebank pour la validité du change. Mais là c’est trop d’anticipation et de projections inutiles… l’idée c’est surtout de capter des euros pour développer la monnaie libre en attirant des euros dans le réseau économique de la june c’est à dire dans la poche des junistes… car ce système est applicable par tous les membres de la june.
C’est la que tu disgresses et ne comprends pas mon système. C’est pourtant simple, mon système permet de capter des euros pour développer la ml toi ton billet n’est pas accepté dans le circuit économique euro moi dans mon système il peut fonctionner dans les deux et ça fait toute la différence. L’intérêt c’est de capter des euros dans notre communauté ML pour développer la ML avec des euros, les euros sont capter dans la june pour les junistes au service des junistes qui pourront utiliser des euros pour développer la monnaie libre… c’est l’intérêt de mon système qui reste applicable pour les monnaies locales et autres… toujours avec ce principe d’indexer la june sur le support papier pour que la monnaie soit acceptée dans les deux réseaux économique de la monnaie locale (si la june est indexée sur un billet de monnaie local) mais aussi dans la june puisse que le billet de monnaie locale aura une valeur en june et pourra circuler dans le réseau de la june c’est hyper simple, tout est clair nette et précis. Et très facile à mettre en place.
C’est ce que font indirectement tous les « Junistes » quand ils échangent des valeurs en G1 (plutôt qu’en UNL). Marquer un billet ne le capte pas.
Le marquage apporte peut-être de la « publicité »… Mais aucunement la « duplicité ». Une fois le billet donné, il est parti…
UNL et ML sont 2 opérateurs monétaires qui émettent leur « jeton » de façon différente. Ce n’est pas en mémorisant le code des jetons de l’autre sur ses jetons que la moindre valeur apparaît. C’est en faisant circuler ses jetons…
C’est l’envie de disposer de ces jetons pour jouer au jeu de société proposé par chacun qu’il faut donner.
En se plaçant dans cette perspective « Change the Ğame »
Ce sont les innovations par rapport au précédent jeu qui feront la différence.
En ce qui concerne le coûts inhérent à l’exercice du « métier de banquier » (gérant de la fabrication et distribution du jeton), la blockchain et la monnaie libre éclate à plate couture l’ancien système.
La proposition UPlanet, refonte solarpunk de notre Internet, est un système d’information et d’opération concurrent. Pensé comme un système d’information « pur » (sans asymétrie).
- Il permet de publier toutes données sans contrôle (liberté d’information)
- Il profite des conditions qu’apporte la « monnaie-libre » pour proposer le « vote quadratique » et d’autres services.
- Les blockchains territoriales introduisent le Lieu en tant que réceptacle des idées, projets, rêves et assure un « crowdfunding démocratique » de leur réalisation.
- Les certificats émis et signatures reçues permettent de définir les « valeurs » perçues par l’ensemble. Diplômes et permis deviennent des « toiles de confiance » et accréditations signées par ses pairs.
Une gestion administrative pair à pair plutôt que centralisé.
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