Réserve de valeur... Achat d'or avec des G1

Le patrimoine hérité en ğ1 perd de son poids relatif avec le temps à la même vitesse que la ğ1se créée par les membres vivants inconditionnellement.
Il n’y a donc pas l’inequité de la monnaie non libre ici . À savoir que l’héritage en monnaie non libre permet d’en créer au détriment de ceux qui l’utilisent alors qu’ils ne bénéficient pas d’heritage.

La monnaie n’a aucun pouvoir sur le patrimoine, son mode de production en a sur l’équité de sa distribution. Pour le patrimoine c’est à la politique de le réguler spatialement et temporellement. La June n’est pas une panacée.

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Il ne faut pas faire porter sur la monnaie les problèmes non-monétaires. Prenons 3 exemples : 1°) un secret de fabrication bien gardé 2°) 1kg d’or 3°) Un terrain, ces 3 éléments sont parfaitement indépendants de la monnaie, valeur économique de référence choisie pour les mesurer, par exemple la Ğ1, ou une autre monnaie.

Leur mesure par contre ne sera pas comparable selon l’individu choisi pour les mesurer d’une part, ni même selon la monnaie choisie pour les mesurer d’autre part.

De la même façon considérons le choix d’une unité de distance telle que le mètre défini comme 1/40000000 de la circonférence terrestre, le choix de cette mesure est un choix finement établi du fait que sur une sphère on peut retrouver une même longueur avec la même expérience, partout (ex : expérience d’Erathostène). Mais ce choix de mesure ne dit absolument pas a-priori quelle sera la hauteur choisie pour a) la construction d’un immeuble, b) celle d’un arbre, c) celle atteinte par un champion de trampoline.

Par contre si je choisis comme unité de mesure quelque chose de moins élégant, ne possédant pas de bonne propriété d’invariance, comme étant le diamètre local de ballons disséminés partout que certains hommes X peuvent gonfler ou dégonfler à loisir selon où ils se trouvent, en choisissant le bon gonflement des ballons selon les endroits, je pourrai trouver que la hauteur atteinte par le champion de trampoline sera plus haute dans cette mesure là que celle de l’immeuble, que celle de l’arbre, ou n’importe quel ordre, dans n’importe quel rapport bien choisi par qui maîtrise les ballons unités de mesures. L’une des mesures vaudra 10 000 diamètre, quand l’autre vaudra 0,5 diamètre, et alors que je n’ai pas précisé que ces ballons n’étaient pas invariants entre eux.

Ce problème donc du choix de l’unité de mesure est crucial pour la mesure des 3 hauteurs.

Mais le choix de l’unité de mesure n’influe pourtant en rien les hauteurs des 3, et on ne peut pas même parler de hauteurs si l’on a pas précisé l’unité de mesure (et donc le référentiel), notamment on a pas idée de ce que serait la mesure si l’arbre était dans l’immeuble et le trampoline sur le toit de l’immeuble, voulons nous en effet mesurer relativement au sol, ou mesurer relativement à l’état initial de chacun des trois ? Sans être précis sur le référentiel d’une part et le phénomène mesurable d’autre part, tout type de résultat est possible.

Pour bien mieux comprendre ce point je vous invite à étudier donc la TRM, et pour commencer tout simplement l’inexistence du théorème de Pythagore et pour cela faire un petit tour ensuite du côté de Poincaré.

Celui qui a bien compris ce point ne mélange donc pas tout, il sait bien distinguer l’espace géométrique d’une part des figures géométriques d’autre part, et ne confond pas plus la valeur économique de référence choisie pour monnaie d’une part des valeurs économiques tierces d’autre part. Ainsi il ne fait pas porter sur les unes les désidératas projetés sur les autres.

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Tu viens donc de prouver qu’il n’y a ni riches ni pauvres en biens, bravo !

Une autre question Ceclic ? :stuck_out_tongue:

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En vrai, c’est pas parce que ya pas d’invariant pour estimer la valeur des possessions d’une personne pour la comparer à la valeur des possessions d’une autre personne qu’aucunes réflexions n’est possible sur la question du patrimoine transmis par héritage.

Bien sûr que je suis d’accord, qu’on ne peut pas chiffrer convenablement les possessions de quelqu’un, que « la valeur » d’une maison n’est pas celle de sa surface multiplié par le prix moyen du mètre-carré vendu des autres maisons aux alentours, que la valeur d’une voiture ou autre ne dépend pas de son prix d’achat moins l’amortissement sur x mois ou autre, etc… sans parler qu’une personne est aussi riche de son carnet de connaissances, compétences, idées, d’expérience de voyages etc… et que tout ça est encore moins mesurable …

Mais on peut quand même juger, en tout cas sur les possessions, qu’une personne en location avec peu de meubles à lui est plus « pauvre » que quelqu’un qui à plusieurs maisons avec d’immenses terrains, plusieurs voitures, ordinateurs, pleins de meubles, et surtout de nombreux placements financiers tel que des parts d’entreprises, bref, pleins de choses revendable à un prix élevé.

Et dans ce deuxième cas contrairement au premier, une bonne partie de ces possessions sont transmis par héritage, et vu que ces placements financiers rapportent, ils permettent aux héritiers de vivre majoritairement voir exclusivement de revenus de capital, donc sans bosser, et que cet avantage est lui même re-transmissible par héritage. Et ce constat inquiète foule d’individus. D’où la question.

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« on » n’engage que lui.

Question totalement indépendante de la Ğ1, mais fortement intriquée avec l’utilisation d’une monnaie-crédit, dont l’émission conforte arbitrairement une certaine idée de la mesure.

Cf exemples ci-dessus, les architectes de l’immeuble, les juges du concours de trampoline, les tenants d’une transaction sur le secret de fabrication, tous les trois auront fortement intérêt à compenser d’une manière ou d’une autre les effets indésirables subséquents à l’utilisation d’un champ de ballons arbitrairement gonflés ou dégonflés comme unités de mesures, afin d’obtenir des comparaisons de mesures plus adéquates.

Mais quant à prétendre que l’utilisation des ballons arbitraires n’aurait aucune influence sur la compensation à effectuer ici ou là dans les mesures, ce serait comme dire que d’utiliser le mètre ne permettrait pas de les éviter.

Qu’ensuite l’utilisation du mètre n’empêche en rien que les hauteurs soient différentes, oui c’est un fait, même en utilisant le mètre on obtiendra des hauteurs différentes.

Mais quant à prétendre que de ce fait ça ne sert à rien d’utiliser le mètre, il y a un pas que l’homme honnête ne franchira pas.

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Encore une fois c’est relatif à la personne, cette assertion est donc fausse.

Ainsi la personne détenant tous ces biens peut se sentir pauvre relativement à un autre qui en possède plus encore, Alors que celui qui ne possède rien parce qu’il est pauvre en besoins, s’estimera amplement assez riche en avoirs…

Ainsi en va t’il de cette têtue relativité. La richesse n’y faisant pas exception.

Lors de la dernière rencontre « blockchain in Toulouse », le thème des 3 minis confs discussions etait « fiscalité des cryptomonnaies et cybercriminalité ».
Les intervenants etaient des juristes en droit fiscal , doctorants , en master et agent de police de l’Etat expert en cryptomonnaies.
La conclusion de ces entretiens est que les cryptomonnaies ne sont pas de la monnaie-fiat et que à ce titre elles ne peuvent être taxées que lorsqu’elles sont échangées avec de la monnaie-fiat.
Le bénéfice commercial taxable en monnaie-fiat concerne l’achat de monnaie-fiat, cette logique semble embêter certains individus qui détenteurs de cryptomonnaies non-libres n’envisagent pas de les utiliser pour echanger des biens et services mais pour spéculer à l’achat de monnaie-fiat.
Alors que pour le coproducteur de DU de Ğ1 et utilisateur en développement que je suis, l’objectif n’est justement pas d’acheter de la monnaie-fiat avec, tranquille.

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Donc le patrimoine n’existe pas car ya pas moyen de le mesure ?

Bon, ok, essayons autre chose :

Au lieu de parler de patrimoine, et de quelqu’un qui serait pauvre ou riche en biens, vu qu’on ne peut rien mesurer et comparer, parlons plutôt :

  • d’un travailleur qui vit grâce à son revenu du travail
  • d’un actionnaire qui vit grâce à son revenu du capital

Ne comparons plus ce que deux personnes ont, comparons plutôt un « riche » actionnaire qui à un revenu du capital qui pourra être transmis via l’héritage, et un « pauvre » travailleur n’a qu’un revenu du travail non transmissible.

C’est bon, on peut maintenant participer ensemble à la discussion ? :stuck_out_tongue:

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Je n’en suis pas sur.
J’ai tout quitté en 2013, J’ai laissé derrière moi une maison, le mobilier la tondeuse à gazon, et payé tous les frais de notaire et de cadastre. Je n’ai aujourd’hui que ma voiture, je suis locataire de mon appartement. Et depuis que je suis en age d’estimer la richesse de ma vie, je dois bien avouer que je ne me suis jamais senti aussi riche. :slight_smile:

Alors l’actionnaire riche, le propriétaire riche, ou le locataire riche, pour moi richesse n’a pas d’autre valeur que d’être satisfait de ce que j’ai. Ce qui ne m’empêche pas d’avoir des désirs. Mais ils ne sont pas forcément matériels. par exemple la tout de suite je dirais que ne pas avoir d’emmerdes est une situation de pure richesse.

Évidemment si j’avais froid, ou faim, je n’en dirait pas autant. mais je n’ai pas ce genre d’ennuis, donc je suis un pauvre riche ou un riche pauvre à ta convenance.

Je ne cherche pas à esquiver ton raisonnement. mais j’ai connu un homme avec des voitures de sport au prix de 10 ans de mon salaire, et dont la misère était d’avoir un fils camé qui le détestait. Le pauvre homme…

Il avait tellement voulu s’enrichir pour ne manquer de rien, que son fils avait manqué de lui…

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Merci Jean.

Pauvres riches… Être contraints de croire que la valeur des choses ne se mesure qu’à quelques considérations comptables ! Tristesse.

Le délire mystique dont font preuve, chaque jour un peu plus, les toxicos de la croissance, dans leur violence, dans leur jusqu’au-boutisme délirant nous le confirme, malheureusement, chaque jour un peu plus.

Alors, pour nous qui cherchons à ouvrir d’autres voies, à expérimenter d’autres possibles : s’il était une richesse… Serait-ce celle d’être libre de se considérer « bien comme ça » ?

Modestement, en tentant d’être clairvoyant, j’ai tendance à y croire.

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Sans faire de philo à deux balles le patrimoine est une illusion. On ne possède rien, on l’emprunte à nos enfants, (je sais plus de qui c’était, Cousteau peut être…)

L’erreur est de croire que la terre nous appartient. Tout comme de stupides moustiques pourraient se croire propriétaires des humains, sous prétexte qu’ils en exploitent le sang.

La terre sera la bien après notre passage d’exploitants avides. Et si elle le pouvait elle rirait bien d’apprendre qu’une espèce arrogante a cru la posséder en plantant des drapeaux ici ou la…

La monnaie pour moi n’est pas un moyen d’avoirs pérennes, mais seulement un moyen d’échanges temporaires (comme le temps d’une vie),

Tout ce qui restera véritablement de nous, c’est l’état dans lequel on laissera la planète pour les suivants.

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Mon message d’avant dit d’oublier les histoires de patrimoines pour s’intéresser à une nouvelle situation, celle de deux personnes qui ont une source de revenu différente, et tu reparles de patrimoines et de richesses : on dirait bien une esquive :stuck_out_tongue:

Du coup vous allez maintenant me dire que le revenu n’existe pas non plus ?

Après effectivement ton histoire et ta remarque philosophique sont sympa à lire :slight_smile:

Et si je fixe le moyen d’estimation et de mesure d’un patrimoine, genre la mise aux enchères de l’intégralité des biens physiques à un même instant t à une même communauté, on ne peut toujours pas dire que celui qui n’a qu’une table gagnera moins de G1 que celui qui a plusieurs maisons/voitures/placements financiers ?

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Pas plus en effet. Exemple A 2 litres d’eau de revenus exemple B 1 litre d’eau de revenu. A vit en ville et B dans le désert, A s’estime très pauvre et B très riche, pourtant la mesure indique l’inverse.

C vit aussi dans le desert et a 10 litres d’eau de revenus, mais B sait se contenter de 1, et estime les 9 supplémentaires superflus, et donc l’effort fourni par C comme inutile et donc appauvrissant. B reste ici encore plus riche que C bien que la mesure indique l’inverse.

Illusion du nombre…

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Ouai pas de soucis la dessus.

Après je cherche pas à quantifier ce revenu pour le comparer, juste dire qu’il peut avoir deux sources différentes qui impliquent ou pas des choses. Le revenu existe quand même !

Et je dis que même si on peut pas mesurer en absolu un patrimoine, il existe quand même. Et que si je choisi et fixe le moyen de l’estimer, on peut maintenant le comparer, sans oublier les biais qu’implique le choix de l’estimation.

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On parle bien de celui qui avait tout investi dans les DotCom en février 2000, c’est bien ça ?

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Ceci dit, essayons de répondre à la question :

J’imagine que le problème est celui qu’une partie de la population peut vivre d’un revenu du capital, sans travailler, et que ce revenu étant transmissible à une descendance, il divise les gens entre deux « castes » héréditaires :
celle des gens qui travaillent et celle des gens qui profitent de leur revenu du capital.

Déjà, est-ce que ce problème existe ?
Egalement, est-ce qu’utiliser une monnaie-dette ou une monnaie libre change la donne ?
Ma réponse personnelle :

Si quelques uns s’enrichissent via la mise à disposition de service gratuit ou la vente de services ou de biens, et que vous utilisez/achetez vous même ces services ou ces biens, vous ne pouvez vous en prendre qu’à vous même, non ?
Certains grosses boites fournissent gratuitement des réseaux sociaux, messageries, vidéos… et accumulent des richesses (souvent via la publicité).
Mais on a jamais obligé personne à créer un seul compte ou à utiliser ces services (et à regarder leur publicité) à ce que je sache.
Si vous êtes inquiet de cette accumulation de richesses, arrêtez tout simplement d’y participer.

Maintenant, pensez-vous avoir le droit de décider si vos semblables peuvent participer à certains accumulations de richesses réalisés par d’autres ?

Le vrai problème est, je pense, quand vous n’avez pas le choix de participer à cette accumulation de richesses.
Aujourd’hui on m’oblige, par la menace de forces physiques, à subventionner un grand nombre d’associations de personnes et entreprises, et je participe contre mon gré à leur accumulation de richesses que je ne souhaite pas.
On a donc des accumulations de richesses qui passent par des rentes permises et garanties par des lois imposés que je penses illégitimes.

Les familles riches qui restent riches sont souvent celles qui sont bien en conivence avec le pouvoir en place qui interdit leur conccurence et qui leur garantit des contrats avec de l’argent imposés.

Maintenant, concernant les accumulations non garanties par des lois, vu que les gens peuvent à tout moment arreter d’y participer, leur survie passe souvent par une prise de risque perpétuelle pouvant amener à leur disparition :
A tout moment ce capital peut être mal investi, mal géré, ou tout simplement consommé. Également, via l’héritage, ce capital peut en plus être divisé entre les descendants.

Prenez le classement des plus grandes richesses du monde : les plus riches d’aujourd’hui ne sont pas les descendants des plus riches du siècles passés.

Maintenant, revenons au coeur du sujet : et le choix de la monnaie dans tout ça ?

Et bien dans une monnaie-dette, celui qui émet la monnaie contre un interêt peut s’acheter ce même pourcentage de l’intégralité des biens et services produit par la communauté qui utilise sa monnaie émise.
En accumulation je vois pas mieux ! Je gère un système comptable et j’me paye x% de l’ensemble des biens et services produits.
Je peux également décider de ne pas dépenser tout l’interêt, obligeant les gens de la communauté à s’endetter encore plus.
Je peux également manipuler cette création monétaire pour provoquer artificiellement de la rareté monétaire pouvant causer banqueroutes, ce qui me permet de racheter des biens à pas cher, accumulant toujours plus.

Avec une monnaie libre, rien de tout ça, tout simplement :slight_smile:

Vu que dans un référentiel masse monétaire si je suis au dessus de la moyenne je perds relativement en monnaie, rien ne m’empeche d’investir ma monnaie de maintenant pour esperer un revenu futur.
Et un investisseur utilisera cette monnaie de maintenant pour commencer son projet, monnaie qui devient un revenu pour d’autres etc…
Faisant de la monnaie un simple objet comptable de flux à un instant t et non de stock, car la monnaie c’est bien pour simplifier des échanges qui sont des flux à des instant t, et pas des stocks :slight_smile:

J’ai bon ? On est d’accord / pas d’accord sur quoi ? ^^

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Oui, comprendre qu’il est relatif ne signifie pas qu’il n’existe pas.

Non. Si TU choisis une unité de mesure pour l’estimer, TU peux le comparer. Quant à prétendre que TA comparaison fondée sur TON unité de mesure soit valable pour un « on » indéfini, cette croyance n’engage que toi.

Le passage du « je » au « on » est ici le biais fondamental.

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D’une certaine manière l’héritage est une variable « optionnelle »

Au fond toute l’Histoire des sociétés, communautés etc a été et sera certainement toujours une histoire de lutte.
Une personne individuelle ne peut réaliser ce que construit un collectif de la même manière qu’un collectif ne peut mettre en œuvre ce que concrétise un seul être.

On peut parler du prisme de la « Propriété » par exemple (extrait du Manifeste du Parti Communiste de 1895 par Marx et Engels)

Non

C’est intellectuellement très faible, c’est du 0 ou 1, la compréhension du calcul différentiel introduit par Newton et Leibnitz n’a pas été intégrée et encore moins comprise.

Or et c’est un fait que chacun peut vérifier par lui-même, le flux est bel et bien encore et toujours là.

Ce qui revient à tenter d’appliquer le paradigme de Ptolémée pour parler de Galilée. Autrement dit analyser le vivant avec le vieux et le mort.

Ce principe vieux comme le monde (principe réactionnaire) consiste à croire à la fin d’un temps, sans avoir réalisé qu’il n’y a pas de fin, mais une Ğfin.

Or et c’est un fait vérifiable par soi-même, le flux est bel et bien encore et toujours là.

Qui ne sait donc mesurer, estimer, comparer un flux ne peut donc prétendre avoir compris le début du commencement de la TRM.

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