Le coût de votre revenu de base,en monnaie libre g1,pour les finances publiques de l'état Francais

Bon, on peut ne pas être d’accord avec la manière dont les taxes, impôts, cotisations, amendes, etc… sont utilisées. On peut ne pas être d’accord avec la manière par laquelle ces différentes participations financières sont récupérées.

Pour autant, quand on vit en collectif, il y a des frais qu’il est souvent plus efficace de répartir sur l’ensemble des personnes. Et si le système actuel est LOIN d’être parfait, pour moi il ne faut pas jeter le bébé avec l’eau du bain. Oui, une répartition de la richesse (cotisations) est pour moi souhaitable, même (et surtout ?) contrainte. Après, le financement participatif peut fonctionner, mais pour des gros investissements ou des paiements récurrents, ça n’a pas été vérifié expérimentalement à ma connaissance. Je ne demande qu’à le voir en monnaie libre.

Les premières cotisations (syndicats, caisses communes/maladies/grève/etc) étaient sur le principe du volontariat (si tu adhères à un syndicat, tu cotises). Mais vous n’allez pas me faire croire qu’il n’y avait pas de pression collective sur celles et ceux qui ne cotisaient pas.

Sur l’hypothèse que le financement de l’état par l’impôt est conséquence de l’utilisation de monnaie-dette, j’aimerais bien avoir ton raisonnement, @Mateo. Je ne vois pas le rapport, mais je suis curieux. Il n’y a rien d’« évident ».

Je dis ça juste parce que tous les membres de la June ne sont pas forcément d’accord avec le principe d’une organisation sans état, comme @Mateo et @profil31 l’expriment, pour ce que j’en comprends. Ca n’empêche pas d’utiliser la même monnaie.

La cotisation est empêchée par l’utilisation de monnaie dette du fait de l’impôt nécessaire.

Idem pour la solidarité qui devient charité sous monnaie dette.

L’état, sous monnaie libre , c’est la communauté de membre tout entière ,de facto ce n’est pas la ripoublique , l’état actuel et historique.

Nb: lorsqu’une cotisation pour B est préférée à la cotisation pour A c’est au libre choix des cotisants , contrairement à l’impôt.

Justement, il ne s’agit pas de soumettre l’état à la monnaie libre, mais de lui demander si il autorise qu’une communauté autre que lui-même s’institue pour faire des transactions monétaires dans une monnaie libre, si oui, sous quelles conditions, notamment de taxation. Et si ces conditions ne nous satisfont pas, effectivement on n’aura pas d’autres solutions que fonder un autre état ailleurs, si on n’arrive pas à réformer celui-là comme on veut: VIième république.

Donc le problème est loin d’être anodin.

À t il fallu demander autorisation pour produire et utiliser le bitcoin ?

Reformer et comme la révolution, un retour au même point.

Nb: c’est marrant cet agrippement au conservatisme à des valeurs non libres , un réflexe sans doute lié à l’age qui fait ça.

Je ne suis pas d’accord avec vous. L’État n’est qu’un système d’arnaques en tous genres. Toutes sortes de saccages, pollutions, sabotages trucages, assassinats individuels et de masse, pillages, et J’en passe, sont dans ses habitudes. Le mensonge, la fourberie et la tromperie caractérisent sa manière d’agir. On n’a pas besoin de ça.

Je propose donc qu’on monte peu à peu, avec prudence, notre propre organisation sociétale. L’État n’a qu’à se débrouiller sans nous jusqu’à sa faillite totale.

Je ne vois pas pourquoi on devrait se soumettre à un État aussi minable.
C’est à nous de fonder, là ou on est, l’organisation sociale qui nous convient.

Tous les systèmes à cotisations (impôts, taxes, charges et amendes) sont faciles à corrompre, même en monnaie libre.

J’en veux pour preuve qu’ici même, il y a des gens pour penser qu’il faut une cotisation de 2 à 3 % du DU pour rémunérer les programmeurs, sans parler des autres acteurs de la June.
J’assimile donc ces techniques de financement à des méthodes égoïstes de pillage.

Il n’a pas « fallu », et donc le bitcoin ne l’a pas fait, il s’est engoufré dans le satus quo, comme le fait la Ğ1 en ce moment, et donc le bitcoin peut se faire flinguer n’importe quand par une mesure gouvernementale. Genre qui interdirait le bitcoin sur son térritoire. C’est pour éviter cette déconvenue qu’il « faudrait » prendre les devants, et demander à l’état ce qu’il pense de la monnaie libre, qu’il donne une réponse claire, qu’on pourra mettre en avant au moment ou il voudra nous nuire.

Ca c’est du défaitisme de bistrot: « vous voyez bien que ça marche pas (tel truc, n’importe quoi) puisque ça a toujours foiré ». On ne se demande pas si les gens qui ont essayé s’y sont pris comme des manches ou pas.

Heu non, l’état est l’institution qui nous fédère tous toi et moi. Si tu contestes cela, il faut émigrer dans un autre pays.

Dans ce cas faudra que tu soit d’accord pour ne plus avoir de protection sociale, de retraite, etc, bref ne plus être français.

Je ne parle pas de se soumettre à l’état, je lui demande de se déterminer par rapport à la monnaie libre, et de ne pas se contenter de dire, comme actuellement, « rien ne s’oppose à… », on a envie d’ajouter: « jusqu’à nouvel ordre… ». C’est du bottage en touche, du pas franc du collier.

Quel est le territoire du bitcoin ?

D’abord l’État ne fédère pas. Il divise pour régner. Et quant on voit comment il règne, ça fait pas envie.

Le contrat pervers, que le masochiste tente désespérément de négocier avec le sadique, ne tient jamais bien longtemps car, par structure, le sadique se sent toujours autorisé à en modifier les termes et quand bon lui semble.

A ne pas confondre avec le contrat social

1 « J'aime »

Ma retraite, c’est 164 trimestres de cotisations. En cas de suppression, il faudra me les rembouser.

L’État ne pense pas partage, équilibre, non, l’État pense juste pillage, arnaques, sabotages, trucages ; et c’est à cette bande de délinquants institutionnalisés que vous voulez demander un avis sur la June ?

A ce jour, nous avons coproduit 3 959 433,91 Junes.
Nous en utilisons maximum 30 000 par jour, 250 000 par mois. On a de.la marge. Il y a de quoi faire.

Il ne faut pas confondre une chose et sa perversion. Ce n’est pas l’état qui est pourri, ce sont les gens que l’on charge de le gérer, qui abusent de leurs privilèges, qui magouillent, etc. Si je ne suis pas content d’eux, je n’ai qu’à pas voter pour eux. Si aucun des candidats qui se présentent ne me convient, j’ai qu’à me présenter aux élections. Si je n’ai pas les c****les de le faire, faut pas après se plaindre.

Je ne leur demande pas un avis, je leur demande de s’engager à ne pas nous les briser, dans quelques temps, quand ils verront que le développement de la Ğ1 les privent de leur vache à lait (enfin pas les gouvernants, mais les banquiers, qui ont vassalisé les premiers). Et s’ils ne respectent pas leurs engagements, je les foutrai dehors, et si je n’ai pas les … de le faire… voir plus haut.

Nous on a notre système. Ils ont le leur.
On se sépare. Ils se débrouillent sans nous et nous sans eux.

Il y a au moins un grand financement participatif en MNL sans aucune banque derrière.
Elles doivent d’ailleurs s’en mordre les doigts d’avoir refusé d’investir. Ce qui obligea à l’époque Chris Roberts à faire appel à la confiance de la communauté des gamers.
Ce jeu n’existe que par le financement des individus sans appui d’aucune institution financière.
Un projet qui avance avec le seul objectif de qualité, sans pression de retour rapide sur investissement.

À ce jour donc 200 000 000 $ réunis pour 2 115 000 contributeurs continuent à financer le jeu le plus ambitieux jamais imaginé.

1 « J'aime »