une amie à Lodève se lance dans la création d’une boutique qui acceptera la Ğ1, souhaitant faire cela en restant dans la légalité vis à vis de l’état dont elle fait partie (la France), elle s’est renseignée auprès des services compétents.
Leur réponse est qu’elle doit adresser un Rescrit pour demander aux autorités compétentes quel est le taux de convertibilité de la G1 en UNL de l’état concerné. Ce qui s’est déjà fait pour toutes les autres cryptos accepter par des commerces sous juridiction française.
Je suis d’avis qu’elle doit évidemment le faire, et que de toute façon ce sera fait tôt ou tard, elle souhaite cependant avoir l’aval du reste de la communauté Ğ1 avant de se lancer.
Elle précise également, que tout les professionnels sous juridiction française qui acceptent actuellement la Ğ1 (moi y compris) sommes dans l’illégalité pour travail dissimulé. Ce qui en soi n’est pas bien grave vue le caractère anecdotique de nos revenues en Ğ1, mais plus nous attendons et plus les risques encourues deviendrons important.
Pour moi c’est un non-sujet, chaque utilisateur de la Ğ1 étant libre de faire allégeance a tel ou tel juridiction et donc de se plier a ses règles, cela ne concerne en rien la Ğ1 et en peut pas lui nuire. Je ne fais ici que le relais de la demande de Anne, car elle a rarement accès a internet
Je précise également que cette demande est enfin l’occasion de mettre un terme a l’hooliganisme anti-convertibilité que je suis toujours choqué de lire ça et là sur les forums ou sur les réseaux sociaux, toute valeur économique a toujours été et sera toujours convertible en toute autre valeur économique du moment qu’il y a des agents économiques prêt a faire l’échange, cela est inévitable
C’est clair qu’il va falloir crever l’abcès et obtenir une position claire concernant les intentions de ceux qui aujourd’hui dominent notre monde, et accessoirement l’économie. Après, chaque individu agira en conscience avec la Ğ1 et selon ses propres convictions au regard de ce que l’on nomme « liberté »
Contrairement aux monnaie complémentaire locales à taux de convertibilité garantie, je doute qu’un rescrit puisse acter quoi que ce soit en la matière, le taux étant fonction de l’offre et de la demande, bref de qui est prêt à convertir combien de l’un en l’autre (et en a les moyens).
Les retours que j’ai eu (dont j’attends confirmation ou infirmation lors des conf de ce soir), c’est que pour les entreprise acceptant des crypto, il leur est demandé d’indiquer « LE taux de change » au moment d’émission de la facture, pour pouvoir quantifier en UNL, ce qui va être reversé à l’état.
En Ǧ1, les volume d’échange inter-monnaies me semble bien trop faible (ou invisible avec les outils actuels) pour pouvoir établir un taux de change à un instant T, donc l’approche ne me parais pas encore viable.
J’aurais donc tendance à mettre la part de Ǧ1 destiné au charges et impositions aux enchère, et versé le résultat aux services officiels. Cela reviendrais de mon point de vu à leur fournir « au taux de change du moment », mais je n’ai aucune idée de s’il le verrais de la même manière.
Du coup, si je devais demander un rescrit, j’aurais tendance à l’orienter plutôt vers cette optique, réalisable techniquement, que sur une un taux de convertibilité sur le quel l’état aurais du mal à s’engager, à moins d’en faire indirectement une monnaie reconnu par l’état en cela qu’accepter de la part de l’administration fiscale de donner un taux de convertibiltié à la Ǧ1 signifierai de mon point de vu, devoir honorer ce taux contre des UNL, ou a défaut accepter les Ǧ1.
Bref, tant de suputation, je reviendrais avec j’espère plus d’info après les conf de ce soir.
Concernant cet Etat et ce Droit particulier, je suis sûr que c’est faux. Le principe qui a été retenu en général et concernant toute valeur économique est le prix moyen constaté sur une durée donnée dans un marché donné.
Autrement dit ce qu’on nomme sur les marchés la « moyenne mobile », ou « prix de pleine concurrence » pour l’administration.
Autrement dit lors d’un achat en Ğ1 de barrettes mémoires DDR3, on regardera le prix moyen constaté de l’objet échangé en UNL, afin de rendre compte au système dont on est un agent, dont on fait la promotion, que l’on suit, dont on relaie les informations, les règles, dont est pleine partie prenante, sans même qu’il vous y oblige, juste parce qu’on est Mr Smith.
Vous pouvez suivre une formation si vous voulez vous aussi devenir un agent du système, comme Mr Smith.
Les règles établies pour maintenir les peuples dans l’illusion et la servitude ne sont à priori pas les tiennes, et certainement pas les miennes, mais elles nous contraignent aujourd’hui à demeurer partiellement dans le jeu si l’on veut éviter de se brûler les ailes au contact de gens qui inconsciemment font allégeance au système, rompus à faire le ménage en son nom parmi les éléments considérés comme « perturbateurs ».
Jouer momentanément la partie imposée par le système n’est pas abdiquer, c’est se préserver pour avancer …
Ceci me parait être une très bonne acception de la relativité des valeurs de la part de l’Etat !
Comme le dit @maziel « Jouer momentanément la partie imposée par le système n’est pas abdiquer, c’est se préserver pour avancer … »
Moi je vois l’opportunité de choisir relativement le taux de change à chaque instant, et ce relativement à chaque personnes (ou plutôt à chaque échange). Ce n’est qu’une indication donnée à l’Etat pour qu’il puisse calculer la part à prélever.
Donc si j’étais commerçant, à chaque transaction j’indiquerai la valeur en UNL que j’estime équivalente, et sachant qu’il n’y a aucun moyen pour l’Etat de vérifier le taux de change car celui ci est variable dans l’espace et dans le temps, c’est la porte ouverte à leur dire ce qu’on veut…
Exemple:
Je facture un service 100Ǧ1, j’indiques que l’équivalent est pour moi à cet instant de 1€uro™ (rien n’empêche de pratiquer des prix très bas) et alors l’administration recevra 25% de 1€uro™, tout le monde est content…
De la même façon je penses que l’Etat n’en a rien à secouer que vous déclariez un taux de change de 1BTC = 20000€uro™ lors d’une facturation alors qu’au moment de payer l’impôt vous ne pourrez plus que convertir vos BTC à un taux de 1BTC = 6000€uro™, quelque part tant pis pour vous, vous aviez qu’a convertir vos BTC au bon moment… et l’Etat attendra de vous que vous payiez 25% de 20000€uro™ car c’est ce que vous avez indiqué sur la facture !
En fait, dans cette situation, le commerçant peut déclarer une perte en capital de 14 000 €. L’effet sera donc une baisse de son impôt. Donc 25 % de 20000 € (Vente) - 25 % de 14 000 €(Capital), c’est ainsi que le gain ou la perte est toujours comptabilisé mais déplacé d’un poste à l’autre.
Ce fil est rempli de trolls faisant la promotion d’une marque privée non-libre et d’un système social privé tout aussi non-libre. Autrement dit ce fil n’est qu’une longue litanie publicitaire alimentée par des représentants de commerce.