Amélioration de la licence Ğ1

Pour plus de clarté, Cesium ne devrait pas proposer la création directe d’un compte membre cocréateur, mais uniquement celle d’un compte simple. Ou plutôt la sélection d’un compte simple (voir ici mon avis concernant le vocabulaire). La procédure pour identifier ce compte simple et le transformer en compte cocréateur existe déjà. La phrase d’accueil serait donc « Comment devenir membre de la Ğ1 », car c’est bien ça la première étape, qui permet d’utiliser les Ğ1.

Je plussoie la remarque de pini : il faut dire quelque part que la licence s’applique uniquement aux cocréateurs. D’ailleurs, dans son état actuel, est-ce vraiment une licence ? Je plaide à nouveau pour la séparation de ce qui est technique (formules, variables, fonctionnement des logiciels) et des points sur lesquels ont demande un engagement (ce que j’ai mis dans ma proposition de charte du certificateur). Je trouve déraisonnable de demander aux membres, même cocréateurs, de connaître les détails techniques. Une telle exigence affaiblit l’exigence de respecter ce qui est vraiment important.

Merci d’avoir posé la question du langage inclusif. À mon avis, c’est une réponse (encore) insatisfaisante à un vrai problème. Dans mon métier, je mesure bien les difficultés qui surgissent quand on veut écrire en mode inclusif. Je pense que ce serait une erreur de choisir des mots parce qu’ils sont compatibles. Exemple « identité cocréatrice » ne peut pas remplacer « compte cocréateur », parce que c’est un compte. Et ce compte sera éventuellement identifié comme je le dis au premier paragraphe.

Pour répondre quand-même au vrai problème de la prédominance du masculin, je pense que la meilleure solution serait que les locuteurs du français bâtissent un neutre, qu’on altérerait avec la marque du masculin ou du féminin uniquement lorsqu’il est pertinent de préciser le genre. Exemple : l’institutreu est un instituteur ou une institutrice. Des mots tels iel et (quelle prononciation ?) sont un premier pas dans cette direction. D’ici là, nous sommes contraints de bricoler avec le point médian (alt-0183), en choisissant jusqu’où nous sommes prêts à alourdir le texte.

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