Je me pose la question de la pertinence d’avoir un seul niveau de certification ou le pouvoir de créer de la monnaie et le pouvoir de certifier autrui sont rassemblés dans une seule certification. Il existe des personnes physiques qui pourraient participer à la monnaie en tant que membres cocréateurs, et sachant qu’ils sont des humains vivants, cela légitime leur accès au DU, mais qui ne sont pas capables, ou pas jugés comme tels par le certificateur, de procéder à d’autres certifications (en particulier, vérifier en tant que certificateur ceux qu’ils certifient).
Serait-il envisageable de créer une licence Ğ1 à minima (sans la partie certification) et donner la possibilité au certificateur la possibilité de certifier avec ou sans transmission du pouvoir certificateur.
Les objections que je vois :
on pourrait imaginer que le pouvoir certificateur ne soit pas transmis lors des certifications alors qu’il pourrait légitimement être donné, résultant en moins de membres certificateurs et un affaiblissement de la toile de confiance qui reposera sur plus de personnes centrales.
on peut aussi objecter que si la personne n’est pas capable de comprendre comment on certifie, ou de suivre ces règles, elle peut aussi bien utiliser un simple portefeuille sans octroi de DU. De la même manière qu’être certificateur implique certaines responsabilités, obtenir un DU permet de co-décider sur les orientations économiques de la Ğ1 par l’investissement. Si la personne n’est pas capable de suivre la licence, on pourrait penser qu’elle ne soit pas non plus apte à décider de l’économie.
Sujet déjà posé de multiple fois (je n’ai mis que deux exemples) et qui je pense demande une vrai réflexion.
Sur le site monnaie-libre.fr , il est dit que la Ğ1 n’est qu’une expérience (grandeur nature), peut-être qu’avant de créer la Ğ2 (ou autre) il faudra que cette question soit résolu.
Ou si la Ğ1 perdure est-il possible de modifier ça dans Duniter?
Je suis pour la double certification, une pour « Personne physique et en vie » de (0 à 100 et quelques années) et une autre pour « Personne étant en pleine capacité de certifier » (sous réserve de la première), cette deuxième est pertinente pour les enfants en dessous d’un certain âge, ou pour des personnes n’ayant pas les moyens d’effectuer des certifications que ce soit mentale, physique ou fracture numérique.
Ça resterait à leurs certificateurs de le déterminer.
On en reviens donc à catégoriser les membres, comme les différentes catégories de la population.
C’est aussi la problématique des enfants/mineurs : À partir de quelle niveau de maturité ( ou de quel âge ) peut-on laisser un enfant certifier ses copains et copines de classes par exemple.
Autre exemple : le cas des personnes sous tutelle ou sous curatelle : ces personnes peuvent-elles, elles-mêmes, devenir membres référents ou pas ?
Si la réponse est négative : pourquoi et qui prends cette décision ? Qui peut être en droit de juger ce qu’une autre personne est capable ou pas ?
Un exemple d’écriture de ce que tu entends par une Licence G1 à minima par rapport à la licence actuelle.
Et dans ce cas, qu’est-ce que serait une Licence à maxima.
Ce n’est pas polémique, mais à l’heure actuelle, je doute que cette licence G1 soit évolutive, amendable ou puisse même bénéficier d’une potentielle « mise à jour » ( pourtant nécessaire ).
Il existe déjà différentes catégories : les utilisateurs (sans DUğ1 quotidien), les membres « normaux », les membres-référents, les membres « exploitants » (celles et ceux permettant le fonctionnement du réseau).
Là on met effectivement un doigt sur la couture du pantalon
Sans rien modifier dans le logiciel on peu dès aujourd’hui avoir le fonctionnement suivant :
Avec 2 deux compte pour la personne sous tutelle, ou curatelle.
1 compte membre (avec mot de passe renforcé) géré par le tuteur
1 compte portefeuille (avec mot de passe plus court) géré par la personne sous tutelle
Le tuteur verse régulièrement les DU du compte membre vers le portefeuille de la personne.
Le tuteur gère les certifications avec la personne.
Le tuteur s’engage auprès de la communauté à ne pas abuser de son pouvoir de tuteur pour frauder la toile de confiance.
Les personnes qui certifient la personne sous tutelle restent vigilante sur l’utilisation du compte membre.
Ce qui ne peut pas encore être géré par le logiciel peut être géré par les humains.
Par le fait du non renouvellement des certifiant en cas de mauvais usage de la licence (maximum au bout de 2 ans)
Tu (la personne sous tutelle) es censé être certifié par des personnes te connaissant bien, et donc connaissant bien la situation.
Les ami(e)s et la famille ne considère pas aller à la foire quand ils rendent visite à une personne souffrant d’handicap, c’est d’une autre époque le temps où l’on cachait ses enfants car ils étaient différents.
Être membre référent n’apporte rien, ça sert juste à la règle de distance, le pouvoir de créer la monnaie (DU) est accessible à tous les membres référent ou pas, de même pour la capacité à certifier.
Si une personne est en incapacité physique ou morale de certifier d’autres, alors elle doit pas le faire, ni son tuteur qui devrait utiliser uniquement ce dont il dispose pour sa propre personne pour certifier les autres.
Certifier veut dire accompagner son « filleul », être capable de le rediriger, le guider (peut-être vers les personnes ayant les réponses), dans ce sens c’est une responsabilité que les enfants ne sont capable d’assumer qu’a partir du’un certain âge et que des adultes n’en seront jamais capable, tout ceci c’est au certificateurs de le voir.
Tout ce paragraphe est mon point de vue et ma manière de fonctionner.
Effectivement, on catégorise la population, car en vrai, l’égalité absolue n’existe pas. C’est normal de ne pas autoriser une personne démente à procéder a d’autres certifications… Et qui prend la décision ? Celui qui certifie et qui fait le choix de dire que la personne qu’il certifie est certifiée comme cocréateur-certifiant ou simple cocréateur.
Si un parent estime que son enfant de 12 ans comprend bien la licence et peux certifier ses camarades, rien ne l’empêche de certifier son enfant comme cocréateur-certifiant. Pour le cas de la curatelle, ce sera une décision qui sera de même prise par le certificateur. Personne ne décide de manière centralisée et c’est ça l’avantage de la toile de confiance décentralisée.
En supprimant (ou indiquant comme étant purement informatif) toutes les obligations concernant la certification car le membre certifié simple cocréateur non certifiant n’aura pas la possibilité de certifier de toute façon.
De toute façon si un second niveau de certification est créé, cela nécessitera un changement dans Duniter et dans la logique de la blockchain, et donc des paramètres de la toile de confiance et de la monnaie, donc de la licence.
Je constate que la question est évoquée régulièrement.
ce qui pose problème quand comme moi je suis interpelé et la question est pertinente,
< quel serait l’organisation du forum pour qu’une synthèse existe avec les idées, pour ,contre et argument, lisible pour ne pas redire infiniment la même chose et y répondre infiniment.
< lors d’une réunion j’ai vue une arbre de décision qui me semblait intéressant. L’exemple repris ici est une sujet politique sur un service civique obligatoire? Un service citoyen obligatoire aura des retombées positives… | Kialo
je constate qu’il y a une cellule R&D Ne serait-il pas judicieux dans les informations générales de trouve pas l’organigramme de la G1?
< comment les informations circulent et sont traitée par qui et comment?
< Je reste persuadé de la bien vaillance de l’équipe mais ces informations donneraient encore plus de crédibilité et sécurité.
Oui, c’est une vraie question. Cela va du plus jeune âge: Lequel ?
On peut aussi se poser la question de l’autre extrémité. Quand une personne meurt. Que devient son compte? Personne ne peux plus intervenir dessus. Au mieux elle perd sa certification, mais après. Il n’y a pas de notion d’héritage, de reprise de compte, ou de remise au Mégadon (par exemple).
C’est comme les comptes dont les gens ont oublié les codes. Ce sont des comptes morts. Les Junes sont bloquée là pour l’éternité ?
En fait sur un temps court ça peut être perturbant, mais quand tu relativise, sur la demi-vie (40 ans), les sommes « perdu » deviennent obsolètes.
Concernant l’héritage, rien n’empêche de mettre en place un testament contenant les identifiants des accès à tes compte ainsi que le doc de révocation (là c’est un peu limite, car il faut faire confiance que les deux aillent bien de paire), mais les certifs devrais s’arrêter de venir d’elle-même puisque le membre est décédé.
Personne ne pouvant faire un prélèvement sur un compte, il devient compliquer de verser ses sommes ou que ce soit, même pour la bonne cause (Mégadon, caisse des devs…).
Oui, je suis bien d’accord, donc dans l’absolu on va vers une très grosse immobilisation de la june pour un petit reste qui sera actif. Et comme on est déjà à 53% de june qui ne bouge pas. https://g1-stats.axiom-team.fr/
Dommage qu’il n’y ai pas de mécanisme de mort des comptes après un certains temps inactivité. Ça pourrait entretenir des caisses communes comme, le Megadon, les devs, les retraités, etc…