Calcul sur la valeur monétaire et numéraire d’une certification de confiance / DUğ1 et RSA et €…
1. Introduction…
- Modéliser l’économie sans monnaie :
J’adore ( ) le commentaire à partir de la démonstration de la 10ième minutes :
De quoi préparer un sujet sur le freeganisme et le mouvement Gratiféria
https://infokiosques.net/spip.php?article1287
Sauf que dans le cas de la monnaie libre, ce sont les membres certifiés qui sont co-créateurs de la monnaie en formant une banque décentralisée par le biais de la Toile de Confiance (TdC) : les membres certifiés sont donc l’institution.
En tant que monnaie, la est donc pareillement créé ex nihilo comme l’€ (
). Disons que la monnaie libre est co-créée par chaque membre sur la base d’une adhésion d’un contrat de confiance par cooptation, contrairement à la monnaie dette qui est créée comme on sait…
- Qui crée l’argent ? Et comment ?
Aussi si l’€ est une monnaie de singe privative ( au sens péjoratif et négatif du terme ), alors inversement la est aussi une
collective ( au sens noble et positif du terme ).
En fait, sans confiance et sans valeur commune ( servant de référentiel étalon ), toutes les monnaies sont des
L’autre problématique parallèle étant la gouvernance collective et la co-responsabilité pluri-partagée de cette banque décentralisée entre tous ses membres. Un truc à voir avec le concept de démocratie ( ).
Pour le moment, les membres de la Ğ1 semblent se suffire de créer de la monnaie et de l’utiliser ( tel que l’on consomme des € ). Les garants de l’institution de la « banque libre décentralisée » étant les membres faisant tourner les serveurs.
La gouvernance de la monnaie libre est aussi une réflexion à mener collectivement : ne serait-ce pour laisser à chaque génération de décider du niveau d’inflation de la monnaie libre en modifiant éventuellement la valeur de c d’une génération à l’autre en fonction de M/N ( par exemple, mais pas seulement ).
C’est en partie vrai et en partie faux : les problèmes sociaux en rapport aux inégalités sont réglés généralement par les théories socio-économiques, et les sciences humaines, pas spécifiquement par les seules théories monétaristes :
La Théorie Relative de la Monnaie (TRM) serait donc directement issue du Monétarisme ( )
La Théorie Relative de la Monnaie serait elle aussi une opposition à la Théorie quantitative de la monnaie ?
3 théories de la monnaie et des banques…
Pourtant, a contrario de ce que certains pourraient penser, une monnaie n’est pas neutre (loin de là) : elle oriente les rapports humains et sociaux dans un environnement et un espace économique.
En ce sens la monnaie n’est pas qu’un simple instrument de mesure de la valeur ( un référentiel de la valeur ), elle est aussi un instrument de domination économique : ce principe de domination économique est particulièrement vrai pour la monnaie dette, mais c’est aussi applicable pour n’importe quelle autre monnaie ( quel que soit son procédé et/ou sa méthode de création, et la Ğ1 ne peut y échapper à long terme ) :
En outre, la valeur peut être monétaire et/ou numéraire.
La valeur monétaire ( le prix estimé = valeur d’échange, valeur financière, valeur vénale ) n’est pas nécessairement la valeur numéraire ( = la valeur des unités monnayées ). Cette différentiation peut paraître inutile et anodine, mais elle permet souvent un détachement nécessaire pour appréhender certaines notions socio-économiques.
Particulièrement, lorsqu’une personne se demande ce que l’argent peut ou ne peut pas acheter !
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