Commerçants dans la ML, qu'est-ce qui coince?

Pas vraiment, déjà parce que s’il n’a pas de marge au-dessus de ses coûts fixes alors il devrait arrêter le business;
donc il peut facilement prendre une partie de cette marge même toute petite pour tester la June.
Sans que cela ne mette en péril quoi que ce soit.

Evidemment il y a plusieurs métiers qui peuvent effectivement bénéficier de la June en revendant leurs invendus; c’est très courant dans le monde de l’euro.

On a l’exemple de Olivier Fontès avec sa société Occitanet (sa 2ème) qui offre des accès Internet Fibre Optique en Haute-Garonne, dont je suis client : 25€ + 7 DUğ1 - Il a calculé ses marges et ses coûts fixes; moi, je gagne 10€ par mois sur le coût des autres et avec toutes ces junes (dizaines de milliers par an) Il offre des primes à ses 7 employés en JUNE!!!

En fait, tu as nombre d’activités ou les fournitures ne représentent qu’une petite part en face de la main d’oeuvre. Demandes aux fermiers et maraîchers… surtout sans pesticides et produits chimiques…
Humm, ça c’est plein de boulot pour les junistes - moi, aimer ça !

Indépendance, autonomie, patriotisme, made in France, innovateur - bon, si on pense que les clients n’aiment pas ça alors effectivement la June n’est pas fait pour cette entreprise :wink:

(aka clé en mains) - c’est à nous de leur proposer des solutions clés en mains, simple à faire.
Humm, moi aimer ça, beaucoup de boulot pour les junistes !

Des yeux, de l’imaginaire aussi…
Qu’ils voient à travers des outils ce qui est disponible (la visibilité, annuaires, etc…) et comment cela leur bénéficie (marketing) car en plus, on va leur présenter et leur expliquer et leur mettre en place des systèmes « clé en main »
Humm, moi aimer ça, plein de boulot pour les junistes !!!

1 « J'aime »

Bonjour,

Effectivement la question de la fiscalité de la June reviens souvent.
Je vais participer à l’animation d’une réunion d’information publique sur la June dans ma commune, si la question est posée je ne saurais pas quoi répondre…

Ma réflexion :
Si des commerçants qui vendent des biens ou des services -prenons comme exemple un maraîcher pour les biens et un coiffeur pour les services- décident de vendre leur biens et services en acceptant comme monnaie des grains de riz, des pois chiches et des coquilles de moules, est-ce que quelques chose dans la loi les en empêchent ?
Doivent-ils avoir une comptabilité en riz, en pois chiches et en coquilles de moules ?
Devront ils payer des impôts en € sur du riz, des pois chiches et des coquilles de moules ?
Si, oui comment calculer cela?
Pour le riz et les poichiches il existe sans doute des cours tel que la mercuriale, mais quid des coquilles de moules ?

En therme de fiscalité la G1, n’est-elle pas comparable aux coquilles de moules de mon exemple?
C’est à dire en dehors de ce qui est prévu par la loi?

Merci d’avance pour vos réponses qui je l’espère seront pertinentes.

Les échanges faits en ğ1, c’est du troc.
Il faut donc regarder la fiscalité sur le troc.

2 « J'aime »

Comme l’a dit @Maaltir,
Il faut comprendre que tous les « règles » (voire « rumeurs » ou « légendes urbaines ») concernant la fiscalité ou même la comptabilité, concerne la monnaie régalienne (la monnaie utilisée pour le paiement des impôts) et aucune autre forme d’unités d’échanges ou concerne la cession de crypto-monnaie en monnaie régalienne; sorti de cela notre « monnaie » Libre (comme un troc) n’est pas concernée.

De toutes façons, ces questions se résoudront sur un plan juridique et non fiscal et comptable (puisque ces 2 derniers dépendent du juridique, qui dépend du législatif)

A @Econolibre, on conseille 2 comptabilités afin de pas ouvrir la boite de Pandore (surtout devant des gens, fonctionnaires ou surtout comptables qui n’y comprennent que dalle, ou croient comprendre mais en fait extrapolent leurs habitudes professionnelles dans le domaine juridique, sans vraiment le comprendre. (sujet à interprétation)

Enfin ces questions, sont enflées car peu de professionnels sont en fait en pratique concernés par cela, à l’heure actuelle et quand ils le sont (parce qu’ils utilisent vraiment la June, dans leur business) cela représente entre 1% et 3% de leur activité. des cacahuètes en fait.
Tout le monde semble oublier que pour faire du business en June, il faut des clients en June.

En réalité, tout cela est plus une question d’idéologie, de politique, de rumeurs du Père Fouettard, qu’un problème pratique, pour l’instant.

En reunion publique, il faut donc bien faire comprendre que la June chez les « pros » est encore au stade gestionnaire (comme un fœtus) donc loin de quelque chose de sérieux, économiquement.
Et qu’il y a plus à faire au niveau local et des membres, du genre « groupement d’achat » (de particuliers) ce qui est plus d’actualités, que de voir des centaines de pros arriver demain matin.
On a donc le temps (relatif) pour s’organiser et faire le topo.
Ce que nous faisons en préparant la « jurisprudence Econolibre »… (dont les premieres feuilles sortiront en 2023)

9 « J'aime »

nier les taxes sur les plus-values du troc et proposer une fraude comptable avec deux bilans distincts doit certainement effrayer aussi les clients, en plus des commerçants.

par conséquent je noterai qu’ il n’ y a rien de pertinent quelque soit l’ approche nihiliste ici ou extremiste avec le mlet, la seule chose qu’ il faut retenir mais qui n’ est nullement stipuler dans toutes ces diatribes pseudo-legales, c’ est la moins-value, autrement dit l’ investissement en terme comptable, qui équilibre le bilan de façon systématique et plutot que de faire dire à martial ce qu’ il n’ a pas dit, je propose qu’ il s’ exprime librement à ce sujet qu’ il maitrise @Maaltir

ps/ Et là on va pouvoir créer une économie libre complete et circulaire en toute sérénité et non pas :

ps2/ rien contre les personne morale ou physique, juste concentré sur les propos publiés

Je ne crois pas être un expert du sujet, mais il est clair que le troc n’échappe pas à la fiscalité : Le Troc Entre Entreprises : Quel Traitement Comptable Et Fiscal ?

1 « J'aime »