Critique du DU sur la théorie de la relativité

Il me semble, mais je dis peut-être une bêtise allez savoir, que Stéphane Laborde fait l’analogie entre l’invariance de la vitesse de la lumière, point central de la relativité (le point unique d’invariance donc), et l’invariance de la production de la valeur de référence servant d’unité de référence (tout comme la vitesse de la lumière fait alors référence des vitesses, du fait justement de son invariance).

L’analogie s’arrête là, avec le principe de relativité concernant toute autre mesure de quelque autre grandeur que ce soit.

Assimiler la relativité physique ensuite avec E=MC² me semble là aussi une erreur de compréhension profonde du sujet. C’est en effet une formule démontrée au sein de la théorie, à partir du fondement de l’invariance de la vitesse de la lumière. C’est donc une conséquence, pas un fondement.

De la même façon, la monnaie libre est une conséquence des 4 libertés libertés économiques tout comme l’existence d’une vitesse limite invariante par changement de référentiel est une conséquence des lois de transformation symétriques entre référentiels (une liberté est une loi de symétrie)…

Il n’y a pas d’équivalent dans la TRM de E=MC² en physique puisqu’il s’agit une approche uniquement monétaire, et qu’il faudrait démontrer plus avant, sur la base de l’existence d’une monnaie libre, des propriétés économiques qui alors peuvent faire jour, avec des lois de transformations et d’équivalences comprenant la monnaie libre comme constante de transformation.

Autrement dit le premier pas qui consiste à révéler l’invariance de la lumière est déjà un grand pas, qui ne signifie pas que sur cette base on ne va pas démonter des résultats nouveaux tels que E=MC² et beaucoup d’autres. De la même façon la TRM établit la seule possibilité de l’existence d’une monnaie libre.

Ilme semble donc qu’il y a dans votre compréhension d’un sujet théorique tel que les théories relativistes en général, une confusion que vous développez sur la base d’associations non comprises et erronées sur fondements, conséquences, et démonstrations.

4 « J'aime »