C’est ainsi que je vois mon engagement pour oeuvrer dans ma région Guadeloupe .
300G1 par mois mérite que je donne un chouya de mon temps au développement de la monnaie-libre autour de soi, ouvrir des comptes autour de soi , échanger autour de soi , des services autour de soi, participer à des organisations autour de soi , organiser des présentations autour de soi .
N’est-ce pas rien de recevoir 300G1 par mois ? Sans rien faire " awa " (non en créole) pas sans rien faire .
L’univers n’aime pas le
"sans rien faire ! "
Un monde , le notre en parallèle compte sur nous pour réaliser notre souvaireneté monétaire.
avec ou sans ces 30 DU que vous créez, si vous avez envie d’en parler autour de vous, faites-le… dans le cas contraire, n’ayez aucune culpabilité à ne rien faire, c’est LIBRE !
quant au sujet de ce qu’aime ou pas l’univers, perso, j’en sais rien
Je vois que vous êtes enthousiaste @Jade. Tenez-nous au courant de ce que vous faites en Guadeloupe. Nous en métropole sommes toujours réjouis de constater que si loin de nous vous faites moult choses enrichissantes.
Je ne suis pas sûr que le mot « libre » soit bien employé ici, ou que la phrase soit bien tournée.
J’ai l’impression que vous confondez les attitudes individuelles ou collectives avec les notions de liberté de droits ou d’accès. D’autant plus que si contractuellement rien ne nous oblige à développer cette monnaie, la licence nous oblige à une responsabilité vis-à-vis de la sécurité monétaire et plus généralement l’état d’esprit de cette initiative monétaire nous pousse à une certaine activité, surtout à ce stade embryonnaire de développement où nous les précurseurs avons un rôle important à jouer !
Je trouve qu’il est délicat, voire dangereux et contre-productif de dire qu’en monnaie libre on est libre de ne rien faire ou, en tout cas, ça mérite un développement plus conséquent
Je dis simplement que l’utilisation de mot « libre » doit être faite avec parcimonie dans le cadre de la monnaie libre justement.
Car si cette monnaie est bel et bien libre sur les plans des droits, elle oblige à une certaine responsabilité. Dire qu’on est « libre de ne rien faire » me semble tendancieux, voire dangereux comme déjà dit
oui, c’est bien la raison de ma surprise. Lorsque que je veux m’assurer d’avoir bien compris un propos, je pose effectivement une, voire plusieurs questions !