Burdigala project

Pas seulement la peur du manque. Il y a l’omniprésente prédation d’État. Elle est féroce, arrogante et inhumaine. Il vaut mieux avoir des réserves si on ne veut pas avoir des ennuis…

La prédation de l’etat est simple consequence mécanique du code d’émission de la monnaie dette.
À savoir que 85% de la monnaie dette produite en France provient des crédits d’etat (Dette publique ).

L’epargne de monnaie dette est juste un comportement conséquence de la peur du manque demain afin de se protéger du manque parce que sa présence est non garantie.

Je suis aussi intéressé par tes connaissances sur la monnaie d’abbaye, le Tournay qu’on utilisait en Occitanie jusqu’au début du Xllleme siècle.

Be oui, je suis d’accord.
Or, on sent que certains seraient heureux que la prédation d’État vienne aussi s’exercer sur la June. Cette attitude m’énerve. Ce n’est pas une monnaie FIAT, la June ne leur appartient pas. C’est NOTRE monnaie et je refuse de subir l’arrogance de l’État en Junes.

Personnellement je ne « veux » pas que l’état s’intéresse à la Ğ1, simplement je pense qu’il ne va pas manquer de le faire, quand elle aura de l’importance, nuance, quand elle drainera une partie importante de l’économie, chose qu’on espère, ça passera sous le nez à l’état et il ne va pas rester les bras croisés.

L’État, c’est un système mafieux extrêmement nuisible.

Mon idée est de le lâcher à la première occasion.

On pourrait par exemple, renvoyer nos pièces d’identité, cartes et autres permis dans les préfectures, avec la mention ‹ ‹ débrouillez-vous sans nous › ›

Les hôpitaux sont payés par la sécu et les mutuelles, pas par l’État.

En plus, c’est un service de moins en moins bon, très cher et de plus en plus pénible pour ceux qui y travaillent.

Dois-je vous rappeler que 18000 personnes meurent chaque année à cause des prescriptions médicales et que 33 % des hospitalisations leurs sont dues ?

L’enseignement est inefficace. Une grande partie arrive au bac sans avoir écrire correctement, ni compter, ni sans savoir penser utilement, etc. C’est un échec grandiose.

Les pompiers, c’est payé par les départements, etc.

L’État, par contre organise le chômage, le pillage des petits revenus pour sécuriser ceux des riches qui n’ont jamais étés aussi riches. Exemple : il a ruiné les producteurs de champignons. En 3 mois, tous ont étés éliminés quand l’État a décidé que les champignons polonais remplaceraient ceux produits au pays.

Et on peut parler aussi du textile qui a été ruiné, et des tas d’autres secteurs.

Visiblement, vous n’avez pas encore compris les immenses possibilités de la June ; mais ça va changer. En quelques mois, vous ne voudrez plus de la mafia d’État.

Bon, vous en êtes où, pour le cours sur la monnaie d’abbaye qu’au moyen âge on nommait le Tournay ?

Malgré un post un peu colérique, je comprend votre point de vue et j’en partage une partie bien que je l’exprimerais plus diplomatiquement.
L’état c’est nous, et la notion d’intérêt commun ne doit pas être oubliée.
La monnaie libre est NOTRE monnaie (individuelle) mais aussi notre monnaie (collective).
Elle l’est d’autant plus que même des non producteurs peuvent en détenir et échanger avec.
Donc il est évident que cette monnaie comme la monnaie dette devra pour financer des projets d’intérêt public être mise en commun. Seulement on appellera probablement plus cela impôts ou taxes mais contributions.

Nous ignorons quelle genre de société pourrait naître d’une généralisation de la monnaie libre. Mais il est évident que si elle ne permettait que de dévellopper les égoïsmes, alors nous aurions perdu la lumière en chemin…

Nous pouvons initier une société folle ou une société sage, mais une chose est sure, la monnaie ne fonctionne qu’en réseaux d’échanges. Reste à savoir quel réseau nous construirons.
Espérons que nous atteindrons la sagesse dans un réseau « petit monde »

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Sauf la concrétisation de l’egalite face à la cocréation de la monnaie libre Duniter ğ1. :slight_smile:

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‹ ‹ L’État c’est nous › › : non, ce n’est pas nous, en tous cas pas moi, puisque je J’ai jamais le droit de participer à la moindre décision.

Tout est obligatoire ou interdit. De mon point de vue c’est une dictature, pas une démocratie ; et donc c’est leur système, pas le mien puisque je J’ai pas mon mot à dire et que je me sens.menacé par le soi-disant gouvernement que je vois de plus en plus comme une entreprise privée d’exploitation, voire de sabotage de notre société.

Il y a moins d’un an, alors que je pestais contre les erreurs du gouvernement, je ne sais plus qui intervenait ainsi :

  • non, ce ne sont pas des erreurs’’. Il a observé ma surprise, attendu un instant puis a ajouté :

C’est fait exprès’’.

J’ai mis quelques semaines à digérer, puis à interpréter différemment la politique qui nous est imposée. Exemple : le fameux l’État c’est nous est rangé dans le sac à croyances… des autres. Ce n’est plus mon axe de.pensée.

Nous sommes exploités, pas gouvernés ; mais même un gouvernement n’est pas nécessaire. Plusieurs pays d’en sont passé récemment : Belgique, Portugal et d’autres et ils s’en sont aisément accomodés.

Je préfèrerais, et de loin, qu’on s’isole des mafieux du soi-disant gouvernement, et qu’on trouve notre voie, notre modus operandi. La monnaie libre le réussit. Ca marche bien, alors pourquoi pas étendre cette méthode à notre quotidien ?

Faire bande à part, pourquoi pas ? On renvoie nos cartes d’identité, passeport, permis, etc. et on décide ensemble ce qu’on veut vivre. J’aimerais voir ce projet mis en route.

vas y commence et tient nous au courant de ce que cela produit .

Alors, c’est commencé depuis longtemps :
En 2010, J’ai perdu le permis de conduire. Je ne l’ai pas renouvelé.
En 2013, j’ai perdu ma carte vitale. Pas renouvelée non plus.
En 2018, J’ai perdu m carte f’identité. Devine…

Ah, ça m’intéresse, l’assap. Je ne connais pas cette ressource. Tu peux Olen dire un peu plus ?

Il ne s’agit pas de développer une société égoïste ! Ce qui se passe avec la.monnaie libre me démontre autre chose sans que je sache dire exactement quoi, mais en plus curieux, plus conscient, plus à l’écoute. On communique plus et en direct. De mon point de vue, c’est plus constructif. Et puis, même moi qui suis si méfiant, je participe à des actions en crowdfunfing, je mets en relation des ressources qui ne se connaissent pas et qui se mettent à produire ensemble. Je constate qu’il y a un dynamisme qui n’existe plus dans la société écrasée de dettes. Et puis l’espoir pointe son nez. C’est encourageant.

Je ne pense pas que tu souhaites développer une société égoïste, D’ailleurs très peu de gens (voir personne) n’arrivent ici avec l’égoïsme en tête.
L’état qu’on le veuille ou non, c’est nous. Que le système politique qui défini les représentants de l’état se trouvent être des oligarques n’a rien à voir avec l’état, mais avec notre désintérêt pour l’affirmation de choses basiques comme la liberté, l’égalité et la solidarité.
Ces choses-là, ne s’attendent pas, il faut les faire advenir par des actes, non par le renoncement. Demandons-nous donc plutôt ce que nous pouvons faire pour un meilleur état, et la monnaie est surement un outil plus puissant que les piques.
La politique elle aussi a besoin de convictions. Se désintéresser de la politique ne fera pas qu’elle se désintéressera de nous.
Pas plus que l’autruche en plantant la tête dans le sable ne fera disparaitre le lion.

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Pour.moi, l’État, c’est juste un système de pillage et de saccages. Depuis 2007, quand notre chef d’État, soi-disant représentant de la Nation, a ordonné à nos soi-disant représentants locaux, députés et sénateurs réunis, de voter contre notre décision de refuser la constitution européenne, je sais que l’État c’est notre ennemi.

Où trouve-t-on des livres sur.les monnaies d’abbaye, STP ?

J’ai trouvé un glossaire intéressant pour la numismatique :
http://Id5-passions.pagesperso-orange.fr/Numismatique/Glossai.HTML#T
Du coup, je pense, en cherchant à la lettre T, que J’ai mal été orienté, ou que J’ai mal entendu, lorsque J’ai questionné le guide pendant ma visite de l’abbaye de Cluny.
Selon ce site, il faudrait comprendre, ‹ ‹ Tournois › ›, soit la livre frappée par l’abbaye de St Martin de Tours.
Il y a de la doc utile et pratique, à ce sujet ?

Pour moi, l’État c’est l’ennemi.
J’ai peu à peu admis cette réalité, à partir de 2007, lorsque notre soi-disant représentant national, a utilisé nos soi-disant représentants départementaux, sénateurs et députés réunis, pour prendre le contrepied de notre décision commune, lors du référendum de 2005, de refuser la constitution européenne.
A partir de là, voter n’a plus eu de sens pour moi. L’État est devenu l’ennemi.
Je sais bien que c’est dur à avaler, mais il en est de même de toutes les évolutions ; au début on les ignore, puis on les combat, pour finir par les accepter, et même se vanter d’en avoir fait la promotion dès le début.

L’état c’est nous ou pas?

Tout dépend si on parle de:

  • l’état, la chose, l’état c’est nous, par définition, c’est ce que nous sommes,
  • ou si on parle de l’organisme, de l’institution chargé de gérer le précédent: et là c’est clairement pas nous, c’est des oligarques qui exercent une dictature et qui nous exploitent au service des banques, et qui assurent la protection des biens des possédants.
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