En fait, notre divergeance fondamentale est que je ne considère pas la GPL comme une licence de logiciel libre, même si seule la Free Software Fundation l’appelle comme cela. Pour moi, il s’agît de licences open-source car le code est accessible. Et j’ai essayé de vous donner ma définition par le biais d’une « idée », et vous m’avez répondu en parlant d’une certaine notion de la liberté. Est-ce celle développée par Stallman ? Est-ce une autre ? ça m’intéresse, car on ne parle pas de la même.
Voici une définition que je trouve dans un dico : « état de quelqu’un qui n’est pas lié par un engagement contractuel, moral ou sentimental ». Là, on est loin du compte non ?
Sinon, si on parle de Richard Stallman, alors on peut ressortir sa dernière punch line « les logiciels propriétaires sont un crime contre l’humanité », ou un truc du genre…
Dans le jargon des utilisateurs de licence MIT, BSD et CC0, ce sont les seules licences libres (et donc open-source) car elles ne sont pas contraignantes dans leur usage, et ne dénaturent en rien les oeuvres licenciées. Et perso, je considère la CC0 comme vrai seule licence libre vu qu’elle n’impose aucun condition contractuelle.
Pouvez-vous répondre à ma question qui est : que risque nodejs à être sous licence MIT ?. Qu’en pensez-vous vis à vis de vos objectifs ?
Pour moi (et pour les utilisateurs de cette licence d’après wikipedia), la GPL est par nature contraignante dans ses usages, et donc, je trouve que cette « liberté » est à sens unique, en restant favorable à celui qui veut que tout soit comme il le pense, et à ceux qui accepteront cette manière de penser. Pouvez-vous me répondre sur la LGPL qui est un peu moins contraignante ? Et d’ailleurs, (petit troll ridicule, libre à vous de répondre ^^) que pensez-vous du fait que le code de la licence GPL ne soit pas sous GPL ? C’est amusant la Free Software Fundation (faites ce que je dis, pas ce que je fais)
Sinon, je répète aussi autre chose. Le droit Français a des difficultés avec les licences de logiciels, et la GPLv3 est reconnue en partie, certains points restent illégaux en France (désolé, je n’ai plus souvenir desquels). Alors que la GPLv2 est reconnue entièrement (et là encore, faut tomber sur le bon juge, ou tout simplement, déposer les sources d’une version chez un notaire, à usage unique !).
Donc si vous voulez vraiment avoir une licence potable pour « protéger » en France, (je me demande encore de quoi vous voulez vraiment vous protéger, mis à part s’il s’agît d’une concurrence proprio), alors je pense qu’il est préférable d’utiliser la GPLv2 et de déposer les sources chez un notaire.
Et sinon, loin de la théorie, quand un « gros » veut un logiciel, il met les moyens pour l’avoir, peu importe sa licence, sauf si l’opposant est également un gros .