Dans la distribution, les produits frais et périssables particulièrement , partent régulièrement à la benne à ordures.
Les responsables de tels établissements de distribution gagneraient en notoriété et image de marque s’ils proposaient à la vente en Ğ1 les produits proches de la date de péremption, en réduisant ainsi drastiquement le gaspillage.
Mais que pourraient ils faire de leurs Ğ1 : et bien les redistribuer à leurs employés, qui eux s’emploieraient à les utiliser selon leur libre choix.
Si ses responsables se posaient la question de quel prix afficher en Ğ1, ils pourraient opter pour le prix de vente normal en euros divisé par deux (1 Ğ1 pour 2€) ou plus ou moins selon leur libre choix et l’efficacité visée pour le déstockage de leurs produits en limite de fraîcheur.
Cette pratique pourrait être généralisée à tous les commerces qui cherchent à faire tourner leur stock : après les braderies de la période des soldes ils pourraient mettre leurs invendus en cession contre de la Ğ1. (Libre aux cédeurs de Ğ1 de juger de la valeur écologique et sociale des produits proposés)
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@bou2fil : Merci pour ce partage. Il me semble que le sujet mérite une attention particulière, un débat ouvert et des conclusions menant à une ou plusieurs actions ciblées.