Service Public G1 Montreuil (cleisme)

Il y a une contradiction que je ne comprends pas très bien:

Sur la page d’accueil du site il est écrit:

Axe 2
Problèmes
multiplication des niveaux de pouvoir.
trop grande influence de l’économie sur les décisions politiques.

Réponse
Structures politiques
appliquant la sociocratie
avec les citoyens.

Un Service Public Libéré
du financement lié à l’économie
plus de taxes plus d’impôts

Mais plus loin sur une autre page, quand la gouvernance est expliquée, il est écrit:

L’organisation de la société gère les dépenses de chaque niveau du Service Public.

Le financement est adapté à chaque niveau en fonction du nombre d’habitants et des besoins spécifiques.

L’organisation démocratique est constituée de permanents directement élus pour 5 ans au suffrage universel, ils assument la gestion courante.

Les décisions sont exécutées par les délégués temporaires désignés en Assemblées générales citoyennes ouvertes dynamiques ( voir organisation sociétale)

Il y a une contradiction avec ce qu’est la sociocratie…

Pour éviter la polémique et tenté de répondre plutôt à votre questionnement
N’oubliez pas que nous avons un rendez-vous tous les jeudis dès 19h

Nul ne détient une vérité, mais c’est l’ensemble des humains qui la construisent temporairement à leur échelle.

Mes propos sont une piste, une direction à nous de la co-construite, car c’est notre destinée que nous construisons.

Trois parties

Ne pas intégrer le financement du commun direct en DU# pour ma part est retombé dans le capitalisme et la lutte stérile gauche droite écologie. Il y a urgence à d’autres logiques.

L’organisation de la démocratie

La ligne directrice des produits et Services AAA

1DU=1/4 DU#

Ici je parle de la démocratie

Ne nous divisons pas trop sur l’organisation de la démocratie, car pendant le temps de nos discussions, serte utiles, notre monnaie libre restera dans une certaine sphère de la population comme les systèmes d’échanges alternatifs, alors qu’elle pourrait être réellement un progrès pour l’humanité.

Les niveaux de pouvoir proposés sont proches de notre compréhension du monde et nos cultures

Commune, région, interrégion, monde. Chaque niveau est accessible à tout citoyen pour une participation politique.

Chaque niveau à des compétences naturelles non redondantes proche du citoyen

L’organisation d’une démocratie réelle est très simple à petite échelle (sociocratie par exemple).

Il y a deux types de décisions : les urgentes et celles de la réflexion.

Les urgentes sont dues à l’imprévoyance (en mer il y a trois sécurités redondantes en ce qui me concerne cela à un coût, mais je suis en vie) pour le corona, pas de masque de gant adéquat et pas d’unité de production disponible ?

Dans l’urgence, il n’est pas possible de demander l’avis de tout le monde. C’est pourquoi je propose dans le Cléisme que ce soit des permanents élus au suffrage universel obligatoire pour une période de 5 ans. Ces candidats doivent être présélectionnés pour leur capacité avérée à la décision (avec une équipe multidisciplinaire) (formation examen …… pas des beaux parleurs)

Pour les sujets de réflexion politique :

Avant tout pour tendre à une réelle démocratie, il faut que tout citoyen puisse être dans quatre « conditions » de base.

1 que les personnes soient libérées de toute angoisse du demain (accès à un SPL de qualité, l’ eau, une nourriture saine , un toit et un travail).

2 qu’elles puissent accéder à la connaissance et l’éducation à la critique (enseignement et formation gratuite accessible toute sa vie)

3 que l’information soit neutre donc complète contradictoire et sur le même pied d’égalité (presse libre financée par la société)

4 q’une partie de l’éducation intègre une participation obligatoire à la chose publique réelle.

Maintenant Il y a des personnes qui s’intéressent à la chose politique, mais ce n’est pas le cas de tout le monde à l’heure d’aujourd’hui, car ce n’est pas l’organisation de notre société…

D’après certaines personnes, il faudrait que tout le monde vote et d’autres acceptent qu’une représentation statistique de la population prenne les décisions. Mais tous voudraient que les décisions soient mises en application.

La première chose avec le Cléisme c’est qu’il y disjonction en des décisions politiques et l’économie. Le financement du SPL et l’écologie sont libres et indépendants de l’économie, il est attaché à l’existence de la personne.

La monnaie libre # est un choix libre d’une société sans taxe ni impôt qui donne à tous un maximum de bien commun sans tomber dans un type de « communisme », car chacun est libre d’entreprendre avec une seule direction définie améliorée les services et objets pour qu’ils répondent au plus haut degré AAA A-Circularité, A-biodiversité, A-respect de l’humain.

Pour la démocratie participative

Je propose un mixte. Les personnes qui souhaitent participer à la chose publique peuvent intervenir pour exprimer leur point de vue afin de construire l’information de base à la décision.

Les décisions sont prises par des personnes non politisées tirées au sort renouvelées en permanence (devoir civique).

Les pétitions sont utilisées pour accélérer des objectifs de sujets qui préoccupent une partie de la population.

Dans des circonstances exceptionnelles, des votes obligatoires de toute la population peuvent être organisés sur base de différentes propositions minimums trois avec ordre de préférence lors du vote!

Cette logique peut être mise en application indépendamment du système politique actuelle. Nous avons tous les outils.

N’oublions pas que le DU est politique

Nous pouvons décider ensemble de financer ce qui nous semble utile à notre société. Car les DU sont là. Il ne faut pas quémander comme maintenant, car cela est possible actuellement vu les millions qui dorment sur les comptes au lieu d’être utilisé ?

Utiliser le DU# c’est une décision personnelle en attendant une décision collective c’est du net d’impôt comme le SPL la transition et la sécurité sociale seraient déjà financées comme je garde 7,5DU et donne 22,5DU tous les mois.

Les états devront être obligés au débat public. et par notre logique du Cléisme, ils auront difficile à nous contrer

Pour cela il faut que nous parlions de l’avantage fondamental du DU1 et le Cléisme = DU#

Pour faire avancer le débat et nous protéger, nous proposons au niveau mondial que soit constitué un mouvement AAA qui a comme objectif l’usage de la DU# chose que j’essaie de mettre en place en Belgique au travers d’un mouvement politique déjà présent aux dernières élections « Collectif Citoyen » dont je suis un membre actif.

Qui y trouve un intérêt?

Tout commerçant peut comprendre l’intérêt brut= net

Pour nous une heure contre une heure sans travail au noir

Pour chacun d’entre nous l’existence d’un SPL la sécurité sociale et le financement de la transition tout cela de qualité et inconditionnel.

Rem : tout ceci n’est qu’une proposition. Elle a pour but de proposer une alternative à l’aristocratie populaire représentative contrôlée par le mode de création monétaire actuel qui nous envoi dans le mur même si certain commence à A mais uniquement si c’est rentable or c’est urgent.

Je ne pense pas que la question que j’ai posée va vers une polémique, je trouve que ça questionne une base importante de tout mouvement.

Sur la démocratie il y a des expériences utiles, à Saillans dans la Drôme, à Charleroi en Belgique, dans des usines reprises par ses salariés, etc…
Il y a des gens qui bossent dessus, qui la pratiquent au quotidien, il y a des sociologues, des spécialistes de la souffrance au travail, des médiateurs… j’ai discuté avec certain-e-s.

La monnaie libre est un mouvement varié permettant des pratiques locales différentes, c’est une très bonne chose. C’est un espace libéré ouvert à l’expérimentation sociale et économique.

Sur l’urgence.

Ça tombe bien je travaille dans le domaine.
Je livre quotidiennement des urgences médicales. La vie de personnes dépend de mes trajets, parfois sans que je le sache, parfois en croisant les personnes concernées, parfois la personne est sur le billard et le chirurgien attend le résultat.

Quand il y a un problème (accident, retard, autre), qui décide?
Le patron?
Non.
Celui ou celle qui décide c’est la personne qui a le plus d’informations sur la situation et qui est joignable, tout simplement. Sinon on aurait trop d’aller-retours téléphoniques, et ce temps de discussion serait du retard en plus. Quand chaque minute compte, il vaut mieux faire comme ça…

Non, l’urgence n’est pas due à l’imprévoyance. Il y a toujours une part d’imprévu…

Donc dans l’urgence, il faut surtout demander aux personnes informées et compétentes, et à ceux et celles qui savent gérer l’urgence.
Ça s’apprend, j’étais pas la meilleure personne pour ça, ma mère par exemple gère bien mieux l’urgence vitale que moi.

La coronahistoire a bien montré que les ARS (Autorités Régionales de Santé) ont été à certains moments complètement à côté de la plaque et ont pris de mauvaises décisions.
C’était parce que l’organisation du pouvoir n’a pas donné la parole aux personnes les mieux placées pour décider, celles qui étaient informées et sur le terrain.

Ce ne seront pas des permanents élus qui pourront décider dans des situations d’urgence pendant 5 ans.
Un modèle plus souple et plus pragmatique sera bien mieux, et bien plus démocratique si on prend le temps de former les gens et les intégrer dans la rotation des tâches.

Dans mon boulot je n’ai jamais fait le standard téléphonique (poste très important). Mais j’ai plusieurs fois relayé des appels ou demandes à des moments très importants, et mes patrons ont fait tourner ce rôle de standard à de nombreuses reprises (se retrouvant donc aussi sur le vélo et sans cette charge en plus).

Pour ma part j’aime bien le communisme, sa version anti-autoritaire pour être précis. Et c’est très bien si des gens organisent librement des communautés communistes et les font vivre dans le concret.

Il y a besoin de biodiversité des idées et des modèles politiques.

Je suis politisé (au sens « noble » du terme). Pourquoi je ne ferai pas partie d’un tirage au sort selon le cléisme?

On peut aussi tirer au sort à cette étape, non?

?

En fait il y a énormément de choses à dire sur les histoires de gouvernance, ce n’est pas un détail.

Il s’agit des fondations d’un mouvement, il faut prévoir beaucoup de choses, penser à des garde-fous, à des mandats impératifs, à des votes révocatoires, au tirage au sort, à la prise de décision par objections successives, aux roulements et à la polyvalence, à l’information qui se construit avec différents points de vue critiques, au soin apporté aux personnes impliquées, etc…

Cette année 2020 a été pour moi une année pleine de ce type de réflexion, j’ai vu des fusées exploser au décollage (des mouvements sociaux et politiques qui se sont cassés la figure).

Tout cela, il faut en tirer les leçons, je ne suis pas dupe sur les possibles biais, corruptions, dévoyements, infiltrations, etc… qui peuvent arriver si les structures de base et l’organisation ne sont pas bien pensées au départ.

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Ils doivent arriver a une décision collégiale l’élu est l’organisateur formé et comme tu le dit les personnes qui sont sur le terrain doivent être intégrer et un travail d’équipe avec différent profil cette structure doit s’organiser en permanence pour acquérir une expérience.
je pense que nous sommes dans la même logique et nous devons la co construire pour atteindre notre but c’est une cohésion social ou chacun se sent respecté entendu et apprécié pour sa diversité. (ok pour la rotation afin de comprendre l’autre)