Je me pose une question : Concernant la G1, peut-on parler de monnaie souveraine ?
Quel sens donnez-vous à souverain ?
Le souverain dans la langue française, c’est le roi !
Ou aussi sans limites, sans contrôle !
Ou encore supérieur à tous !
Avez-vous une autre définition ?
Personnellement, je ne suis pas intéressée par ce concept…
De mon point de vue, le cnrtl donne les meilleures définitions car plus complet…
Dans ce contexte (tiré du lien de mamygeek):
Qui ne relève d’aucun autre organe
Qui se gouverne soi-même
Qui est au plus haut degré; qui règne en maître, l’emporte sur les autres, sur tout; qui excelle dans son genre, dans son domaine.
Exerçant une suprématie dans un domaine donné
Qui a certaines caractéristiques (majesté, grandeur, etc.) appartenant ou supposées appartenir à un souverain.
En général, est qualifié de souverain ce qui ne répond à et ne dépend d’aucune autorité supérieure; ce qui est premier à exercer autorité sur lui-même; ce qui est entier et suprême dans les caractéristiques relevant de sa nature. Ce qui est indépendant, autosuffisant et n’est pas clairement dépassé par autre chose (et ce à la fois hiérarchiquement et fonctionnellement ou de par ses caractéristiques).
Ce dernier point est important, car ne peut se dire souverain quelque chose dont l’existence repose sur une dépendance à un pôle d’intérêt particulier. Un individu peut bien se targuer de refuser de répondre à toute autorité extérieure, s’il accepte que sa survie dépende en bonne partie d’une allocation provenant d’un pôle d’intérêt particulier, il n’en est rien. (Ce qui n’est pas forcément le cas d’une personne qui vit de mendicité, tant que son revenu est sourcé de manière ouverte, que ses sources spécifiques restent variées, individuellement irrégulières et difficilement prévisibles.)
Merci pour vos réponses (@Charmander, @mamygeek, @Maaltir), sans rentrer dans des tergiversations sans fin, selon quelle définition chacun de nous peut-être à même de faire sienne, ni de savoir si cela repose sur un concept, une théorie, ou je ne sais quoi encore, je me pose la question de la souveraineté de la G1, rapport aux « outils » qu’elle utilise, et surtout le premier d’entre eux à savoir Duniter.
Vu que la V2 est sur le point de voir le jour, comment peut-on s’assurer que les nœuds (blockchain) concernant une « zone géographique locale », pays (France), voire continent (Europe) soient en majorité établis dans cette même « zone géographique ». Existe-il-un organe de contrôle sur ce point précis ?
La nature open source des logiciels garantit une autonomie théorique et une transparence, piliers de la souveraineté citoyenne.
Cependant, la gestion des données à l’étranger introduit une dépendance à des infrastructures hors du contrôle des utilisateurs « locaux », (français, espagnol, etc…) ce qui fragilise cette souveraineté. Pour renforcer cette dernière, il serait idéal que les utilisateurs ou les communautés « locales » déploient leurs propres nœuds et infrastructures localement, afin de minimiser les risques liés à l’hébergement extérieur.
Les règles internationales n’étant pas les mêmes de partout, (règles juridiques, réglementations diverses et variées), admettons que les nœuds se trouvent par pur hasard, majoritairement situés aux Etats-Unis, que peut-il advenir ?
Existe-t-il des garde-fous à ce sujet ?
Merci
Pour te rassurer, les nouveaux forgerons ont besoin d’être certifiés par les autres forgerons.
Tes questions sont fondées.
Concernant les noeuds duniter, @Jean-Pierre.G a déjà répondu.
Pour la blockChain duniter, elle-même, elle est sous copyleft, licence protégée juridiquement par la FSF.
Pour les noeuds hors de France, je ne vois pas quel danger tu soulèves.
De même pour une éventuelle concentration majoritaire (probabilité très faible) des noeuds un danger potentiel n’est pas plus probable qu’en France ou ailleurs.
J’espère t’avoir rassuré ![]()
Merci à vous deux @Jean-Pierre.G et @mamygeek pour ces compléments d’informations.
La question de la « souveraineté », ou de l’indépendance totale à un système se pose encore plus aujourd’hui, qu’hier.
Si la majorité des nœuds de la G1 se retrouvent, un jour, de manière fortuite, par inadvertance, aux États-Unis (par exemple, car la G1 a bien pour vocation de dépasser les frontières ?), cela exposerait la monnaie à des risques juridiques (surveillance, censure, régulations), techniques (pannes, latence, centralisation de fait) et politiques (perte d’autonomie, dépendance à des infrastructures étrangères). Cela compromet partiellement la souveraineté monétaire citoyenne, car les utilisateurs locaux, en l’occurrence, français pour ce qui nous concerne, voire ibérique pour nos voisins espagnols perdraient un contrôle effectif sur leurs infrastructures.
Dans des scénarios extrêmes, la G1 pourrait être rendue inutilisable ou fragmentée. Pour préserver cette « souveraineté » ou indépendance, n’est-il pas crucial de diversifier géographiquement les nœuds et de promouvoir des hébergements locaux par la communauté ?
Maintenant quel est le poids de la FSF (Association française loi 1901), face aux « droits internationaux » ?
La France est riche de ses précurseurs en terme d’innovations, (en tout genre, technologiques, informatiques, agro-environnementales, médicales, etc…), vous en êtes la preuve vivante, le seul problème, c’est comme l’a montré l’histoire à maintes reprises, elle ne sait pas sécuriser ses arrières et « se retrouva vite dépourvue quand les loups sont venus. »
Je comprends tes appréhensions.
Les crypto-monnaies sont effectivement vues différemment selon les pays.
Cependant, elles ne craignent rien sur le réseau. Si cela était le cas, il y a longtemps que le bitcoin n’existerait plus.
Une blockChain ne peut pas être stoppée de l’extérieur.
Le seul moyen de l’arrêter est le manque de forgerons.
Avec la v2, comme l’a indiqué @Jean-Pierre.G , les forgerons auront leur propre TdC, ce qui permet une sécurité supplémentaire.
Par contre, en ce qui concerne la fiscalité, la june est taxable comme toutes les cryptos uniquement au moment du change (30% en France).
Ceci dit, ce n’est un problème que pour ceux qui échangent leurs junes contre une autre monnaie.
Euh, le mot souverain ne me parle pas. Au mieux je pense qu’il s’agit de quelque chose qui concerne le roi, au pire je vois que ce mot a pris ces derniers temps une connotation extrémiste que je n’aime pas, mais pas du tout.
En voilà une définition qu’elle est bonne:
« En général, est qualifié de souverain ce qui ne répond à et ne dépend d’aucune autorité supérieure; ce qui est premier à exercer autorité sur lui-même; ce qui est entier et suprême dans les caractéristiques relevant de sa nature. Ce qui est indépendant, autosuffisant et n’est pas clairement dépassé par autre chose (et ce à la fois hiérarchiquement et fonctionnellement ou de par ses caractéristiques). »
C’est de cette définition que nous parlons ici, n’en déplaise aux empêcheurs de tourner en rond et à celles et ceux qui cherchent le mal là ou il n’est pas. Souveraineté alimentaire, souveraineté individuelle, ça vous parle, monnaie souveraine, qui ne dépend de rien d’autre, qui se suffit à elle-même.
Maintenant celles et ceux qui en sont encore à tergiverser avec « le souverain pontife », ou je ne sais quel autre « Ubu », sont à côté de la plaque.
Dans un logiciel libre, c’est l’utilisateur qui est libre (souverain).
Dans la monnaie libre, c’est l’utilisateur qui est libre (souverain).
Pour les serveurs, il y a eu une discussion sur le forum Duniter, sur la localisation, effectivement, pour s’assurer qu’ils ne soient pas tous dans le même hébergeur/datacenter, de mémoire.
Il y a d’autres critères qui peuvent aider à la résilience du réseau. Le premier critère crucial c’est le nombre, plus il y a de serveurs, plus les restrictions politiques, attaques ou pannes ont un impact moindre.
Tout à fait d’accord. C’est le but de l’opération « devenir forgeron V2 ».
Merci pour ta réponse constructive (Mr Le détective du numérique).
Au plaisir.
Salut @Parrhesia, @vit, @mamygeek et tous les participants à ce fil passionnant.
Votre discussion met en lumière un paradoxe fondamental, peut-être le plus important de notre écosystème : celui de la « souveraineté monétaire ». Vous avez parfaitement identifié la tension entre :
- La souveraineté individuelle, que la Ğ1 nous offre techniquement (le contrôle de nos clés, la co-création du DU).
- La souveraineté collective, qui, comme le dit @Parrhesia, dépend d’un « projet commun » et d’une puissance économique réelle pour ne pas rester un simple « imaginaire ».
La Ğ1 est une condition nécessaire à notre souveraineté, mais elle n’est pas suffisante. Elle est le système d’exploitation souverain. Mais un OS sans applications robustes a une utilité limitée. La question que vous posez tous, à juste titre, est : où sont les « applications » ? Où est le moteur économique capable de financer nos biens communs, d’interagir avec le monde en euros sans y perdre son âme, et de transformer notre souveraineté théorique en une puissance collective tangible ?
Cette question du « comment construire ce moteur » est précisément ce que nous tentons d’adresser de manière pragmatique dans le projet CopyLaRadio / UPlanet. Nous avons passé des mois à concevoir et tester non pas un « nouveau jeton », mais une architecture coopérative et économique complète, conçue pour être la plomberie d’un projet de société.
Pour ceux qui doutent de la faisabilité ou qui craignent, à juste titre, une « couche de complexité en plus » qui nous éloignerait de la simplicité, je vous invite à lire cette réponse détaillée que nous avons formulée dans un autre fil de discussion :
Le Ẑen, un outil de stabilité sur Ğ1 pour nos projets en commun - message #23
Pourquoi ce lien en particulier ? Parce qu’il décrit précisément le « comment » :
- Il explique comment nous utilisons une architecture à plusieurs portefeuilles pour distinguer clairement les revenus des services, les apports en capital et la R&D.
- Il montre comment le Ẑen (et le NEẐ) endosse les 3 rôles de jeton (Utilité, Investissement, Paiement) pour structurer une économie lisible et transparente.
- Il présente un modèle légalement et financièrement résilient, conçu pour « avaler la monnaie dette » et créer une fédération de coopératives souveraines.
Ce que nous proposons, c’est un chemin pour passer de la souveraineté individuelle à la souveraineté collective. Un chemin où chaque membre, en devenant sociétaire, ne possède pas seulement sa monnaie, mais aussi une part de l’infrastructure qui la fait vivre (les serveurs) et une part de la finalité qui lui donne un sens (les forêts).
C’est notre tentative de construire le projet politique et économique que @vit appelle de ses vœux. Un projet où la monnaie libre n’est plus seulement un but en soi, mais le carburant pour bâtir un monde plus résilient.
Au plaisir de poursuivre cette construction avec vous.
Salut @qoop, tu nous parles de:
« nous tentons d’adresser de manière pragmatique dans le projet CopyLaRadio / UPlanet. Nous avons passé des mois à concevoir et tester non pas un « nouveau jeton », mais une architecture coopérative et économique complète, conçue pour être la plomberie d’un projet de société. »
Qui forme ce « Nous », qui sont les membres de ton équipe, combien êtes-vous, vous êtes développeurs, coordinateurs, responsables de projets ? D’autres membres de ce forum font-ils partie du projet ?
Peux-tu nous en dire plus sur ton équipe ?
Est-ce important?
Ou est-ce que c’est peut-être regarder la forme pour ne pas explorer le fond?
Le nombre ne veut rien dire. Toute grande chose est construite par l’infiniment petit, pas par le nombre. Parfois 1-10 personnes font plus avancer le monde que les milliers qui les ont précédé.
Napoleon, par exemple, n’a eu la chance de faire plus d’une demie carrière (prématurément écourtée). On peut bien émettre des jugement quant à l’ortientation de son travail (l’Empire et l’Élitisme Ultime). Mais ce qui est indiscutable, c’est que dans son domaine il est inégalé. Les centaines de milliers de fonctionnaires et politiciens en tous genres qui l’ont suivi sur de nombreuses générations jusqu’à nos jours TOUS ENSEMBLE n’ont pas autant innové que lui sur sa demi carrière. Les grandes lignes du système restent en majeur parties celles qu’il a lancé.
Pareil en toutes choses.
Peut être est il plus intéressant d’explorer l’ouverture et les innovations que UPlanet présente et nous propose plutôt que de chercher les détails de qui est ou sont les batisseurs qui se cachent derrière.
Tout à fait en accord avec toi @Charmander, mais dans l’hypothèse ou le projet vienne à titiller mon intérêt, n’est-il pas raisonnable de savoir qui est derrière ce « nous » ?
Merci qoop pour ce projet fort intéressant :
" Analyse de ce modèle :
- Infrastructure (DePIN) : Le projet est propriétaire de son infrastructure. Les « serveurs » sont les nœuds des Armateurs, des membres de la coopérative. L’argent ne quitte pas l’écosystème pour payer un géant du web.
- Acteurs : Les frontières sont fluides. Un Locataire peut devenir Sociétaire. Un Sociétaire peut devenir Capitaine. Les utilisateurs ne sont pas de simples clients, ils sont des bâtisseurs potentiels.
- Flux de Valeur : La valeur circule. Les loyers des locataires rémunèrent le travail réel des Capitaines et les coûts réels des Armateurs. Une économie P2P existe même via les « likes ».
- Finalité (Triple Impact) : Le but n’est pas le rendement financier. Le surplus n’est pas distribué aux « investisseurs », il est réinvesti de manière transparente selon une règle des trois tiers :
- Trésorerie/Cash-Flow : Pour la viabilité de la coopérative.
- R&D/Maintenance : Pour l’amélioration continue des outils via le G1FabLab.
- Impact Réel : Pour l’achat de biens communs physiques (forêts)."
Il y a un point que je ne comprends pas : dans quelle monnaie se font les « loyers », « achat de biens communs », « surplus réinvesti », etc
Ils sont fait en ẐEN.
Sur UPlanet ORIGIN (bénévole) : 1Ẑ=0.1Ğ1
Sur UPlanet Ẑen (coopérative): 1Ẑ=1€
Ce « nous » sont les adhérents et contributeurs du G1FabLab https://opencollective.com/monnaie-libre
et les nombreux développeurs des logiciels libres que nous utilisons…
J’ai lancé une enquête : ça fait entre 5 et 10 millions de gens.
Détails
Estimation du nombre de développeurs de logiciels libres (GPL) dans le monde
- Le nombre total de développeurs professionnels dans le monde en 2025 est estimé à plus de 47 millions.shiftmag
- Une part significative travaille sur le développement open source. Par exemple, GitHub revendique plus de 100 millions d’utilisateurs, mais tous ne sont pas actifs ou contributeurs à des projets open source.technologyreview
- Parmi les licences open source, la famille GPL (GNU General Public License) reste importante, même si elle n’est plus dominante. Les analyses récentes estiment qu’environ 22% des projets open source utilisent une licence copyleft comme la GPL, contre plus de 50% il y a une décennie. D’autres analyses situent la proportion de projets GPL autour de 25% sur GitHub vers 2015 et 18% pour le GPLv3 +11% pour le GPLv2 en 2018 dans l’ensemble de l’écosystème open source.wikipedia+1
- Si l’on suppose une répartition similaire parmi les développeurs actifs, cela signifie qu’environ 20-25% des développeurs open source contribuent à des projets sous licence GPL. On peut donc estimer entre 5 et 10 millions de développeurs contribuant d’une manière ou d’une autre à des logiciels libres sous licence GPL, compte tenu de la marge d’erreur et de la définition large du « contributeur » (de l’auteur principal au testeur ou documenteur).
Estimation de la valeur du travail bénévole des développeurs de logiciels libres
- Une étude de Harvard Business School (2024) estime la « valeur côté demande » du logiciel open source à 8,8 trillions de dollars (soit environ 8 800 milliards $), c’est-à-dire ce que les entreprises devraient dépenser en développement logiciel pour obtenir l’équivalent de ce qu’offre aujourd’hui l’open source. Cette valorisation prend en compte le libre accès, la mutualisation et la réutilisation massive des briques logicielles.wikipedia+3
- Selon la même étude, la « valeur côté offre » (le coût de production, ou ce que cela coûterait de rémunérer ce travail) du logiciel open source s’élève à 4,15 milliards $. Cela représente essentiellement la valeur cumulée du temps de travail investi par les contributeurs (du développement à la maintenance, en passant par le test et la documentation).hbs+1
- Les analyses montrent que près de 96% de tous les logiciels contiennent des briques open source, ce qui témoigne de leur poids économique réel, même si la majeure partie de ce travail reste non rémunéré directement.news.ycombinator
Résumé chiffré
| Indicateur | Estimation (2025) |
|---|---|
| Développeurs professionnels mondiaux | 47 millionsshiftmag |
| Proportion de développeurs open source (environ) | 20-25% |
| Développeurs actifs sur des logiciels GPL (estimation) | 5 à 10 millions |
| Valeur « coût de production » annuelle de l’OSS (supply) | 4,15 milliards $hbs+1 |
| Valeur « potentiel économique » de l’OSS (demand) | 8,8 trillions $wikipedia+3 |
Points clés
- Plusieurs millions de personnes à travers le monde participent activement au développement de logiciels libres, dont une large part sur des projets sous licence GPL.
- Bien que la majorité de ce travail ne soit pas rémunéré, sa valeur économique potentielle pour la société et les entreprises se compte en milliards, voire trillions de dollars chaque année du fait des économies réalisées et de l’innovation permise.
- Le logiciel libre est considéré comme un pilier essentiel pour l’économie numérique et la souveraineté technologique mondiale.
- https://shiftmag.dev/there-are-47-million-developers-in-the-world-5200/
- https://www.technologyreview.com/2023/08/17/1077498/future-open-source/
- https://en.wikipedia.org/wiki/GNU_General_Public_License
- https://www.pingcap.com/article/understanding-gpl-license-simple-terms/
- https://en.wikipedia.org/wiki/Open-source_software
- https://news.ycombinator.com/item?id=43432670
- https://www.hbs.edu/ris/Publication%20Files/24-038_51f8444f-502c-4139-8bf2-56eb4b65c58a.pdf
- https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=4693148
- https://www.jetbrains.com/lp/devecosystem-data-playground/
- https://www.statista.com/statistics/1419477/open-source-projects-adopted/
- https://www.griddynamics.com/blog/number-software-developers-world
- https://www.future-processing.com/blog/how-many-software-developers-are-there-in-the-world/
- https://www.linkedin.com/pulse/open-source-software-development-pros-cons-testrigor-qompf
- https://klarasystems.com/articles/gpl-3-the-controversial-licensing-model-and-potential-solutions/
- https://github.blog/open-source/maintainers/open-sources-impact-on-the-worlds-100-million-developers/
- https://www.turing.ac.uk/blog/open-source-software-why-it-matters-and-how-get-involved
- https://radixweb.com/blog/software-development-statistics
- https://www.arnia.com/why-open-source-software-is-key-to-innovation-in-tech/
- https://www.gnu.org/licenses/gpl-3.0.html
- https://www.reddit.com/r/opensource/comments/1ci65rr/developers_are_afraid_to_use_the_gpl_license_for/
Avec UPlanet ẐEN, on pourra enfin nous rémunérer, en réclamant simplement une PAF (participation aux frais), ce que chaque relai Astroport indique à ses utilisateurs…
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