6 tas au lieu de 4, c’est un peu plus cher, en effet, mais je crois qu’il y a peu de billets en fait (comparativement aux cartes de valeur).
Par contre, on continue à récupérer les billets périmés à chaque tour, cela ne change pas !
Oui, bien dissocier les billets et cartes de valeur me semble opportun… et comme tu dis, avec les couleurs, il pourrait peut-être y avoir un problème avec les daltoniens ?
Pourquoi, ai-je pensé aux lettres sur les billets ?
parce qu’elles ont une progression alphabétique (c’est justement ce qui permet de toujours repérer les 3 valeurs correspondantes, sans y réfléchir ou devoir se référer à un panneau extérieur)…
Et aussi parce qu’elle ne portent pas en elle de valeur numérique !
Si on mettait des chiffres (1, 2, 3, 4, 5…) on créerait de la confusion entre eux et leurs valeurs…
L’idée des symboles que tu proposes est un peu intermédiaire entre les 2… il reste encore une référence à une valeur numérique, même si moindre… et surtout, quand on arrive à un décaèdre ou dodécaèdre, ça devient compliqué à différencier !
Enfin, j’en profite pour rappeler un point que j’avais évoqué et qui n’a pas été repris :
L’avantage de passer par le jeu, c’est de vivre l’expérience (et donc de comprendre) sans intellectualiser…
Hors, le fait de faire tourner les 4 cartes billets actuelles (4 couleurs) donne une impression de quelque chose de circulaire… ce qui ne correspond pas à la réalité !
A l’inverse, suivre une progression alphabétique (sur 12 lettres) montre bien une évolution dans laquelle les anciens billets perdent bien de leur valeur jusqu’à disparaître complètement et DÉFINITIVEMENT…
Une variante intéressante du jeu est proposée dans les Ğéco Lyonnais par @fbuland.
au lieu de disposer de 4 cartes par carré de lettres, le jeu a 5 exemplaires de chaque lettre.
Le blocage des échanges à cause de cartes restées à la pioche est ainsi limité (carrés plus faciles à constituer), et les échanges sont fluidifiés.
Dans cette configuration on assiste rarement à la rupture technologique qui n’est pas indispensable à la bonne compréhension des deux systèmes.
Bonjour,
En fait, c’est la réduction à 8 tours et à 4 minutes par tour qui fait l’absence de rupture technologique.
Cela permet de faire des parties un peu plus courtes et de pouvoir consacrer d’avantage de temps en discussion ensuite.
Pour rendre le jeu plus fluide, en monnaie dette, nous avons testé (3 fois), avec 1 banquier / 4 joueurs.
Cela permet de diminuer les temps de pause entre chaque tour.
Cela nécessite une « formation », en amont, des animateurs-banquiers (réalisée à Flers et à Mayenne).
Pour la partie en monnaie libre, l’idée (de Benoît, alias kimamila) est de rendre les joueurs autonomes assez rapidement :
les animateurs expliquent, à la fin des 1ers tours, comment est distribué le DU, comment on fait tourner les billets puis les joueurs viennent à la table prendre leur DU, faire les échanges…
( les animateurs « aident »)
pour que le jeu se déroule le mieux possible, il est nécessaire, à mon avis de faire une « répétition » avec les animateurs, la veille ou quelques jours avant.
Bien sûr @Candide que j’ai remarqué l’équivalence par couleurs ! Sinon, ça voudrait dire que j’ai joué au jeu sans avoir rien compris !
En effet, dans la partie monnaie dette, cette équivalence ne pose aucun problème car elle est régulière… C’est dans la partie monnaie libre qu’elle devient confuse puisque les valeurs changent à chaque tour.
Je ne l’avais donc peut-être pas suffisamment précisé, mais ma proposition de billets annotés par une lettre de A à L ne s’appliquait qu’à la monnaie libre… (pour la monnaie dette, on pourrait se contenter des cartes actuelles ou bien des billets A, B, C)
!