Avec assez d’UNL on peut déstabiliser la G1 de plein de manières différentes, ce n’est pas un argument valable, on sait très bien qu’avec des UNL beaucoup de gens sont corruptibles, et se casser la tête à fabriquer des jetons serait vraiment la dernière chose à laquelle ils penseront.
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Sinon nous pouvons faire des pièces en argile crue et /ou cuite :
Des pièces en terre crue pour celle représentant des DU (avec date limite).
Pour ma part il s’agit surtout de marquer les esprits, faire parler de la ML.
Donner aux gens l’envie d’avoir l’objet dans leur porte feuille ne me semble pas être une mauvaise idée. Qu’an à l’absurdité des pièces ou billets en DU, elle se comprend aisément, mais ne me semble fort relative et je continue à penser que cela peut être intéressant dans certains cas.
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Je trouve ce point intéressant, car c’est une nouvelle porte d’entrée dans la ML et je travail sur un système qui rejoint cette idée et qui potentiellement pourra permettre à n’importe qui de participer à l’économie June. (j’en dirais plus quand j’aurais mis des petites choses en place) mais à travers pas mal de commentaires je sens l’utilité d’un tel système.
Tout à fait !
Il y a une solution simple, pour vous donner une piste, c’est le postulat de départ qu’il faut modifier pour trouver la solution. (je reste énigmatique car les trolls/parasites sont furieux sur ce forum)
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Pas si sûr. Il faut bien voir les jetons comme un outil physique indexé sur la g1, et pas comme de vraies g1. Aussi, la création d’une grande quantité de jetons se heurte à plusieurs limites. D’une part, la convertibilité : si je produis ces jetons, c’est dans l’espoir de les écouler contre une marchandise ou des g1. Pour les marchandises, il faut que les vendeurs aient confiance dans le fait qu’ils pourront récupérer des g1 (soit auprès d’une autorité centrale responsable du design des jetons, soit auprès d’autres personnes ayant l’utilité des jetons), pour les g1, il faut des personnes ayant l’utilité des jetons.
D’autre part la valeur : si une trop grande quantité de jetons entre en circulation, leur convertibilité peut diminuer, leur utilité peut décroitre, et il peut devenir plus difficile de les écouler sans désindexer leur prix de la june.
Donc je pense que la production d’une grande quantité de jetons peut essentiellement nuire… aux jetons eux-mêmes. Ces jetons ne sont pas une monnaie mais un outil pour déplacer des g1. La création de jetons n’est pas création de monnaie mais création d’outil.
Si les jetons sont trop facile à produire (par exemple des confettis de papier), ils risquent tout simplement de ne pas être acceptés ou uniquement très localement. Si les jetons sont très difficiles à produire (par exemple des coupons v.i.e ou des pièces de métal frappé), leur valeur sera plus robuste mais leur production sera concentrée en un petit nombre d’acteurs. Si les jetons ont une difficulté de production intermédiaire, ils permettront à plus d’acteurs cherchant à répondre à une demande d’en produire au risque que leur acceptation demeure assez locale et qu’un excès de production en diminue la valeur.
Pour conclure, je suis plutôt favorable aux solutions cherchant à réduire le nombre d’acteurs capables de produire des jetons tout en maximisant la capacité de change (réserve de g1).
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Simple question de quelqu’un qui n’a pas tout lu :
- Est-ce que les Ğ1 seront stocké dans les jetons, à l’instar des ĞBillets (bien utiles à conditions de le remplir) ou bien seront-ce que des promesses de paiement (avec peut-être pseudo Cesium à inscrire au dos, ou clé de l’acheteur (ou autre infos permettant de le contacter) ?
S’ensuit une autre interrogation :
- Si des promesses de paiement (de la fausse Ğ1 comme vous dites, si j’ai bien suivi), si la personne ne réponds pas où ne fait pas le paiement dû, comment on fais ?
Ou alors, on se met direct d’accord que c’est des goodies (Qu'est-ce que les goodies ? Définition, Origine, Exemples | Créagift) sans autres fonction.
Les pièces et billets de ğ1 ne peuvent être que des promesses de ğ1, d’ou l’appellation consacrée de fausse ğ1.
Les billets de ğ1 peuvent être des « paper-wallet » c’est-à-dire des bouts de papier contenant les codes d’accès à un compte différent pour chaque billet, permettant de récupérer les ğ1 à tout moment.
Est-ce de la fausse monnaie ?
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Oui,les papers wallets comme les pièces et billets, sont de la fausse monnaie.
ce n’est que lorsque vous avez accès à internet que vous pouvez vérifier que la promesse de ğ1 n’est pas un mensonge et encore ceci juste pendant la seconde ou vous êtes connecté parce que le fabricants du bifton peut très bien vider le compte la seconde d’après.
Il n’y a aucun interet à ces promesses en fait.
Nb: de simples billets de tombola estampillés pour l’occasion d’un gmarché par l’organisation peuvent aisément faire office de billets de ğ1 temporaire.
L’intérêt de ces « billets » avec codes d’accès, c’est que l’utilisateur n’a pas besoin de repasser par le bureau de change pour récupérer ses ğ1.
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ça ne s’appelle pas de la fausse monnaie mais de l’abus de confiance.
Les « paper-wallet » ne sont pas fiables pour de multiples échanges, car on ne peut pas vérifier sans connexion Internet qu’il n’a pas été dépensé (ou même qu’il est valide), et tant qu’on ne l’a pas encaissé on ne peut pas savoir si un de ses anciens propriétaires n’a pas gardé le code secret afin de l’encaisser entre le moment où le papier a été transmis et son encaissement légitime.
Aucun système de pliage ou de peinture à gratter ne permettra de résoudre ce problème, puisque la personne qui a plié ou recouvert le code secret peut en avoir conservé une copie, ou qu’un intermédiaire a pu desceller et refabriquer le billet.
En fait, même pour un échange unique (comme un chèque bancaire), ces billets supposent de faire confiance en la personne qui les émettent.
D’où l’intérêt de construire une entité plus fiable (gérée par un collectif avec transparence, etc.) pouvant fabriquer des billets difficiles à imiter, et qui aurait une réputation à tenir (la confiance qu’on lui accorde dépend de sa solvabilité, càd de mon espérance d’obtenir des vraies G1 si je lui rend un de ses billets).
D’où aussi les problèmes inhérents à la centralisation et à l’inimitabilité. Les logiciels libres de paiement, installés sur des machines sûres et appartenant à l’utilisateur (pas le terminal du vendeur ou le site web marchand), devront toujours être préférés.
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Voyons le problème d’une autre perspective…
Pour le moment les 
sont stocker sur des comptes césium (= Software Wallets).
Imaginons qu’en passant sous le framework substrate (d’ici peu), il soit aussi possible de stocker ses sur des clés usb (= Hardware Wallets). Est-ce que les Ğ1 stockés sur les clés usb sont des faux ?
À présent, imaginons que le support papier/bois/métal soit simplement un hard-wallet résilient. En quoi serait-ce de la fausse monnaie car ce ne serait qu’une promesse ?
De même @Mateo : si un client lambda te paie un service ou un produit que tu vends en € (MNL) avec un chèque, iras-tu refuser le chèque en affirmant que c’est un paiement en fausse monnaie car le chèque ne représente qu’une promesse de paiement ? Non, je ne pense pas.
Tu pourras éventuellement refuser le paiement par chèque car trop de chèques te reviennent impayés, mais pas parce que le chèque s’apparente à de la fausse monnaie.
Tu pourras aussi éventuellement accepté un chèque en € (MNL) couvert par une garantie bancaire.
Là, c’est similaire… Tu peux faire intervenir un tiers de confiance qui va garantir le paiement et la valeur du coupon / billets. Le problème reposera alors sur la confiance que tu accordes à ce tiers.
on repasse d’une monnaie distribuée (software) à une monnaie décentralisée (hardware) auprès de tiers de confiance locaux / associatifs / regroupé par affinité / etc.
Je vous invite à lire et comprendre l’analyse de Snowden sur la fongibilité. Je trouve que c’est exactement de propos et très opportun à cette discussion :
@+ 
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avec une signature manuscrite on peut analyser l’ ecriture aussi.
@Mateo il est plus aisé de travestir un client de duniter que d’ usurper la confiance dans la toile; c’ est tout le probleme d’ internet utilisé par les novices et de la traçbilité que résolve le cash
Oui je préfère un virement de vraie monnaie qu’une promesse, de la fausse monnaie.
Donc pour toi 
, @Mateo, un chèque est équivalent à de la fausse monnaie ? Et le seul paiement acceptable, viable, et véridique, est le virement bancaire de compte à compte ?
Considérant à présent que les € (MNL) sont créés aussi informatiquement sur la base des emprunts contractés par les banques… 
De fait, considères-tu aussi que les billets en circulation sont de la fausse monnaie, car sortie du champs comptable informatique des banques ?
Donc si un client lambda te paie en € (MNL) une prestation « en liquide » / « en cash » tu refuseras le paiement, car c’est aussi de la fausse monnaie ?
…
Évidemment qu’il est préférable de réceptionner un virement de véritable monnaie sous Blockchain que de recevoir une promesse sous forme de piece ou billet ou n’importe pouvant possiblement être de la fausse monnaie.
C’est ballot.
Sans réinventer la roue, tu peux définir ce que tu considères être de la fausse monnaie. Il semblerait que tu as une définition à géométrie variable sur ce concept.
Pour mémoire…
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006070719/LEGISCTA000006149855/
Fausse monnaie = semblant de monnaie
On avance… Ou presque 
Si la monnaie libre ( ) n’est pas considérée comme de la monnaie par l’État (= la ®épubli© F®@Иç@!$€™), comment pourrait-il y avoir de la fausse monnaie ?
À force d’avoir un double-discours d’un sujet à l’autre, il est possible de s’y perdre dans les analyses de @Mateo … Enfin, moi je m’y perd et je ne comprends rien à ses explications 
. Et je dois pas être le seul dans ce cas
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L’état ne considere pas la monnaie libre Duniter ğ1 comme sa monnaie, oui, tu es perspicace.